Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pour aborder les contre-indications liées aux pratiques manuelles de bien-être, il est important de clarifier la distinction entre ces pratiques et les approches manuelles. Cette distinction est essentielle pour que chacun exerce dans son domaine de compétences et pour éviter toute forme de dérives.
Les approches manuelles regroupent plusieurs techniques spécifiques qui traitent des pathologies différentes. Elles sont pratiquées par des professionnels de domaines variés : kinésithérapie, ostéopathie, chiropraxie et ergothérapie. Caractérisées par un traitement non invasif, elles utilisent essentiellement les mains du praticien (soignant).
Les pratiques manuelles de bien-être sont des techniques de relaxation et des techniques de bien-être visant une détente corporelle et une relaxation afin d’obtenir un état de bien-être général. Ce sont des pratiques de prévention et d’action indiquées pour détendre, relaxer, prévenir, soulager un grand nombre de troubles fonctionnels dus au stress, et favoriser l’équilibre du métabolisme.
Chaque technique a ses objectifs et ses spécificités. Par exemple, le massage dit« de bien-être » vise un toucher englobant ou enveloppant de l’ensemble du corps. Quant à la réflexologie, elle se base sur le principe selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à une zone dite « zone réflexe » projetée notamment sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles.
Lors de cette formation, Élisabeth Breton aborde en détail les contre-indications des pratiques manuelles de bien-être. En effet, celles-ci, principalement indiquées pour favoriser la relaxation et réduire le stress, ne sont pas toujours appropriées. À l’instar des recommandations médicales, de nombreuses situations nécessitent en amont un avis médical, suivi d'une adaptation à la pratique de bien-être, telles que :
- Phlébite et/ou thrombose
- Diabète grave
- Hypertension importante
- Maladies inflammatoires du pied, fractures, entorses, lésions et plaies ouvertes
Cette formation souligne l'importance de reconnaître que tout état pathologique ou entraînant un trouble important de la santé peut constituer une contre-indication aux pratiques manuelles. En cas de doute, il est recommandé de consulter un médecin avant toute séance. Des contre-indications relatives existent également et nécessitent une adaptation des séances en fonction de l’état et de l’âge de la personne. Les notions d’adaptation et de personnalisation, approfondies lors de la formation, sont fondamentales pour intervenir efficacement dans le champ des fragilités.
Accès sur inscription obligatoire (Vous munir du n° de référence de la commande de votre carte d'adhérent pour appliquer la réduction)
Prioritairement réservée aux membres du Club
Coût pour les membres du Club : 90€
Coût pour les non-membres : 210€
Lieu/date : en visioconférence (réception du lien par mail) le mardi 26 novembre 2024 de 14h30 à 17h30.
Pré-inscrivez-vous à la formation dès maintenant. Un lien de paiement sera envoyé à tous les participants pré-inscrits à la rentrée : Lien de pré-inscription
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pour aborder les contre-indications liées aux pratiques manuelles de bien-être, il est important de clarifier la distinction entre ces pratiques et les approches manuelles. Cette distinction est essentielle pour que chacun exerce dans son domaine de compétences et pour éviter toute forme de dérives.
Les approches manuelles regroupent plusieurs techniques spécifiques qui traitent des pathologies différentes. Elles sont pratiquées par des professionnels de domaines variés : kinésithérapie, ostéopathie, chiropraxie et ergothérapie. Caractérisées par un traitement non invasif, elles utilisent essentiellement les mains du praticien (soignant).
Les pratiques manuelles de bien-être sont des techniques de relaxation et des techniques de bien-être visant une détente corporelle et une relaxation afin d’obtenir un état de bien-être général. Ce sont des pratiques de prévention et d’action indiquées pour détendre, relaxer, prévenir, soulager un grand nombre de troubles fonctionnels dus au stress, et favoriser l’équilibre du métabolisme.
Chaque technique a ses objectifs et ses spécificités. Par exemple, le massage dit« de bien-être » vise un toucher englobant ou enveloppant de l’ensemble du corps. Quant à la réflexologie, elle se base sur le principe selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à une zone dite « zone réflexe » projetée notamment sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles.
