Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le stand 14 intitulé « Place des médecines complémentaires et Alternatives (MCA) en cancérologie » s’intéresse à l’A-MCA.
L’A-MCA est un lieu de réflexions et d’actions portant sur la structuration des Médecines Complémentaires et Alternatives (MCA). Sa création répond à la nécessité d’asseoir une culture du soin centrée sur le « care » en santé en favorisant l’essor structuré des MCA et plus largement du soin relationnel et non médicamenteux.
L’A-MCA coopère avec l’écosystème de la santé et l’ensemble des acteurs impliqués dans l’accompagnement au sens du ”prendre soin”. Elle mène des initiatives transverses (débats, expérimentations, publications, formations, etc.) dans une logique d’intégration des pratiques bénéfiques tout en luttant contre les dérives en santé.
Objectifs : “Porter une intégration cohérente, structurée et sécurisée des Médecines Complémentaires et Alternatives”.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le stand 14 intitulé « Place des médecines complémentaires et Alternatives (MCA) en cancérologie » s’intéresse à l’A-MCA.
L’A-MCA est un lieu de réflexions et d’actions portant sur la structuration des Médecines Complémentaires et Alternatives (MCA). Sa création répond à la nécessité d’asseoir une culture du soin centrée sur le « care » en santé en favorisant l’essor structuré des MCA et plus largement du soin relationnel et non médicamenteux.
L’A-MCA coopère avec l’écosystème de la santé et l’ensemble des acteurs impliqués dans l’accompagnement au sens du ”prendre soin”. Elle mène des initiatives transverses (débats, expérimentations, publications, formations, etc.) dans une logique d’intégration des pratiques bénéfiques tout en luttant contre les dérives en santé.
Objectifs : “Porter une intégration cohérente, structurée et sécurisée des Médecines Complémentaires et Alternatives”.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le stand 14 intitulé « Place des médecines complémentaires et Alternatives (MCA) en cancérologie » s’intéresse à l’A-MCA.
L’A-MCA est un lieu de réflexions et d’actions portant sur la structuration des Médecines Complémentaires et Alternatives (MCA). Sa création répond à la nécessité d’asseoir une culture du soin centrée sur le « care » en santé en favorisant l’essor structuré des MCA et plus largement du soin relationnel et non médicamenteux.
L’A-MCA coopère avec l’écosystème de la santé et l’ensemble des acteurs impliqués dans l’accompagnement au sens du ”prendre soin”. Elle mène des initiatives transverses (débats, expérimentations, publications, formations, etc.) dans une logique d’intégration des pratiques bénéfiques tout en luttant contre les dérives en santé.
Objectifs : “Porter une intégration cohérente, structurée et sécurisée des Médecines Complémentaires et Alternatives”.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le stand 14 intitulé « Place des médecines complémentaires et Alternatives (MCA) en cancérologie » s’intéresse à l’A-MCA.
L’A-MCA est un lieu de réflexions et d’actions portant sur la structuration des Médecines Complémentaires et Alternatives (MCA). Sa création répond à la nécessité d’asseoir une culture du soin centrée sur le « care » en santé en favorisant l’essor structuré des MCA et plus largement du soin relationnel et non médicamenteux.
L’A-MCA coopère avec l’écosystème de la santé et l’ensemble des acteurs impliqués dans l’accompagnement au sens du ”prendre soin”. Elle mène des initiatives transverses (débats, expérimentations, publications, formations, etc.) dans une logique d’intégration des pratiques bénéfiques tout en luttant contre les dérives en santé.
Objectifs : “Porter une intégration cohérente, structurée et sécurisée des Médecines Complémentaires et Alternatives”.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Le stand 14 intitulé « Place des médecines complémentaires et Alternatives (MCA) en cancérologie » s’intéresse à l’A-MCA.
L’A-MCA est un lieu de réflexions et d’actions portant sur la structuration des Médecines Complémentaires et Alternatives (MCA). Sa création répond à la nécessité d’asseoir une culture du soin centrée sur le « care » en santé en favorisant l’essor structuré des MCA et plus largement du soin relationnel et non médicamenteux.
L’A-MCA coopère avec l’écosystème de la santé et l’ensemble des acteurs impliqués dans l’accompagnement au sens du ”prendre soin”. Elle mène des initiatives transverses (débats, expérimentations, publications, formations, etc.) dans une logique d’intégration des pratiques bénéfiques tout en luttant contre les dérives en santé.
Objectifs : “Porter une intégration cohérente, structurée et sécurisée des Médecines Complémentaires et Alternatives”.
Dans le cadre de la cinquième Rencontre Régionale ETP et Parcours de soins en Cancérologie (RRETPK) intitulée « Parcours de soins et éducation du patient en cancérologie », qui se tiendra le 19 novembre, Véronique SUISSA et Serge GUÉRIN tiendront un stand « virtuel » pour présenter l’A-MCA.
Dans le cadre de ces nouvelles rencontres régionales, un forum virtuel est organisé autour d’ateliers à thématiques, de stands virtuels et de tables rondes en lien avec le parcours de soins des patients atteints de cancer. Véronique SUISSA et Serge GUÉRIN y tiendront un stand pour présenter l’Agence des Médecines Complémentaires et Alternatives (A-MCA) et échanger sur les enjeux liés aux médecines complémentaires. Un format interactif permettant à la fois de démocratiser le débat autour des MCA et de mieux comprendre le rôle et l’action de l’A-MCA.
Le stand 14 intitulé « Place des médecines complémentaires et Alternatives (MCA) en cancérologie » s’intéresse à l’A-MCA.
L’A-MCA est un lieu de réflexions et d’actions portant sur la structuration des Médecines Complémentaires et Alternatives (MCA). Sa création répond à la nécessité d’asseoir une culture du soin centrée sur le « care » en santé en favorisant l’essor structuré des MCA et plus largement du soin relationnel et non médicamenteux.
L’A-MCA coopère avec l’écosystème de la santé et l’ensemble des acteurs impliqués dans l’accompagnement au sens du ”prendre soin”. Elle mène des initiatives transverses (débats, expérimentations, publications, formations, etc.) dans une logique d’intégration des pratiques bénéfiques tout en luttant contre les dérives en santé.
Objectifs : “Porter une intégration cohérente, structurée et sécurisée des Médecines Complémentaires et Alternatives”.