Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
À ce jour, certaines pathologies peuvent être prévenues grâce à la phytothérapie, utilisée notamment dans l’alimentation. De nombreuses plantes contiennent des principes actifs préventifs. « Ces composés contenus dans les plantes alimentaires sont appelés phyto-nutriments ou phyto-micronutriments qui peuvent participer à prévenir des maladies cardiovasculaires », fait savoir le Dr MOREL. De fait, le maître-mot est la variété alimentaire, afin de bénéficier de multiples principes actifs. » L’usage des aromates permet également une meilleure maîtrise de la satiété en agissant sur les glandes digestives. Certaines personnes s’orientent donc vers des phytothérapeutes dans un but préventif, notamment pour éviter les problèmes d’infections répétées chez les enfants, les cystites chez les adultes, les problématiques psycho-émotionnelles ainsi que les troubles du sommeil. Certaines pathologies chroniques peuvent aussi être accompagnées par la phytothérapie, notamment les migraines. De même que cette technique peut être utilisée en soins de support, particulièrement dans le cadre d’une meilleure tolérance des chimiothérapies. Ou encore, sur un autre pan, pour les petites maladies courantes comme un rhume, des maux de ventre, etc.
« L’exercice de la médecine étant bien codifié, avec la réalisation de diagnostics et la mise en place de traitements, la phytothérapie devrait ainsi être réservée aux médecins diplômés, d’autant plus qu’il faut porter une attention particulière aux interactions médicamenteuses », estime le Dr MOREL, précisant que des phytothérapeutes se spécialisent pour l’accompagnement des maladies chroniques. Les médecins, les pharmaciens ou les professions médicales pouvant prescrire, ont accès à des formations de type Diplômes universitaires (DU) tandis que « les surspécialisations s’acquièrent sur le terrain », conclut-il.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
À ce jour, certaines pathologies peuvent être prévenues grâce à la phytothérapie, utilisée notamment dans l’alimentation. De nombreuses plantes contiennent des principes actifs préventifs. « Ces composés contenus dans les plantes alimentaires sont appelés phyto-nutriments ou phyto-micronutriments qui peuvent participer à prévenir des maladies cardiovasculaires », fait savoir le Dr MOREL. De fait, le maître-mot est la variété alimentaire, afin de bénéficier de multiples principes actifs. » L’usage des aromates permet également une meilleure maîtrise de la satiété en agissant sur les glandes digestives. Certaines personnes s’orientent donc vers des phytothérapeutes dans un but préventif, notamment pour éviter les problèmes d’infections répétées chez les enfants, les cystites chez les adultes, les problématiques psycho-émotionnelles ainsi que les troubles du sommeil. Certaines pathologies chroniques peuvent aussi être accompagnées par la phytothérapie, notamment les migraines. De même que cette technique peut être utilisée en soins de support, particulièrement dans le cadre d’une meilleure tolérance des chimiothérapies. Ou encore, sur un autre pan, pour les petites maladies courantes comme un rhume, des maux de ventre, etc.
« L’exercice de la médecine étant bien codifié, avec la réalisation de diagnostics et la mise en place de traitements, la phytothérapie devrait ainsi être réservée aux médecins diplômés, d’autant plus qu’il faut porter une attention particulière aux interactions médicamenteuses », estime le Dr MOREL, précisant que des phytothérapeutes se spécialisent pour l’accompagnement des maladies chroniques. Les médecins, les pharmaciens ou les professions médicales pouvant prescrire, ont accès à des formations de type Diplômes universitaires (DU) tandis que « les surspécialisations s’acquièrent sur le terrain », conclut-il.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
À ce jour, certaines pathologies peuvent être prévenues grâce à la phytothérapie, utilisée notamment dans l’alimentation. De nombreuses plantes contiennent des principes actifs préventifs. « Ces composés contenus dans les plantes alimentaires sont appelés phyto-nutriments ou phyto-micronutriments qui peuvent participer à prévenir des maladies cardiovasculaires », fait savoir le Dr MOREL. De fait, le maître-mot est la variété alimentaire, afin de bénéficier de multiples principes actifs. » L’usage des aromates permet également une meilleure maîtrise de la satiété en agissant sur les glandes digestives. Certaines personnes s’orientent donc vers des phytothérapeutes dans un but préventif, notamment pour éviter les problèmes d’infections répétées chez les enfants, les cystites chez les adultes, les problématiques psycho-émotionnelles ainsi que les troubles du sommeil. Certaines pathologies chroniques peuvent aussi être accompagnées par la phytothérapie, notamment les migraines. De même que cette technique peut être utilisée en soins de support, particulièrement dans le cadre d’une meilleure tolérance des chimiothérapies. Ou encore, sur un autre pan, pour les petites maladies courantes comme un rhume, des maux de ventre, etc.
