Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Shiatsu est un mot japonais signifiant « pression avec les doigts ». C’est un art du toucher qui prend ses racines au Japon. Le Shiatsu est une discipline manuelle qui s’inscrit dans la prévention et dans l’accompagnement à une meilleure santé.
Il se reçoit à tout âge, habillé(e) de vêtements confortables, allongé(e) au sol sur un futon ou sur une table de soin. Les pressions, principalement avec les pouces et les paumes des mains, sont rythmées et adaptatives sur l’ensemble du corps. L’objectif serait de redonner un équilibre aussi bien à la structure corporelle (os, muscles) qu’à la circulation de l’énergie (Ki en japonais ou Qi en chinois).
En 1997, l’Union européenne avait officiellement reconnu le Shiatsu comme une pratique digne d’intérêts et encourageait les États membres d’en évaluer la balance bénéfices/risques1.
En 2015, les centres de formation affiliés au Syndicat des professionnels de shiatsu (SPS) ont pu délivrer un titre RNCP de « Spécialiste en Shiatsu », métier reconnu par le ministère du Travail en France2.
Depuis 2021, la Fédération française de shiatsu traditionnel (FFST), propose à ses apprenants une certification de compétence professionnelle complémentaire à une certification professionnelle en lien avec le bien-être3.
Un Diplôme universitaire « Shiatsu, accompagnement à la santé » s’est tenu pendant deux ans (2020-2022) à l’Université des sciences et techniques d’Orléans, réservé aux professionnels de Shiatsu déjà installés, titrés ou certifiés.
Aujourd’hui, il y a donc des personnes issues de formations hétérogènes qui dispensent le Shiatsu en France.
Le cursus de base durera entre 500 et 900 heures en fonction des centres de formation.
Il n’y a pas de risques reconnus scientifiquement inhérents à la pratique même du Shiatsu, lorsque la technique est maîtrisée. Tous les professionnels de Shiatsu issus des deux grandes organisations (SPS et FFST) s’engagent à respecter une charte qui les dispensera de toute dérive.
Même s’il est reconnu officiellement au Japon, le monde occidental veut des preuves différentes pour, à son tour, donner une place réelle au Shiatsu dans son système de santé. Depuis une dizaine d’années, de plus en plus de médecins dans le monde s’intéressent au Shiatsu et mettent en place des études cliniques pour son évaluation.
Il existe différents « styles » de Shiatsu : l’ostéoarticulaire (reconnu en premier lieu par le Japon, mis en place par Tokujiro Namikoshi), l’énergétique (basé sur les méridiens d’acupuncture) et le zen (basé sur les méridiens, mais ajoutant d’autres tracés de Shizuto Masunaga).
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Shiatsu est un mot japonais signifiant « pression avec les doigts ». C’est un art du toucher qui prend ses racines au Japon. Le Shiatsu est une discipline manuelle qui s’inscrit dans la prévention et dans l’accompagnement à une meilleure santé.
Il se reçoit à tout âge, habillé(e) de vêtements confortables, allongé(e) au sol sur un futon ou sur une table de soin. Les pressions, principalement avec les pouces et les paumes des mains, sont rythmées et adaptatives sur l’ensemble du corps. L’objectif serait de redonner un équilibre aussi bien à la structure corporelle (os, muscles) qu’à la circulation de l’énergie (Ki en japonais ou Qi en chinois).
En 1997, l’Union européenne avait officiellement reconnu le Shiatsu comme une pratique digne d’intérêts et encourageait les États membres d’en évaluer la balance bénéfices/risques1.
En 2015, les centres de formation affiliés au Syndicat des professionnels de shiatsu (SPS) ont pu délivrer un titre RNCP de « Spécialiste en Shiatsu », métier reconnu par le ministère du Travail en France2.
Depuis 2021, la Fédération française de shiatsu traditionnel (FFST), propose à ses apprenants une certification de compétence professionnelle complémentaire à une certification professionnelle en lien avec le bien-être3.
Un Diplôme universitaire « Shiatsu, accompagnement à la santé » s’est tenu pendant deux ans (2020-2022) à l’Université des sciences et techniques d’Orléans, réservé aux professionnels de Shiatsu déjà installés, titrés ou certifiés.
