Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les réflexions que soulèvent l’alimentation sont multiples et concernent la santé de toutes les populations. Pour autant, la situation n’en est pas moins paradoxale puisque selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en 2018, plus de 113 millions de personnes dans 53 pays étaient au bord de la famine alors que plus de 2 milliards de personnes dans le monde étaient en surpoids. Obésité et sous-nutrition sont deux phénomènes de malnutrition qui vont désormais de pair car liés à une mauvaise alimentation. Naturellement, le débat introductif de ce nouveau cycle a porté sur « qu’est-ce que bien manger ? » L’occasion d’aborder la notion d’équilibre alimentaire pour avoir une bonne santé, équilibre qui a été décliné lors de cette conférence, pour les différents âges de la vie et dans des situations particulières comme pour les sportifs, les femmes enceintes ou encore les personnes âgées.
A côté de cet équilibre « académique », certains régimes alimentaires, quelques soient les motivations qui les entraînent, ont également été discutés. C’est dans ce cadre qu’est intervenu le Pr Antoine BIOY, psychologue clinicien et hypnothérapeute, afin de faire un point sur les aspects psychologiques en lien avec les régimes et la régulation alimentaire. Il a ainsi rappelé que le corps possède une histoire individuelle, familiale, culturelle, et le fait de « travailler son corps » peut être le signe d’un équilibre plus vaste qui ne se trouve pas, éventuellement d’une psychopathologie. De fait, une attention particulière, dans certains cas un diagnostic, sur ces questions est nécessaire. Car toute régulation alimentaire voire un régime venant « travailler le corps » pose la question d’un équilibre global à trouver. Ce travail peut nécessiter un suivi par un professionnel du psychisme et dans tous les cas, une approche complémentaire est un réflexe utile à condition bien entendu d’en discuter en amont avec le futur bénéficiaire s’il ne l’a jamais pratiquée. Il est fait référence ici à l’hypnose, la méditation, l’acupuncture ou encore à l’activité physique adaptée, autant de pratiques qui participent à une démarche respectueuse de soi et de son corps, et qui sont la manifestation de l’écoute de ses besoins au-delà de ses envies.
Un deuxième débat a été organisé en juin sur la recherche de la définition du « bien manger » à partir de la qualité et de la quantité, et de l’alimentation comme source de maladies.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les réflexions que soulèvent l’alimentation sont multiples et concernent la santé de toutes les populations. Pour autant, la situation n’en est pas moins paradoxale puisque selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en 2018, plus de 113 millions de personnes dans 53 pays étaient au bord de la famine alors que plus de 2 milliards de personnes dans le monde étaient en surpoids. Obésité et sous-nutrition sont deux phénomènes de malnutrition qui vont désormais de pair car liés à une mauvaise alimentation. Naturellement, le débat introductif de ce nouveau cycle a porté sur « qu’est-ce que bien manger ? » L’occasion d’aborder la notion d’équilibre alimentaire pour avoir une bonne santé, équilibre qui a été décliné lors de cette conférence, pour les différents âges de la vie et dans des situations particulières comme pour les sportifs, les femmes enceintes ou encore les personnes âgées.
A côté de cet équilibre « académique », certains régimes alimentaires, quelques soient les motivations qui les entraînent, ont également été discutés. C’est dans ce cadre qu’est intervenu le Pr Antoine BIOY, psychologue clinicien et hypnothérapeute, afin de faire un point sur les aspects psychologiques en lien avec les régimes et la régulation alimentaire. Il a ainsi rappelé que le corps possède une histoire individuelle, familiale, culturelle, et le fait de « travailler son corps » peut être le signe d’un équilibre plus vaste qui ne se trouve pas, éventuellement d’une psychopathologie. De fait, une attention particulière, dans certains cas un diagnostic, sur ces questions est nécessaire. Car toute régulation alimentaire voire un régime venant « travailler le corps » pose la question d’un équilibre global à trouver. Ce travail peut nécessiter un suivi par un professionnel du psychisme et dans tous les cas, une approche complémentaire est un réflexe utile à condition bien entendu d’en discuter en amont avec le futur bénéficiaire s’il ne l’a jamais pratiquée. Il est fait référence ici à l’hypnose, la méditation, l’acupuncture ou encore à l’activité physique adaptée, autant de pratiques qui participent à une démarche respectueuse de soi et de son corps, et qui sont la manifestation de l’écoute de ses besoins au-delà de ses envies.