Lors de cette formation, Élisabeth Breton aborde en détail les contre-indications des pratiques manuelles de bien-être. En effet, celles-ci, principalement indiquées pour favoriser la relaxation et réduire le stress, ne sont pas toujours appropriées. À l’instar des recommandations médicales, de nombreuses situations nécessitent en amont un avis médical, suivi d'une adaptation à la pratique de bien-être, telles que :
- Phlébite et/ou thrombose
- Diabète grave
- Hypertension importante
- Maladies inflammatoires du pied, fractures, entorses, lésions et plaies ouvertes
Cette formation souligne l'importance de reconnaître que tout état pathologique ou entraînant un trouble important de la santé peut constituer une contre-indication aux pratiques manuelles. En cas de doute, il est recommandé de consulter un médecin avant toute séance. Des contre-indications relatives existent également et nécessitent une adaptation des séances en fonction de l’état et de l’âge de la personne. Les notions d’adaptation et de personnalisation, approfondies lors de la formation, sont fondamentales pour intervenir efficacement dans le champ des fragilités.
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Prioritairement réservée aux membres du Club
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Coût pour les non-membres : 210€
Lieu/date : en visioconférence (réception du lien par mail) le mardi 26 novembre 2024 de 14h30 à 17h30.
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Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pour aborder les contre-indications liées aux pratiques manuelles de bien-être, il est important de clarifier la distinction entre ces pratiques et les approches manuelles. Cette distinction est essentielle pour que chacun exerce dans son domaine de compétences et pour éviter toute forme de dérives.
Les approches manuelles regroupent plusieurs techniques spécifiques qui traitent des pathologies différentes. Elles sont pratiquées par des professionnels de domaines variés : kinésithérapie, ostéopathie, chiropraxie et ergothérapie. Caractérisées par un traitement non invasif, elles utilisent essentiellement les mains du praticien (soignant).
Les pratiques manuelles de bien-être sont des techniques de relaxation et des techniques de bien-être visant une détente corporelle et une relaxation afin d’obtenir un état de bien-être général. Ce sont des pratiques de prévention et d’action indiquées pour détendre, relaxer, prévenir, soulager un grand nombre de troubles fonctionnels dus au stress, et favoriser l’équilibre du métabolisme.
Chaque technique a ses objectifs et ses spécificités. Par exemple, le massage dit« de bien-être » vise un toucher englobant ou enveloppant de l’ensemble du corps. Quant à la réflexologie, elle se base sur le principe selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à une zone dite « zone réflexe » projetée notamment sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles.
Lors de cette formation, Élisabeth Breton aborde en détail les contre-indications des pratiques manuelles de bien-être. En effet, celles-ci, principalement indiquées pour favoriser la relaxation et réduire le stress, ne sont pas toujours appropriées. À l’instar des recommandations médicales, de nombreuses situations nécessitent en amont un avis médical, suivi d'une adaptation à la pratique de bien-être, telles que :
- Phlébite et/ou thrombose
- Diabète grave
- Hypertension importante
- Maladies inflammatoires du pied, fractures, entorses, lésions et plaies ouvertes
Cette formation souligne l'importance de reconnaître que tout état pathologique ou entraînant un trouble important de la santé peut constituer une contre-indication aux pratiques manuelles. En cas de doute, il est recommandé de consulter un médecin avant toute séance. Des contre-indications relatives existent également et nécessitent une adaptation des séances en fonction de l’état et de l’âge de la personne. Les notions d’adaptation et de personnalisation, approfondies lors de la formation, sont fondamentales pour intervenir efficacement dans le champ des fragilités.
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Coût pour les membres du Club : 90€
Coût pour les non-membres : 210€
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Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pour aborder les contre-indications liées aux pratiques manuelles de bien-être, il est important de clarifier la distinction entre ces pratiques et les approches manuelles. Cette distinction est essentielle pour que chacun exerce dans son domaine de compétences et pour éviter toute forme de dérives.
Les approches manuelles regroupent plusieurs techniques spécifiques qui traitent des pathologies différentes. Elles sont pratiquées par des professionnels de domaines variés : kinésithérapie, ostéopathie, chiropraxie et ergothérapie. Caractérisées par un traitement non invasif, elles utilisent essentiellement les mains du praticien (soignant).
