Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
C’est le Pr Antoine BIOY, responsable scientifique de l’A-MCA et du centre de formation Ipnosia, professeur de psychologie clinique et psychopathologie à l’université Paris 8 et hypnothérapeute, ainsi que le Dr François BOURGOGNON, psychiatre, psychothérapeute, praticien à l’Institut de cancérologie de Lorraine, et directeur de Mindful-France, qui ont lancé la réflexion. L’hypnose peut être assimilée à trois dimensions, a rappelé le Pr BIOY : un état de transe (l’état hypnotique), un processus (se mettre dans cet état) et une pratique (faire de l’hypnose). Côté méditation, le mot « renvoie à des sens très différents selon le contexte dans lequel il est utilisé à savoir philosophique, religieux ou thérapeutique », a indiqué le Dr BOURGOGNON. Les deux pratiques peuvent finalement conduire à un état de transe et se distinguent de la médecine conventionnelle. Dans le domaine de la santé, la méditation dite de pleine conscience est de plus en plus utilisée dans le soin de la souffrance physique ou psychique. Quant à l’hypnose, elle est, pour le Pr BIOY, « la zone de tolérance de la médecine pour intégrer en son sein une pratique non conventionnelle. La médecine tente avec l’hypnose, une greffe d’une part d’incongru dans ses pratiques, une part ″d’irrationnel tolérable″ car l’hypnose semble plus scientifique que d’autres pratiques ».
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
C’est le Pr Antoine BIOY, responsable scientifique de l’A-MCA et du centre de formation Ipnosia, professeur de psychologie clinique et psychopathologie à l’université Paris 8 et hypnothérapeute, ainsi que le Dr François BOURGOGNON, psychiatre, psychothérapeute, praticien à l’Institut de cancérologie de Lorraine, et directeur de Mindful-France, qui ont lancé la réflexion. L’hypnose peut être assimilée à trois dimensions, a rappelé le Pr BIOY : un état de transe (l’état hypnotique), un processus (se mettre dans cet état) et une pratique (faire de l’hypnose). Côté méditation, le mot « renvoie à des sens très différents selon le contexte dans lequel il est utilisé à savoir philosophique, religieux ou thérapeutique », a indiqué le Dr BOURGOGNON. Les deux pratiques peuvent finalement conduire à un état de transe et se distinguent de la médecine conventionnelle. Dans le domaine de la santé, la méditation dite de pleine conscience est de plus en plus utilisée dans le soin de la souffrance physique ou psychique. Quant à l’hypnose, elle est, pour le Pr BIOY, « la zone de tolérance de la médecine pour intégrer en son sein une pratique non conventionnelle. La médecine tente avec l’hypnose, une greffe d’une part d’incongru dans ses pratiques, une part ″d’irrationnel tolérable″ car l’hypnose semble plus scientifique que d’autres pratiques ».
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
C’est le Pr Antoine BIOY, responsable scientifique de l’A-MCA et du centre de formation Ipnosia, professeur de psychologie clinique et psychopathologie à l’université Paris 8 et hypnothérapeute, ainsi que le Dr François BOURGOGNON, psychiatre, psychothérapeute, praticien à l’Institut de cancérologie de Lorraine, et directeur de Mindful-France, qui ont lancé la réflexion. L’hypnose peut être assimilée à trois dimensions, a rappelé le Pr BIOY : un état de transe (l’état hypnotique), un processus (se mettre dans cet état) et une pratique (faire de l’hypnose). Côté méditation, le mot « renvoie à des sens très différents selon le contexte dans lequel il est utilisé à savoir philosophique, religieux ou thérapeutique », a indiqué le Dr BOURGOGNON. Les deux pratiques peuvent finalement conduire à un état de transe et se distinguent de la médecine conventionnelle. Dans le domaine de la santé, la méditation dite de pleine conscience est de plus en plus utilisée dans le soin de la souffrance physique ou psychique. Quant à l’hypnose, elle est, pour le Pr BIOY, « la zone de tolérance de la médecine pour intégrer en son sein une pratique non conventionnelle. La médecine tente avec l’hypnose, une greffe d’une part d’incongru dans ses pratiques, une part ″d’irrationnel tolérable″ car l’hypnose semble plus scientifique que d’autres pratiques ».