Un deuxième débat a été organisé en juin sur la recherche de la définition du « bien manger » à partir de la qualité et de la quantité, et de l’alimentation comme source de maladies.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les réflexions que soulèvent l’alimentation sont multiples et concernent la santé de toutes les populations. Pour autant, la situation n’en est pas moins paradoxale puisque selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en 2018, plus de 113 millions de personnes dans 53 pays étaient au bord de la famine alors que plus de 2 milliards de personnes dans le monde étaient en surpoids. Obésité et sous-nutrition sont deux phénomènes de malnutrition qui vont désormais de pair car liés à une mauvaise alimentation. Naturellement, le débat introductif de ce nouveau cycle a porté sur « qu’est-ce que bien manger ? » L’occasion d’aborder la notion d’équilibre alimentaire pour avoir une bonne santé, équilibre qui a été décliné lors de cette conférence, pour les différents âges de la vie et dans des situations particulières comme pour les sportifs, les femmes enceintes ou encore les personnes âgées.
A côté de cet équilibre « académique », certains régimes alimentaires, quelques soient les motivations qui les entraînent, ont également été discutés. C’est dans ce cadre qu’est intervenu le Pr Antoine BIOY, psychologue clinicien et hypnothérapeute, afin de faire un point sur les aspects psychologiques en lien avec les régimes et la régulation alimentaire. Il a ainsi rappelé que le corps possède une histoire individuelle, familiale, culturelle, et le fait de « travailler son corps » peut être le signe d’un équilibre plus vaste qui ne se trouve pas, éventuellement d’une psychopathologie. De fait, une attention particulière, dans certains cas un diagnostic, sur ces questions est nécessaire. Car toute régulation alimentaire voire un régime venant « travailler le corps » pose la question d’un équilibre global à trouver. Ce travail peut nécessiter un suivi par un professionnel du psychisme et dans tous les cas, une approche complémentaire est un réflexe utile à condition bien entendu d’en discuter en amont avec le futur bénéficiaire s’il ne l’a jamais pratiquée. Il est fait référence ici à l’hypnose, la méditation, l’acupuncture ou encore à l’activité physique adaptée, autant de pratiques qui participent à une démarche respectueuse de soi et de son corps, et qui sont la manifestation de l’écoute de ses besoins au-delà de ses envies.
Un deuxième débat a été organisé en juin sur la recherche de la définition du « bien manger » à partir de la qualité et de la quantité, et de l’alimentation comme source de maladies.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les réflexions que soulèvent l’alimentation sont multiples et concernent la santé de toutes les populations. Pour autant, la situation n’en est pas moins paradoxale puisque selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en 2018, plus de 113 millions de personnes dans 53 pays étaient au bord de la famine alors que plus de 2 milliards de personnes dans le monde étaient en surpoids. Obésité et sous-nutrition sont deux phénomènes de malnutrition qui vont désormais de pair car liés à une mauvaise alimentation. Naturellement, le débat introductif de ce nouveau cycle a porté sur « qu’est-ce que bien manger ? » L’occasion d’aborder la notion d’équilibre alimentaire pour avoir une bonne santé, équilibre qui a été décliné lors de cette conférence, pour les différents âges de la vie et dans des situations particulières comme pour les sportifs, les femmes enceintes ou encore les personnes âgées.
A côté de cet équilibre « académique », certains régimes alimentaires, quelques soient les motivations qui les entraînent, ont également été discutés. C’est dans ce cadre qu’est intervenu le Pr Antoine BIOY, psychologue clinicien et hypnothérapeute, afin de faire un point sur les aspects psychologiques en lien avec les régimes et la régulation alimentaire. Il a ainsi rappelé que le corps possède une histoire individuelle, familiale, culturelle, et le fait de « travailler son corps » peut être le signe d’un équilibre plus vaste qui ne se trouve pas, éventuellement d’une psychopathologie. De fait, une attention particulière, dans certains cas un diagnostic, sur ces questions est nécessaire. Car toute régulation alimentaire voire un régime venant « travailler le corps » pose la question d’un équilibre global à trouver. Ce travail peut nécessiter un suivi par un professionnel du psychisme et dans tous les cas, une approche complémentaire est un réflexe utile à condition bien entendu d’en discuter en amont avec le futur bénéficiaire s’il ne l’a jamais pratiquée. Il est fait référence ici à l’hypnose, la méditation, l’acupuncture ou encore à l’activité physique adaptée, autant de pratiques qui participent à une démarche respectueuse de soi et de son corps, et qui sont la manifestation de l’écoute de ses besoins au-delà de ses envies.