Aujourd’hui, il y a donc des personnes issues de formations hétérogènes qui dispensent le Shiatsu en France.
Le cursus de base durera entre 500 et 900 heures en fonction des centres de formation.
Il n’y a pas de risques reconnus scientifiquement inhérents à la pratique même du Shiatsu, lorsque la technique est maîtrisée. Tous les professionnels de Shiatsu issus des deux grandes organisations (SPS et FFST) s’engagent à respecter une charte qui les dispensera de toute dérive.
Même s’il est reconnu officiellement au Japon, le monde occidental veut des preuves différentes pour, à son tour, donner une place réelle au Shiatsu dans son système de santé. Depuis une dizaine d’années, de plus en plus de médecins dans le monde s’intéressent au Shiatsu et mettent en place des études cliniques pour son évaluation.
Il existe différents « styles » de Shiatsu : l’ostéoarticulaire (reconnu en premier lieu par le Japon, mis en place par Tokujiro Namikoshi), l’énergétique (basé sur les méridiens d’acupuncture) et le zen (basé sur les méridiens, mais ajoutant d’autres tracés de Shizuto Masunaga).
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Shiatsu est un mot japonais signifiant « pression avec les doigts ». C’est un art du toucher qui prend ses racines au Japon. Le Shiatsu est une discipline manuelle qui s’inscrit dans la prévention et dans l’accompagnement à une meilleure santé.
Il se reçoit à tout âge, habillé(e) de vêtements confortables, allongé(e) au sol sur un futon ou sur une table de soin. Les pressions, principalement avec les pouces et les paumes des mains, sont rythmées et adaptatives sur l’ensemble du corps. L’objectif serait de redonner un équilibre aussi bien à la structure corporelle (os, muscles) qu’à la circulation de l’énergie (Ki en japonais ou Qi en chinois).
En 1997, l’Union européenne avait officiellement reconnu le Shiatsu comme une pratique digne d’intérêts et encourageait les États membres d’en évaluer la balance bénéfices/risques1.
En 2015, les centres de formation affiliés au Syndicat des professionnels de shiatsu (SPS) ont pu délivrer un titre RNCP de « Spécialiste en Shiatsu », métier reconnu par le ministère du Travail en France2.
Depuis 2021, la Fédération française de shiatsu traditionnel (FFST), propose à ses apprenants une certification de compétence professionnelle complémentaire à une certification professionnelle en lien avec le bien-être3.
Un Diplôme universitaire « Shiatsu, accompagnement à la santé » s’est tenu pendant deux ans (2020-2022) à l’Université des sciences et techniques d’Orléans, réservé aux professionnels de Shiatsu déjà installés, titrés ou certifiés.
Aujourd’hui, il y a donc des personnes issues de formations hétérogènes qui dispensent le Shiatsu en France.
Le cursus de base durera entre 500 et 900 heures en fonction des centres de formation.
Il n’y a pas de risques reconnus scientifiquement inhérents à la pratique même du Shiatsu, lorsque la technique est maîtrisée. Tous les professionnels de Shiatsu issus des deux grandes organisations (SPS et FFST) s’engagent à respecter une charte qui les dispensera de toute dérive.
Même s’il est reconnu officiellement au Japon, le monde occidental veut des preuves différentes pour, à son tour, donner une place réelle au Shiatsu dans son système de santé. Depuis une dizaine d’années, de plus en plus de médecins dans le monde s’intéressent au Shiatsu et mettent en place des études cliniques pour son évaluation.
Il existe différents « styles » de Shiatsu : l’ostéoarticulaire (reconnu en premier lieu par le Japon, mis en place par Tokujiro Namikoshi), l’énergétique (basé sur les méridiens d’acupuncture) et le zen (basé sur les méridiens, mais ajoutant d’autres tracés de Shizuto Masunaga).
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Shiatsu est un mot japonais signifiant « pression avec les doigts ». C’est un art du toucher qui prend ses racines au Japon. Le Shiatsu est une discipline manuelle qui s’inscrit dans la prévention et dans l’accompagnement à une meilleure santé.