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
C’est le Pr Antoine BIOY, responsable scientifique de l’A-MCA et du centre de formation Ipnosia, professeur de psychologie clinique et psychopathologie à l’université Paris 8 et hypnothérapeute, ainsi que le Dr François BOURGOGNON, psychiatre, psychothérapeute, praticien à l’Institut de cancérologie de Lorraine, et directeur de Mindful-France, qui ont lancé la réflexion. L’hypnose peut être assimilée à trois dimensions, a rappelé le Pr BIOY : un état de transe (l’état hypnotique), un processus (se mettre dans cet état) et une pratique (faire de l’hypnose). Côté méditation, le mot « renvoie à des sens très différents selon le contexte dans lequel il est utilisé à savoir philosophique, religieux ou thérapeutique », a indiqué le Dr BOURGOGNON. Les deux pratiques peuvent finalement conduire à un état de transe et se distinguent de la médecine conventionnelle. Dans le domaine de la santé, la méditation dite de pleine conscience est de plus en plus utilisée dans le soin de la souffrance physique ou psychique. Quant à l’hypnose, elle est, pour le Pr BIOY, « la zone de tolérance de la médecine pour intégrer en son sein une pratique non conventionnelle. La médecine tente avec l’hypnose, une greffe d’une part d’incongru dans ses pratiques, une part ″d’irrationnel tolérable″ car l’hypnose semble plus scientifique que d’autres pratiques ».
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
C’est le Pr Antoine BIOY, responsable scientifique de l’A-MCA et du centre de formation Ipnosia, professeur de psychologie clinique et psychopathologie à l’université Paris 8 et hypnothérapeute, ainsi que le Dr François BOURGOGNON, psychiatre, psychothérapeute, praticien à l’Institut de cancérologie de Lorraine, et directeur de Mindful-France, qui ont lancé la réflexion. L’hypnose peut être assimilée à trois dimensions, a rappelé le Pr BIOY : un état de transe (l’état hypnotique), un processus (se mettre dans cet état) et une pratique (faire de l’hypnose). Côté méditation, le mot « renvoie à des sens très différents selon le contexte dans lequel il est utilisé à savoir philosophique, religieux ou thérapeutique », a indiqué le Dr BOURGOGNON. Les deux pratiques peuvent finalement conduire à un état de transe et se distinguent de la médecine conventionnelle. Dans le domaine de la santé, la méditation dite de pleine conscience est de plus en plus utilisée dans le soin de la souffrance physique ou psychique. Quant à l’hypnose, elle est, pour le Pr BIOY, « la zone de tolérance de la médecine pour intégrer en son sein une pratique non conventionnelle. La médecine tente avec l’hypnose, une greffe d’une part d’incongru dans ses pratiques, une part ″d’irrationnel tolérable″ car l’hypnose semble plus scientifique que d’autres pratiques ».
L’A-MCA a été partenaire d’un webinaire organisé le 27 mars 2021 par deux centres de formation, Ipnosia et Mindful-France, sur l’hypnose et la méditation en santé. Le Pr Antoine BIOY, responsable scientifique de l’A-MCA et du centre de formation Ipnosia, et le Dr François BOURGOGNON, psychiatre, psychothérapeute, praticien à l’Institut de cancérologie de Lorraine, et directeur de Mindful-France, ont éclairé les participants sur ces deux pratiques.
L'hypnose et la méditation sont deux pratiques parfois comparées, assimilées voire opposées. C’était tout l’objet de cette matinée organisée pour les professionnels exerçant dans le champ de la santé. La première partie a permis aux spécialistes de la méditation et de l'hypnose d’éclaircir la définition de ces pratiques en abordant les différences d'approches et les ressentis des patients et praticiens, puis leur champ d’intervention respectifs ainsi que les zones communes. Dans un second temps, des exercices ont été proposés aux participants afin d’illustrer de façon expérientielle les propos échangés. La finalité du webinaire était de bien définir les deux pratiques, de faire l’expérience de chacune d’elle et de situations où elles peuvent se coupler, puis d’acquérir des méthodes simples permettant d’intégrer des moments d’hypnose et de méditation dans son quotidien personnel et professionnel.
C’est le Pr Antoine BIOY, responsable scientifique de l’A-MCA et du centre de formation Ipnosia, professeur de psychologie clinique et psychopathologie à l’université Paris 8 et hypnothérapeute, ainsi que le Dr François BOURGOGNON, psychiatre, psychothérapeute, praticien à l’Institut de cancérologie de Lorraine, et directeur de Mindful-France, qui ont lancé la réflexion. L’hypnose peut être assimilée à trois dimensions, a rappelé le Pr BIOY : un état de transe (l’état hypnotique), un processus (se mettre dans cet état) et une pratique (faire de l’hypnose). Côté méditation, le mot « renvoie à des sens très différents selon le contexte dans lequel il est utilisé à savoir philosophique, religieux ou thérapeutique », a indiqué le Dr BOURGOGNON. Les deux pratiques peuvent finalement conduire à un état de transe et se distinguent de la médecine conventionnelle. Dans le domaine de la santé, la méditation dite de pleine conscience est de plus en plus utilisée dans le soin de la souffrance physique ou psychique. Quant à l’hypnose, elle est, pour le Pr BIOY, « la zone de tolérance de la médecine pour intégrer en son sein une pratique non conventionnelle. La médecine tente avec l’hypnose, une greffe d’une part d’incongru dans ses pratiques, une part ″d’irrationnel tolérable″ car l’hypnose semble plus scientifique que d’autres pratiques ».