« L’exercice de la médecine étant bien codifié, avec la réalisation de diagnostics et la mise en place de traitements, la phytothérapie devrait ainsi être réservée aux médecins diplômés, d’autant plus qu’il faut porter une attention particulière aux interactions médicamenteuses », estime le Dr MOREL, précisant que des phytothérapeutes se spécialisent pour l’accompagnement des maladies chroniques. Les médecins, les pharmaciens ou les professions médicales pouvant prescrire, ont accès à des formations de type Diplômes universitaires (DU) tandis que « les surspécialisations s’acquièrent sur le terrain », conclut-il.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
À ce jour, certaines pathologies peuvent être prévenues grâce à la phytothérapie, utilisée notamment dans l’alimentation. De nombreuses plantes contiennent des principes actifs préventifs. « Ces composés contenus dans les plantes alimentaires sont appelés phyto-nutriments ou phyto-micronutriments qui peuvent participer à prévenir des maladies cardiovasculaires », fait savoir le Dr MOREL. De fait, le maître-mot est la variété alimentaire, afin de bénéficier de multiples principes actifs. » L’usage des aromates permet également une meilleure maîtrise de la satiété en agissant sur les glandes digestives. Certaines personnes s’orientent donc vers des phytothérapeutes dans un but préventif, notamment pour éviter les problèmes d’infections répétées chez les enfants, les cystites chez les adultes, les problématiques psycho-émotionnelles ainsi que les troubles du sommeil. Certaines pathologies chroniques peuvent aussi être accompagnées par la phytothérapie, notamment les migraines. De même que cette technique peut être utilisée en soins de support, particulièrement dans le cadre d’une meilleure tolérance des chimiothérapies. Ou encore, sur un autre pan, pour les petites maladies courantes comme un rhume, des maux de ventre, etc.
« L’exercice de la médecine étant bien codifié, avec la réalisation de diagnostics et la mise en place de traitements, la phytothérapie devrait ainsi être réservée aux médecins diplômés, d’autant plus qu’il faut porter une attention particulière aux interactions médicamenteuses », estime le Dr MOREL, précisant que des phytothérapeutes se spécialisent pour l’accompagnement des maladies chroniques. Les médecins, les pharmaciens ou les professions médicales pouvant prescrire, ont accès à des formations de type Diplômes universitaires (DU) tandis que « les surspécialisations s’acquièrent sur le terrain », conclut-il.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
À ce jour, certaines pathologies peuvent être prévenues grâce à la phytothérapie, utilisée notamment dans l’alimentation. De nombreuses plantes contiennent des principes actifs préventifs. « Ces composés contenus dans les plantes alimentaires sont appelés phyto-nutriments ou phyto-micronutriments qui peuvent participer à prévenir des maladies cardiovasculaires », fait savoir le Dr MOREL. De fait, le maître-mot est la variété alimentaire, afin de bénéficier de multiples principes actifs. » L’usage des aromates permet également une meilleure maîtrise de la satiété en agissant sur les glandes digestives. Certaines personnes s’orientent donc vers des phytothérapeutes dans un but préventif, notamment pour éviter les problèmes d’infections répétées chez les enfants, les cystites chez les adultes, les problématiques psycho-émotionnelles ainsi que les troubles du sommeil. Certaines pathologies chroniques peuvent aussi être accompagnées par la phytothérapie, notamment les migraines. De même que cette technique peut être utilisée en soins de support, particulièrement dans le cadre d’une meilleure tolérance des chimiothérapies. Ou encore, sur un autre pan, pour les petites maladies courantes comme un rhume, des maux de ventre, etc.
