Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La phytothérapie consiste en l’utilisation de végétaux. Ces plantes médicinales sont utilisées en tout ou partie (racine, fleurs, feuilles, écorce, etc.) et sous diverses présentations : séchées, en poudre, sous forme d’extraits concentrés ou d’huiles essentielles pour les plantes aromatiques. Les voies d’administration sont variées : ingestion de gélules, d’infusion ou de décoction, applications cutanées, inhalation ou fumigation.
Il existe des diplômes universitaires de phyto-aromathérapie (2 ans pour les professionnels non médicaux, débouchant sur une activité limitée à l’information et au conseil, ou 3 ans, ouvrant à la pratique médicale de la phytothérapie, réservée aux médecins, vétérinaires, pharmaciens, sages-femmes, dentistes). Il n’existe plus de diplôme d’herboriste reconnu par l’État. Les formations dispensées par des organismes privés ne sont donc pas reconnues.
L’utilisation des plantes n’est pas sans risques. Certaines peuvent présenter une certaine toxicité, surtout en cas d’utilisation prolongée (au-delà de 3 semaines). Il est important de bien connaître la composition des mélanges ou extraits, et la provenance des plantes. Il faut éviter de les acheter n’importe où : privilégier la pharmacie, la boutique bio ou l’herboristerie, accompagné des conseils d'une personne formée.
Si l’usage des plantes est familial et quotidien à travers l’utilisation d’aromates dans la cuisine et la consommation de tisanes, et s’il existe de nombreux écrits sur les plantes pouvant être utiles pour préserver sa santé, il faut rester prudent dans l'automédication et l'usage à des fins thérapeutiques. Des sorties botaniques permettent d’identifier les plantes et d’en apprendre plus sur leurs propriétés.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La phytothérapie consiste en l’utilisation de végétaux. Ces plantes médicinales sont utilisées en tout ou partie (racine, fleurs, feuilles, écorce, etc.) et sous diverses présentations : séchées, en poudre, sous forme d’extraits concentrés ou d’huiles essentielles pour les plantes aromatiques. Les voies d’administration sont variées : ingestion de gélules, d’infusion ou de décoction, applications cutanées, inhalation ou fumigation.
Il existe des diplômes universitaires de phyto-aromathérapie (2 ans pour les professionnels non médicaux, débouchant sur une activité limitée à l’information et au conseil, ou 3 ans, ouvrant à la pratique médicale de la phytothérapie, réservée aux médecins, vétérinaires, pharmaciens, sages-femmes, dentistes). Il n’existe plus de diplôme d’herboriste reconnu par l’État. Les formations dispensées par des organismes privés ne sont donc pas reconnues.
L’utilisation des plantes n’est pas sans risques. Certaines peuvent présenter une certaine toxicité, surtout en cas d’utilisation prolongée (au-delà de 3 semaines). Il est important de bien connaître la composition des mélanges ou extraits, et la provenance des plantes. Il faut éviter de les acheter n’importe où : privilégier la pharmacie, la boutique bio ou l’herboristerie, accompagné des conseils d'une personne formée.
Si l’usage des plantes est familial et quotidien à travers l’utilisation d’aromates dans la cuisine et la consommation de tisanes, et s’il existe de nombreux écrits sur les plantes pouvant être utiles pour préserver sa santé, il faut rester prudent dans l'automédication et l'usage à des fins thérapeutiques. Des sorties botaniques permettent d’identifier les plantes et d’en apprendre plus sur leurs propriétés.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La phytothérapie consiste en l’utilisation de végétaux. Ces plantes médicinales sont utilisées en tout ou partie (racine, fleurs, feuilles, écorce, etc.) et sous diverses présentations : séchées, en poudre, sous forme d’extraits concentrés ou d’huiles essentielles pour les plantes aromatiques. Les voies d’administration sont variées : ingestion de gélules, d’infusion ou de décoction, applications cutanées, inhalation ou fumigation.
Il existe des diplômes universitaires de phyto-aromathérapie (2 ans pour les professionnels non médicaux, débouchant sur une activité limitée à l’information et au conseil, ou 3 ans, ouvrant à la pratique médicale de la phytothérapie, réservée aux médecins, vétérinaires, pharmaciens, sages-femmes, dentistes). Il n’existe plus de diplôme d’herboriste reconnu par l’État. Les formations dispensées par des organismes privés ne sont donc pas reconnues.
L’utilisation des plantes n’est pas sans risques. Certaines peuvent présenter une certaine toxicité, surtout en cas d’utilisation prolongée (au-delà de 3 semaines). Il est important de bien connaître la composition des mélanges ou extraits, et la provenance des plantes. Il faut éviter de les acheter n’importe où : privilégier la pharmacie, la boutique bio ou l’herboristerie, accompagné des conseils d'une personne formée.
Si l’usage des plantes est familial et quotidien à travers l’utilisation d’aromates dans la cuisine et la consommation de tisanes, et s’il existe de nombreux écrits sur les plantes pouvant être utiles pour préserver sa santé, il faut rester prudent dans l'automédication et l'usage à des fins thérapeutiques. Des sorties botaniques permettent d’identifier les plantes et d’en apprendre plus sur leurs propriétés.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La phytothérapie consiste en l’utilisation de végétaux. Ces plantes médicinales sont utilisées en tout ou partie (racine, fleurs, feuilles, écorce, etc.) et sous diverses présentations : séchées, en poudre, sous forme d’extraits concentrés ou d’huiles essentielles pour les plantes aromatiques. Les voies d’administration sont variées : ingestion de gélules, d’infusion ou de décoction, applications cutanées, inhalation ou fumigation.