Un deuxième débat a été organisé en juin sur la recherche de la définition du « bien manger » à partir de la qualité et de la quantité, et de l’alimentation comme source de maladies.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Les réflexions que soulèvent l’alimentation sont multiples et concernent la santé de toutes les populations. Pour autant, la situation n’en est pas moins paradoxale puisque selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en 2018, plus de 113 millions de personnes dans 53 pays étaient au bord de la famine alors que plus de 2 milliards de personnes dans le monde étaient en surpoids. Obésité et sous-nutrition sont deux phénomènes de malnutrition qui vont désormais de pair car liés à une mauvaise alimentation. Naturellement, le débat introductif de ce nouveau cycle a porté sur « qu’est-ce que bien manger ? » L’occasion d’aborder la notion d’équilibre alimentaire pour avoir une bonne santé, équilibre qui a été décliné lors de cette conférence, pour les différents âges de la vie et dans des situations particulières comme pour les sportifs, les femmes enceintes ou encore les personnes âgées.
A côté de cet équilibre « académique », certains régimes alimentaires, quelques soient les motivations qui les entraînent, ont également été discutés. C’est dans ce cadre qu’est intervenu le Pr Antoine BIOY, psychologue clinicien et hypnothérapeute, afin de faire un point sur les aspects psychologiques en lien avec les régimes et la régulation alimentaire. Il a ainsi rappelé que le corps possède une histoire individuelle, familiale, culturelle, et le fait de « travailler son corps » peut être le signe d’un équilibre plus vaste qui ne se trouve pas, éventuellement d’une psychopathologie. De fait, une attention particulière, dans certains cas un diagnostic, sur ces questions est nécessaire. Car toute régulation alimentaire voire un régime venant « travailler le corps » pose la question d’un équilibre global à trouver. Ce travail peut nécessiter un suivi par un professionnel du psychisme et dans tous les cas, une approche complémentaire est un réflexe utile à condition bien entendu d’en discuter en amont avec le futur bénéficiaire s’il ne l’a jamais pratiquée. Il est fait référence ici à l’hypnose, la méditation, l’acupuncture ou encore à l’activité physique adaptée, autant de pratiques qui participent à une démarche respectueuse de soi et de son corps, et qui sont la manifestation de l’écoute de ses besoins au-delà de ses envies.
Un deuxième débat a été organisé en juin sur la recherche de la définition du « bien manger » à partir de la qualité et de la quantité, et de l’alimentation comme source de maladies.
La Fondation de l’Académie de médecine a initié au mois de mars 2021, un nouveau cycle de débats sur le thème de « l’alimentation aujourd’hui et demain », auquel l’A-MCA a participé.
L’A-MCA est partenaire de l’événement de la fondation de l’académie de médecine. Dans ce cadre, le Pr Antoine BIOY, responsable scientifique de l’A-MCA apporte son éclairage sur les liens existants entre « alimentation », « médecines complémentaires » et « santé ».
Les réflexions que soulèvent l’alimentation sont multiples et concernent la santé de toutes les populations. Pour autant, la situation n’en est pas moins paradoxale puisque selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en 2018, plus de 113 millions de personnes dans 53 pays étaient au bord de la famine alors que plus de 2 milliards de personnes dans le monde étaient en surpoids. Obésité et sous-nutrition sont deux phénomènes de malnutrition qui vont désormais de pair car liés à une mauvaise alimentation. Naturellement, le débat introductif de ce nouveau cycle a porté sur « qu’est-ce que bien manger ? » L’occasion d’aborder la notion d’équilibre alimentaire pour avoir une bonne santé, équilibre qui a été décliné lors de cette conférence, pour les différents âges de la vie et dans des situations particulières comme pour les sportifs, les femmes enceintes ou encore les personnes âgées.
A côté de cet équilibre « académique », certains régimes alimentaires, quelques soient les motivations qui les entraînent, ont également été discutés. C’est dans ce cadre qu’est intervenu le Pr Antoine BIOY, psychologue clinicien et hypnothérapeute, afin de faire un point sur les aspects psychologiques en lien avec les régimes et la régulation alimentaire. Il a ainsi rappelé que le corps possède une histoire individuelle, familiale, culturelle, et le fait de « travailler son corps » peut être le signe d’un équilibre plus vaste qui ne se trouve pas, éventuellement d’une psychopathologie. De fait, une attention particulière, dans certains cas un diagnostic, sur ces questions est nécessaire. Car toute régulation alimentaire voire un régime venant « travailler le corps » pose la question d’un équilibre global à trouver. Ce travail peut nécessiter un suivi par un professionnel du psychisme et dans tous les cas, une approche complémentaire est un réflexe utile à condition bien entendu d’en discuter en amont avec le futur bénéficiaire s’il ne l’a jamais pratiquée. Il est fait référence ici à l’hypnose, la méditation, l’acupuncture ou encore à l’activité physique adaptée, autant de pratiques qui participent à une démarche respectueuse de soi et de son corps, et qui sont la manifestation de l’écoute de ses besoins au-delà de ses envies.
Un deuxième débat a été organisé en juin sur la recherche de la définition du « bien manger » à partir de la qualité et de la quantité, et de l’alimentation comme source de maladies.