Les pratiques manuelles de bien-être sont des techniques de relaxation et des techniques de bien-être visant une détente corporelle et une relaxation afin d’obtenir un état de bien-être général. Ce sont des pratiques de prévention et d’action indiquées pour détendre, relaxer, prévenir, soulager un grand nombre de troubles fonctionnels dus au stress, et favoriser l’équilibre du métabolisme.
Chaque technique a ses objectifs et ses spécificités. Par exemple, le massage dit« de bien-être » vise un toucher englobant ou enveloppant de l’ensemble du corps. Quant à la réflexologie, elle se base sur le principe selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à une zone dite « zone réflexe » projetée notamment sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles.
Lors de cette formation, Élisabeth Breton aborde en détail les contre-indications des pratiques manuelles de bien-être. En effet, celles-ci, principalement indiquées pour favoriser la relaxation et réduire le stress, ne sont pas toujours appropriées. À l’instar des recommandations médicales, de nombreuses situations nécessitent en amont un avis médical, suivi d'une adaptation à la pratique de bien-être, telles que :
- Phlébite et/ou thrombose
- Diabète grave
- Hypertension importante
- Maladies inflammatoires du pied, fractures, entorses, lésions et plaies ouvertes
Cette formation souligne l'importance de reconnaître que tout état pathologique ou entraînant un trouble important de la santé peut constituer une contre-indication aux pratiques manuelles. En cas de doute, il est recommandé de consulter un médecin avant toute séance. Des contre-indications relatives existent également et nécessitent une adaptation des séances en fonction de l’état et de l’âge de la personne. Les notions d’adaptation et de personnalisation, approfondies lors de la formation, sont fondamentales pour intervenir efficacement dans le champ des fragilités.
Accès sur inscription obligatoire (Vous munir du n° de référence de la commande de votre carte d'adhérent pour appliquer la réduction)
Prioritairement réservée aux membres du Club
Coût pour les membres du Club : 90€
Coût pour les non-membres : 210€
Lieu/date : en visioconférence (réception du lien par mail) le mardi 26 novembre 2024 de 14h30 à 17h30.
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Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Pour aborder les contre-indications liées aux pratiques manuelles de bien-être, il est important de clarifier la distinction entre ces pratiques et les approches manuelles. Cette distinction est essentielle pour que chacun exerce dans son domaine de compétences et pour éviter toute forme de dérives.
Les approches manuelles regroupent plusieurs techniques spécifiques qui traitent des pathologies différentes. Elles sont pratiquées par des professionnels de domaines variés : kinésithérapie, ostéopathie, chiropraxie et ergothérapie. Caractérisées par un traitement non invasif, elles utilisent essentiellement les mains du praticien (soignant).
Les pratiques manuelles de bien-être sont des techniques de relaxation et des techniques de bien-être visant une détente corporelle et une relaxation afin d’obtenir un état de bien-être général. Ce sont des pratiques de prévention et d’action indiquées pour détendre, relaxer, prévenir, soulager un grand nombre de troubles fonctionnels dus au stress, et favoriser l’équilibre du métabolisme.
Chaque technique a ses objectifs et ses spécificités. Par exemple, le massage dit« de bien-être » vise un toucher englobant ou enveloppant de l’ensemble du corps. Quant à la réflexologie, elle se base sur le principe selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à une zone dite « zone réflexe » projetée notamment sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles.
Lors de cette formation, Élisabeth Breton aborde en détail les contre-indications des pratiques manuelles de bien-être. En effet, celles-ci, principalement indiquées pour favoriser la relaxation et réduire le stress, ne sont pas toujours appropriées. À l’instar des recommandations médicales, de nombreuses situations nécessitent en amont un avis médical, suivi d'une adaptation à la pratique de bien-être, telles que :
- Phlébite et/ou thrombose
- Diabète grave
- Hypertension importante
- Maladies inflammatoires du pied, fractures, entorses, lésions et plaies ouvertes
Cette formation souligne l'importance de reconnaître que tout état pathologique ou entraînant un trouble important de la santé peut constituer une contre-indication aux pratiques manuelles. En cas de doute, il est recommandé de consulter un médecin avant toute séance. Des contre-indications relatives existent également et nécessitent une adaptation des séances en fonction de l’état et de l’âge de la personne. Les notions d’adaptation et de personnalisation, approfondies lors de la formation, sont fondamentales pour intervenir efficacement dans le champ des fragilités.