« L’exercice de la médecine étant bien codifié, avec la réalisation de diagnostics et la mise en place de traitements, la phytothérapie devrait ainsi être réservée aux médecins diplômés, d’autant plus qu’il faut porter une attention particulière aux interactions médicamenteuses », estime le Dr MOREL, précisant que des phytothérapeutes se spécialisent pour l’accompagnement des maladies chroniques. Les médecins, les pharmaciens ou les professions médicales pouvant prescrire, ont accès à des formations de type Diplômes universitaires (DU) tandis que « les surspécialisations s’acquièrent sur le terrain », conclut-il.
La phytothérapie consiste en l’usage des plantes médicinales, utilisée de manière préventive dans de nombreuses situations. Une pratique exercée par des professionnels de santé formés.
Mots clés : Phytothérapie - Prévention - Médecine complémentaire
La phytothérapie ou plus exactement la phyto-aromathérapie est une technique thérapeutique ayant recours aux plantes ou aux essences de plantes. « L’aromathérapie, par l’usage des huiles essentielles, est une composante de la phytothérapie, explique le Dr Jean-Michel MOREL, médecin généraliste et phytothérapeute, aujourd’hui à la retraite. Parmi les autres composés de la plante utilisés en phytothérapie, on trouve les extraits embryonnaires (macérats de bourgeons) et les huiles végétales pressées à partir des graines oléagineuses. Les composés actifs les plus fréquents sont hydrosolubles, et sont ainsi extraits pour les tisanes. Ils sont également présents dans les teintures alcooliques, les extraits secs ou dans les poudres de plantes. »
À ce jour, certaines pathologies peuvent être prévenues grâce à la phytothérapie, utilisée notamment dans l’alimentation. De nombreuses plantes contiennent des principes actifs préventifs. « Ces composés contenus dans les plantes alimentaires sont appelés phyto-nutriments ou phyto-micronutriments qui peuvent participer à prévenir des maladies cardiovasculaires », fait savoir le Dr MOREL. De fait, le maître-mot est la variété alimentaire, afin de bénéficier de multiples principes actifs. » L’usage des aromates permet également une meilleure maîtrise de la satiété en agissant sur les glandes digestives. Certaines personnes s’orientent donc vers des phytothérapeutes dans un but préventif, notamment pour éviter les problèmes d’infections répétées chez les enfants, les cystites chez les adultes, les problématiques psycho-émotionnelles ainsi que les troubles du sommeil. Certaines pathologies chroniques peuvent aussi être accompagnées par la phytothérapie, notamment les migraines. De même que cette technique peut être utilisée en soins de support, particulièrement dans le cadre d’une meilleure tolérance des chimiothérapies. Ou encore, sur un autre pan, pour les petites maladies courantes comme un rhume, des maux de ventre, etc.
« L’exercice de la médecine étant bien codifié, avec la réalisation de diagnostics et la mise en place de traitements, la phytothérapie devrait ainsi être réservée aux médecins diplômés, d’autant plus qu’il faut porter une attention particulière aux interactions médicamenteuses », estime le Dr MOREL, précisant que des phytothérapeutes se spécialisent pour l’accompagnement des maladies chroniques. Les médecins, les pharmaciens ou les professions médicales pouvant prescrire, ont accès à des formations de type Diplômes universitaires (DU) tandis que « les surspécialisations s’acquièrent sur le terrain », conclut-il.