Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Bien entendu, qui dit besoins nutritionnels, dit normes et valeurs caloriques à respecter en fonction de l’état de santé de chacun, afin de couvrir les besoins. Les repères dépendent du poids, de la masse musculaire, de l’Indice de masse corporelle (IMC) ou encore des habitudes de vie de la personne, notamment si elle a une activité physique. « Il est aussi possible de se baser sur les résultats d’une prise de sang pour détecter d’éventuelles carences », fait savoir Astrid ELMAALOUF. Et de poursuivre : « Tout le monde à ses propres croyances sur ce qu’il faut manger. C’est pourquoi il me semble important que chacun détienne des bases en diététique, afin de s’assurer de la bonne voie à suivre. » Cela concerne chaque catégorie d’âge. Par exemple, si une personne ne mange pas de viande rouge, il faut qu’elle sache comment la remplacer pour ne pas avoir de carences. De même qu’il peut être intéressant pour une personne fatiguée de recevoir des conseils pour adopter une alimentation « vitaminée ». « En aucun cas, il ne faut tomber dans l’obsession, car cela peut impacter la notion de plaisir, prévient la diététicienne. Détenir des règles diététiques est une bonne chose, mais il ne faut pas pour autant sortir la calculette pour compter les calories à chaque repas. » C’est d’autant plus important par rapport au bien-être moral et physique. Aucun aliment n’est interdit sauf en cas de maladie spécifique.
Dès lors qu’une personne présente une pathologie, il peut être nécessaire de mettre en place des adaptations au niveau de son alimentation, afin de combler d’éventuelles défaillances du corps. « En gériatrie, par exemple, nous adaptons l’alimentation, car avec l’âge, les personnes âgées mangent souvent moins et se dénutrissent », rapporte Astrid ELMAALOUF. Il s’agit pourtant d’une période de la vie où, au contraire, il faudrait davantage s’alimenter, car la personne âgée assimile moins bien et perd de la masse musculaire. Une fragilité peut alors s’installer. « Nous allons donc travailler la stimulation, la personnalisation et l’adaptation de l’alimentation entre autres, pour qu’elle mange davantage, indique-t-elle. À ce stade, la priorité reste la couverture des besoins nutritionnels, même si l’équilibre alimentaire n’est pas forcément respecté. »
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Bien entendu, qui dit besoins nutritionnels, dit normes et valeurs caloriques à respecter en fonction de l’état de santé de chacun, afin de couvrir les besoins. Les repères dépendent du poids, de la masse musculaire, de l’Indice de masse corporelle (IMC) ou encore des habitudes de vie de la personne, notamment si elle a une activité physique. « Il est aussi possible de se baser sur les résultats d’une prise de sang pour détecter d’éventuelles carences », fait savoir Astrid ELMAALOUF. Et de poursuivre : « Tout le monde à ses propres croyances sur ce qu’il faut manger. C’est pourquoi il me semble important que chacun détienne des bases en diététique, afin de s’assurer de la bonne voie à suivre. » Cela concerne chaque catégorie d’âge. Par exemple, si une personne ne mange pas de viande rouge, il faut qu’elle sache comment la remplacer pour ne pas avoir de carences. De même qu’il peut être intéressant pour une personne fatiguée de recevoir des conseils pour adopter une alimentation « vitaminée ». « En aucun cas, il ne faut tomber dans l’obsession, car cela peut impacter la notion de plaisir, prévient la diététicienne. Détenir des règles diététiques est une bonne chose, mais il ne faut pas pour autant sortir la calculette pour compter les calories à chaque repas. » C’est d’autant plus important par rapport au bien-être moral et physique. Aucun aliment n’est interdit sauf en cas de maladie spécifique.
Dès lors qu’une personne présente une pathologie, il peut être nécessaire de mettre en place des adaptations au niveau de son alimentation, afin de combler d’éventuelles défaillances du corps. « En gériatrie, par exemple, nous adaptons l’alimentation, car avec l’âge, les personnes âgées mangent souvent moins et se dénutrissent », rapporte Astrid ELMAALOUF. Il s’agit pourtant d’une période de la vie où, au contraire, il faudrait davantage s’alimenter, car la personne âgée assimile moins bien et perd de la masse musculaire. Une fragilité peut alors s’installer. « Nous allons donc travailler la stimulation, la personnalisation et l’adaptation de l’alimentation entre autres, pour qu’elle mange davantage, indique-t-elle. À ce stade, la priorité reste la couverture des besoins nutritionnels, même si l’équilibre alimentaire n’est pas forcément respecté. »
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Bien entendu, qui dit besoins nutritionnels, dit normes et valeurs caloriques à respecter en fonction de l’état de santé de chacun, afin de couvrir les besoins. Les repères dépendent du poids, de la masse musculaire, de l’Indice de masse corporelle (IMC) ou encore des habitudes de vie de la personne, notamment si elle a une activité physique. « Il est aussi possible de se baser sur les résultats d’une prise de sang pour détecter d’éventuelles carences », fait savoir Astrid ELMAALOUF. Et de poursuivre : « Tout le monde à ses propres croyances sur ce qu’il faut manger. C’est pourquoi il me semble important que chacun détienne des bases en diététique, afin de s’assurer de la bonne voie à suivre. » Cela concerne chaque catégorie d’âge. Par exemple, si une personne ne mange pas de viande rouge, il faut qu’elle sache comment la remplacer pour ne pas avoir de carences. De même qu’il peut être intéressant pour une personne fatiguée de recevoir des conseils pour adopter une alimentation « vitaminée ». « En aucun cas, il ne faut tomber dans l’obsession, car cela peut impacter la notion de plaisir, prévient la diététicienne. Détenir des règles diététiques est une bonne chose, mais il ne faut pas pour autant sortir la calculette pour compter les calories à chaque repas. » C’est d’autant plus important par rapport au bien-être moral et physique. Aucun aliment n’est interdit sauf en cas de maladie spécifique.