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Prioritairement réservée aux membres du Club
Coût pour les membres du Club : 90€
Coût pour les non-membres : 210€
Lieu/date : en visioconférence (réception du lien par mail) le mardi 26 novembre 2024 de 14h30 à 17h30.
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Le mardi 26 novembre 2024 de 14h30 à 17h30, le Club SAR-CAN, en partenariat avec l'Espace de formation de l'A-MCA, vous invite à une formation dédiée aux pratiques manuelles et leurs contre-indications. Cette formation de trois heures sera animée par Élisabeth BRETON, relaxologue, réflexologue RNCP, praticienne du réseau de l'A-MCA et auteure de plusieurs ouvrages sur le stress et la réflexologie. Ouverte à tous les praticiens, avec une priorité pour les membres du Club SAR-CAN, cette session est particulièrement recommandée aux praticiens du toucher.
Cette formation a pour objectif de sensibiliser les participants à la thématique des contre-indications dans les pratiques manuelles de bien-être, d'acquérir des connaissances et des compétences pratiques dans ce domaine, et de favoriser la bonne posture professionnelle.
Pour aborder les contre-indications liées aux pratiques manuelles de bien-être, il est important de clarifier la distinction entre ces pratiques et les approches manuelles. Cette distinction est essentielle pour que chacun exerce dans son domaine de compétences et pour éviter toute forme de dérives.
Les approches manuelles regroupent plusieurs techniques spécifiques qui traitent des pathologies différentes. Elles sont pratiquées par des professionnels de domaines variés : kinésithérapie, ostéopathie, chiropraxie et ergothérapie. Caractérisées par un traitement non invasif, elles utilisent essentiellement les mains du praticien (soignant).
Les pratiques manuelles de bien-être sont des techniques de relaxation et des techniques de bien-être visant une détente corporelle et une relaxation afin d’obtenir un état de bien-être général. Ce sont des pratiques de prévention et d’action indiquées pour détendre, relaxer, prévenir, soulager un grand nombre de troubles fonctionnels dus au stress, et favoriser l’équilibre du métabolisme.
Chaque technique a ses objectifs et ses spécificités. Par exemple, le massage dit« de bien-être » vise un toucher englobant ou enveloppant de l’ensemble du corps. Quant à la réflexologie, elle se base sur le principe selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à une zone dite « zone réflexe » projetée notamment sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles.
Lors de cette formation, Élisabeth Breton aborde en détail les contre-indications des pratiques manuelles de bien-être. En effet, celles-ci, principalement indiquées pour favoriser la relaxation et réduire le stress, ne sont pas toujours appropriées. À l’instar des recommandations médicales, de nombreuses situations nécessitent en amont un avis médical, suivi d'une adaptation à la pratique de bien-être, telles que :
- Phlébite et/ou thrombose
- Diabète grave
- Hypertension importante
- Maladies inflammatoires du pied, fractures, entorses, lésions et plaies ouvertes
Cette formation souligne l'importance de reconnaître que tout état pathologique ou entraînant un trouble important de la santé peut constituer une contre-indication aux pratiques manuelles. En cas de doute, il est recommandé de consulter un médecin avant toute séance. Des contre-indications relatives existent également et nécessitent une adaptation des séances en fonction de l’état et de l’âge de la personne. Les notions d’adaptation et de personnalisation, approfondies lors de la formation, sont fondamentales pour intervenir efficacement dans le champ des fragilités.
Accès sur inscription obligatoire (Vous munir du n° de référence de la commande de votre carte d'adhérent pour appliquer la réduction)
Prioritairement réservée aux membres du Club
Coût pour les membres du Club : 90€
Coût pour les non-membres : 210€
Lieu/date : en visioconférence (réception du lien par mail) le mardi 26 novembre 2024 de 14h30 à 17h30.
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