Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les évolutions considérables dans le domaine de l’oncologie ont conduit à l’allongement de l’espérance de vie et participent aux mutations conceptuelles du soin et de la prise en charge des malades. À ce titre, l’instauration des soins de support représente l’archétype d’une nouvelle approche « centrée sur la personne » et ses besoins caractéristiques. Si la chronicité de la maladie rend compte des avancées en matière de traitements, elle questionne toutefois une démarche thérapeutique particulièrement longue, lourde et douloureuse menée auprès d’une population vieillissante et fragilisée. Dans cette perspective, l’émergence de l’oncogériatrie traduit la volonté d’une personnalisation de l’accompagnement et la prise en considération accrue des besoins spécifiques au sein de la population âgée.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les évolutions considérables dans le domaine de l’oncologie ont conduit à l’allongement de l’espérance de vie et participent aux mutations conceptuelles du soin et de la prise en charge des malades. À ce titre, l’instauration des soins de support représente l’archétype d’une nouvelle approche « centrée sur la personne » et ses besoins caractéristiques. Si la chronicité de la maladie rend compte des avancées en matière de traitements, elle questionne toutefois une démarche thérapeutique particulièrement longue, lourde et douloureuse menée auprès d’une population vieillissante et fragilisée. Dans cette perspective, l’émergence de l’oncogériatrie traduit la volonté d’une personnalisation de l’accompagnement et la prise en considération accrue des besoins spécifiques au sein de la population âgée.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les évolutions considérables dans le domaine de l’oncologie ont conduit à l’allongement de l’espérance de vie et participent aux mutations conceptuelles du soin et de la prise en charge des malades. À ce titre, l’instauration des soins de support représente l’archétype d’une nouvelle approche « centrée sur la personne » et ses besoins caractéristiques. Si la chronicité de la maladie rend compte des avancées en matière de traitements, elle questionne toutefois une démarche thérapeutique particulièrement longue, lourde et douloureuse menée auprès d’une population vieillissante et fragilisée. Dans cette perspective, l’émergence de l’oncogériatrie traduit la volonté d’une personnalisation de l’accompagnement et la prise en considération accrue des besoins spécifiques au sein de la population âgée.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les évolutions considérables dans le domaine de l’oncologie ont conduit à l’allongement de l’espérance de vie et participent aux mutations conceptuelles du soin et de la prise en charge des malades. À ce titre, l’instauration des soins de support représente l’archétype d’une nouvelle approche « centrée sur la personne » et ses besoins caractéristiques. Si la chronicité de la maladie rend compte des avancées en matière de traitements, elle questionne toutefois une démarche thérapeutique particulièrement longue, lourde et douloureuse menée auprès d’une population vieillissante et fragilisée. Dans cette perspective, l’émergence de l’oncogériatrie traduit la volonté d’une personnalisation de l’accompagnement et la prise en considération accrue des besoins spécifiques au sein de la population âgée.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Les évolutions considérables dans le domaine de l’oncologie ont conduit à l’allongement de l’espérance de vie et participent aux mutations conceptuelles du soin et de la prise en charge des malades. À ce titre, l’instauration des soins de support représente l’archétype d’une nouvelle approche « centrée sur la personne » et ses besoins caractéristiques. Si la chronicité de la maladie rend compte des avancées en matière de traitements, elle questionne toutefois une démarche thérapeutique particulièrement longue, lourde et douloureuse menée auprès d’une population vieillissante et fragilisée. Dans cette perspective, l’émergence de l’oncogériatrie traduit la volonté d’une personnalisation de l’accompagnement et la prise en considération accrue des besoins spécifiques au sein de la population âgée.
Véronique SUISSA et al (2020) ont publié un article scientifique centré sur l’accompagnement des personnes âgées touchées par le cancer.
L’oncogériatrie, discipline relativement récente, demeure peu structurée sur le terrain. La dynamique d’humanisation des soins se heurte inévitablement à des situations cliniques complexes, imposant une réflexion relative à son intérêt et ses limites dans son application. Ainsi, cet article a pour objet de proposer un état des lieux de la prise en charge oncogériatrique en soulevant une articulation complexe entre la « théorie des soins » et « sa mise en œuvre sur le terrain ».
Les évolutions considérables dans le domaine de l’oncologie ont conduit à l’allongement de l’espérance de vie et participent aux mutations conceptuelles du soin et de la prise en charge des malades. À ce titre, l’instauration des soins de support représente l’archétype d’une nouvelle approche « centrée sur la personne » et ses besoins caractéristiques. Si la chronicité de la maladie rend compte des avancées en matière de traitements, elle questionne toutefois une démarche thérapeutique particulièrement longue, lourde et douloureuse menée auprès d’une population vieillissante et fragilisée. Dans cette perspective, l’émergence de l’oncogériatrie traduit la volonté d’une personnalisation de l’accompagnement et la prise en considération accrue des besoins spécifiques au sein de la population âgée.