Dès lors qu’une personne présente une pathologie, il peut être nécessaire de mettre en place des adaptations au niveau de son alimentation, afin de combler d’éventuelles défaillances du corps. « En gériatrie, par exemple, nous adaptons l’alimentation, car avec l’âge, les personnes âgées mangent souvent moins et se dénutrissent », rapporte Astrid ELMAALOUF. Il s’agit pourtant d’une période de la vie où, au contraire, il faudrait davantage s’alimenter, car la personne âgée assimile moins bien et perd de la masse musculaire. Une fragilité peut alors s’installer. « Nous allons donc travailler la stimulation, la personnalisation et l’adaptation de l’alimentation entre autres, pour qu’elle mange davantage, indique-t-elle. À ce stade, la priorité reste la couverture des besoins nutritionnels, même si l’équilibre alimentaire n’est pas forcément respecté. »
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Bien entendu, qui dit besoins nutritionnels, dit normes et valeurs caloriques à respecter en fonction de l’état de santé de chacun, afin de couvrir les besoins. Les repères dépendent du poids, de la masse musculaire, de l’Indice de masse corporelle (IMC) ou encore des habitudes de vie de la personne, notamment si elle a une activité physique. « Il est aussi possible de se baser sur les résultats d’une prise de sang pour détecter d’éventuelles carences », fait savoir Astrid ELMAALOUF. Et de poursuivre : « Tout le monde à ses propres croyances sur ce qu’il faut manger. C’est pourquoi il me semble important que chacun détienne des bases en diététique, afin de s’assurer de la bonne voie à suivre. » Cela concerne chaque catégorie d’âge. Par exemple, si une personne ne mange pas de viande rouge, il faut qu’elle sache comment la remplacer pour ne pas avoir de carences. De même qu’il peut être intéressant pour une personne fatiguée de recevoir des conseils pour adopter une alimentation « vitaminée ». « En aucun cas, il ne faut tomber dans l’obsession, car cela peut impacter la notion de plaisir, prévient la diététicienne. Détenir des règles diététiques est une bonne chose, mais il ne faut pas pour autant sortir la calculette pour compter les calories à chaque repas. » C’est d’autant plus important par rapport au bien-être moral et physique. Aucun aliment n’est interdit sauf en cas de maladie spécifique.
Dès lors qu’une personne présente une pathologie, il peut être nécessaire de mettre en place des adaptations au niveau de son alimentation, afin de combler d’éventuelles défaillances du corps. « En gériatrie, par exemple, nous adaptons l’alimentation, car avec l’âge, les personnes âgées mangent souvent moins et se dénutrissent », rapporte Astrid ELMAALOUF. Il s’agit pourtant d’une période de la vie où, au contraire, il faudrait davantage s’alimenter, car la personne âgée assimile moins bien et perd de la masse musculaire. Une fragilité peut alors s’installer. « Nous allons donc travailler la stimulation, la personnalisation et l’adaptation de l’alimentation entre autres, pour qu’elle mange davantage, indique-t-elle. À ce stade, la priorité reste la couverture des besoins nutritionnels, même si l’équilibre alimentaire n’est pas forcément respecté. »
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Bien entendu, qui dit besoins nutritionnels, dit normes et valeurs caloriques à respecter en fonction de l’état de santé de chacun, afin de couvrir les besoins. Les repères dépendent du poids, de la masse musculaire, de l’Indice de masse corporelle (IMC) ou encore des habitudes de vie de la personne, notamment si elle a une activité physique. « Il est aussi possible de se baser sur les résultats d’une prise de sang pour détecter d’éventuelles carences », fait savoir Astrid ELMAALOUF. Et de poursuivre : « Tout le monde à ses propres croyances sur ce qu’il faut manger. C’est pourquoi il me semble important que chacun détienne des bases en diététique, afin de s’assurer de la bonne voie à suivre. » Cela concerne chaque catégorie d’âge. Par exemple, si une personne ne mange pas de viande rouge, il faut qu’elle sache comment la remplacer pour ne pas avoir de carences. De même qu’il peut être intéressant pour une personne fatiguée de recevoir des conseils pour adopter une alimentation « vitaminée ». « En aucun cas, il ne faut tomber dans l’obsession, car cela peut impacter la notion de plaisir, prévient la diététicienne. Détenir des règles diététiques est une bonne chose, mais il ne faut pas pour autant sortir la calculette pour compter les calories à chaque repas. » C’est d’autant plus important par rapport au bien-être moral et physique. Aucun aliment n’est interdit sauf en cas de maladie spécifique.