Il existe des diplômes universitaires de phyto-aromathérapie (2 ans pour les professionnels non médicaux, débouchant sur une activité limitée à l’information et au conseil, ou 3 ans, ouvrant à la pratique médicale de la phytothérapie, réservée aux médecins, vétérinaires, pharmaciens, sages-femmes, dentistes). Il n’existe plus de diplôme d’herboriste reconnu par l’État. Les formations dispensées par des organismes privés ne sont donc pas reconnues.
L’utilisation des plantes n’est pas sans risques. Certaines peuvent présenter une certaine toxicité, surtout en cas d’utilisation prolongée (au-delà de 3 semaines). Il est important de bien connaître la composition des mélanges ou extraits, et la provenance des plantes. Il faut éviter de les acheter n’importe où : privilégier la pharmacie, la boutique bio ou l’herboristerie, accompagné des conseils d'une personne formée.
Si l’usage des plantes est familial et quotidien à travers l’utilisation d’aromates dans la cuisine et la consommation de tisanes, et s’il existe de nombreux écrits sur les plantes pouvant être utiles pour préserver sa santé, il faut rester prudent dans l'automédication et l'usage à des fins thérapeutiques. Des sorties botaniques permettent d’identifier les plantes et d’en apprendre plus sur leurs propriétés.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
La phytothérapie consiste en l’utilisation de végétaux. Ces plantes médicinales sont utilisées en tout ou partie (racine, fleurs, feuilles, écorce, etc.) et sous diverses présentations : séchées, en poudre, sous forme d’extraits concentrés ou d’huiles essentielles pour les plantes aromatiques. Les voies d’administration sont variées : ingestion de gélules, d’infusion ou de décoction, applications cutanées, inhalation ou fumigation.
Il existe des diplômes universitaires de phyto-aromathérapie (2 ans pour les professionnels non médicaux, débouchant sur une activité limitée à l’information et au conseil, ou 3 ans, ouvrant à la pratique médicale de la phytothérapie, réservée aux médecins, vétérinaires, pharmaciens, sages-femmes, dentistes). Il n’existe plus de diplôme d’herboriste reconnu par l’État. Les formations dispensées par des organismes privés ne sont donc pas reconnues.
L’utilisation des plantes n’est pas sans risques. Certaines peuvent présenter une certaine toxicité, surtout en cas d’utilisation prolongée (au-delà de 3 semaines). Il est important de bien connaître la composition des mélanges ou extraits, et la provenance des plantes. Il faut éviter de les acheter n’importe où : privilégier la pharmacie, la boutique bio ou l’herboristerie, accompagné des conseils d'une personne formée.
Si l’usage des plantes est familial et quotidien à travers l’utilisation d’aromates dans la cuisine et la consommation de tisanes, et s’il existe de nombreux écrits sur les plantes pouvant être utiles pour préserver sa santé, il faut rester prudent dans l'automédication et l'usage à des fins thérapeutiques. Des sorties botaniques permettent d’identifier les plantes et d’en apprendre plus sur leurs propriétés.
Fiche verte : MCA ACCEPTÉE Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation et qui sont largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comportent pas de risques ou de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les MCA s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La phytothérapie consiste en l’utilisation de végétaux. Ces plantes médicinales sont utilisées en tout ou partie (racine, fleurs, feuilles, écorce, etc.) et sous diverses présentations : séchées, en poudre, sous forme d’extraits concentrés ou d’huiles essentielles pour les plantes aromatiques. Les voies d’administration sont variées : ingestion de gélules, d’infusion ou de décoction, applications cutanées, inhalation ou fumigation.
Il existe des diplômes universitaires de phyto-aromathérapie (2 ans pour les professionnels non médicaux, débouchant sur une activité limitée à l’information et au conseil, ou 3 ans, ouvrant à la pratique médicale de la phytothérapie, réservée aux médecins, vétérinaires, pharmaciens, sages-femmes, dentistes). Il n’existe plus de diplôme d’herboriste reconnu par l’État. Les formations dispensées par des organismes privés ne sont donc pas reconnues.
L’utilisation des plantes n’est pas sans risques. Certaines peuvent présenter une certaine toxicité, surtout en cas d’utilisation prolongée (au-delà de 3 semaines). Il est important de bien connaître la composition des mélanges ou extraits, et la provenance des plantes. Il faut éviter de les acheter n’importe où : privilégier la pharmacie, la boutique bio ou l’herboristerie, accompagné des conseils d'une personne formée.
Si l’usage des plantes est familial et quotidien à travers l’utilisation d’aromates dans la cuisine et la consommation de tisanes, et s’il existe de nombreux écrits sur les plantes pouvant être utiles pour préserver sa santé, il faut rester prudent dans l'automédication et l'usage à des fins thérapeutiques. Des sorties botaniques permettent d’identifier les plantes et d’en apprendre plus sur leurs propriétés.