Dès lors qu’une personne présente une pathologie, il peut être nécessaire de mettre en place des adaptations au niveau de son alimentation, afin de combler d’éventuelles défaillances du corps. « En gériatrie, par exemple, nous adaptons l’alimentation, car avec l’âge, les personnes âgées mangent souvent moins et se dénutrissent », rapporte Astrid ELMAALOUF. Il s’agit pourtant d’une période de la vie où, au contraire, il faudrait davantage s’alimenter, car la personne âgée assimile moins bien et perd de la masse musculaire. Une fragilité peut alors s’installer. « Nous allons donc travailler la stimulation, la personnalisation et l’adaptation de l’alimentation entre autres, pour qu’elle mange davantage, indique-t-elle. À ce stade, la priorité reste la couverture des besoins nutritionnels, même si l’équilibre alimentaire n’est pas forcément respecté. »
En diététique, il y a des règles à respecter pour permettre à chacun de couvrir ses besoins nutritionnels. Mais pour autant, cela n’empêche pas de se faire plaisir en mangeant, bien au contraire.
Mots clés : Alimentation - Diététique - Nutrition - Santé
« Il est important de suivre des règles hygiéno-diététiques afin d’avoir une alimentation équilibrée sur la durée, indique Astrid ELMAALOUF, diététicienne en gériatrie, en milieu hospitalier. Cet équilibre se met en place, non pas sur une journée, mais plutôt sur une semaine, voire sur le mois. Il faut juste savoir réguler et ajuster au fil des jours. » Cette alimentation équilibrée se compose notamment de fruits, de légumes, de protéines ou encore de produits laitiers. « L’objectif reste malgré tout de se faire plaisir, et ce, même d’un point de vue visuel, car cela peut contribuer à une meilleure assimilation des aliments par le corps », ajoute-t-elle. Il est également important d’écouter son ressenti et ses envies, qui peuvent parfois être une manifestation d’un besoin du corps.
Bien entendu, qui dit besoins nutritionnels, dit normes et valeurs caloriques à respecter en fonction de l’état de santé de chacun, afin de couvrir les besoins. Les repères dépendent du poids, de la masse musculaire, de l’Indice de masse corporelle (IMC) ou encore des habitudes de vie de la personne, notamment si elle a une activité physique. « Il est aussi possible de se baser sur les résultats d’une prise de sang pour détecter d’éventuelles carences », fait savoir Astrid ELMAALOUF. Et de poursuivre : « Tout le monde à ses propres croyances sur ce qu’il faut manger. C’est pourquoi il me semble important que chacun détienne des bases en diététique, afin de s’assurer de la bonne voie à suivre. » Cela concerne chaque catégorie d’âge. Par exemple, si une personne ne mange pas de viande rouge, il faut qu’elle sache comment la remplacer pour ne pas avoir de carences. De même qu’il peut être intéressant pour une personne fatiguée de recevoir des conseils pour adopter une alimentation « vitaminée ». « En aucun cas, il ne faut tomber dans l’obsession, car cela peut impacter la notion de plaisir, prévient la diététicienne. Détenir des règles diététiques est une bonne chose, mais il ne faut pas pour autant sortir la calculette pour compter les calories à chaque repas. » C’est d’autant plus important par rapport au bien-être moral et physique. Aucun aliment n’est interdit sauf en cas de maladie spécifique.
Dès lors qu’une personne présente une pathologie, il peut être nécessaire de mettre en place des adaptations au niveau de son alimentation, afin de combler d’éventuelles défaillances du corps. « En gériatrie, par exemple, nous adaptons l’alimentation, car avec l’âge, les personnes âgées mangent souvent moins et se dénutrissent », rapporte Astrid ELMAALOUF. Il s’agit pourtant d’une période de la vie où, au contraire, il faudrait davantage s’alimenter, car la personne âgée assimile moins bien et perd de la masse musculaire. Une fragilité peut alors s’installer. « Nous allons donc travailler la stimulation, la personnalisation et l’adaptation de l’alimentation entre autres, pour qu’elle mange davantage, indique-t-elle. À ce stade, la priorité reste la couverture des besoins nutritionnels, même si l’équilibre alimentaire n’est pas forcément respecté. »