Il se reçoit à tout âge, habillé(e) de vêtements confortables, allongé(e) au sol sur un futon ou sur une table de soin. Les pressions, principalement avec les pouces et les paumes des mains, sont rythmées et adaptatives sur l’ensemble du corps. L’objectif serait de redonner un équilibre aussi bien à la structure corporelle (os, muscles) qu’à la circulation de l’énergie (Ki en japonais ou Qi en chinois).
En 1997, l’Union européenne avait officiellement reconnu le Shiatsu comme une pratique digne d’intérêts et encourageait les États membres d’en évaluer la balance bénéfices/risques1.
En 2015, les centres de formation affiliés au Syndicat des professionnels de shiatsu (SPS) ont pu délivrer un titre RNCP de « Spécialiste en Shiatsu », métier reconnu par le ministère du Travail en France2.
Depuis 2021, la Fédération française de shiatsu traditionnel (FFST), propose à ses apprenants une certification de compétence professionnelle complémentaire à une certification professionnelle en lien avec le bien-être3.
Un Diplôme universitaire « Shiatsu, accompagnement à la santé » s’est tenu pendant deux ans (2020-2022) à l’Université des sciences et techniques d’Orléans, réservé aux professionnels de Shiatsu déjà installés, titrés ou certifiés.
Aujourd’hui, il y a donc des personnes issues de formations hétérogènes qui dispensent le Shiatsu en France.
Le cursus de base durera entre 500 et 900 heures en fonction des centres de formation.
Il n’y a pas de risques reconnus scientifiquement inhérents à la pratique même du Shiatsu, lorsque la technique est maîtrisée. Tous les professionnels de Shiatsu issus des deux grandes organisations (SPS et FFST) s’engagent à respecter une charte qui les dispensera de toute dérive.
Même s’il est reconnu officiellement au Japon, le monde occidental veut des preuves différentes pour, à son tour, donner une place réelle au Shiatsu dans son système de santé. Depuis une dizaine d’années, de plus en plus de médecins dans le monde s’intéressent au Shiatsu et mettent en place des études cliniques pour son évaluation.
Il existe différents « styles » de Shiatsu : l’ostéoarticulaire (reconnu en premier lieu par le Japon, mis en place par Tokujiro Namikoshi), l’énergétique (basé sur les méridiens d’acupuncture) et le zen (basé sur les méridiens, mais ajoutant d’autres tracés de Shizuto Masunaga).
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Shiatsu est un mot japonais signifiant « pression avec les doigts ». C’est un art du toucher qui prend ses racines au Japon. Le Shiatsu est une discipline manuelle qui s’inscrit dans la prévention et dans l’accompagnement à une meilleure santé.
Il se reçoit à tout âge, habillé(e) de vêtements confortables, allongé(e) au sol sur un futon ou sur une table de soin. Les pressions, principalement avec les pouces et les paumes des mains, sont rythmées et adaptatives sur l’ensemble du corps. L’objectif serait de redonner un équilibre aussi bien à la structure corporelle (os, muscles) qu’à la circulation de l’énergie (Ki en japonais ou Qi en chinois).
En 1997, l’Union européenne avait officiellement reconnu le Shiatsu comme une pratique digne d’intérêts et encourageait les États membres d’en évaluer la balance bénéfices/risques1.
En 2015, les centres de formation affiliés au Syndicat des professionnels de shiatsu (SPS) ont pu délivrer un titre RNCP de « Spécialiste en Shiatsu », métier reconnu par le ministère du Travail en France2.
Depuis 2021, la Fédération française de shiatsu traditionnel (FFST), propose à ses apprenants une certification de compétence professionnelle complémentaire à une certification professionnelle en lien avec le bien-être3.
Un Diplôme universitaire « Shiatsu, accompagnement à la santé » s’est tenu pendant deux ans (2020-2022) à l’Université des sciences et techniques d’Orléans, réservé aux professionnels de Shiatsu déjà installés, titrés ou certifiés.
Aujourd’hui, il y a donc des personnes issues de formations hétérogènes qui dispensent le Shiatsu en France.
Le cursus de base durera entre 500 et 900 heures en fonction des centres de formation.
Il n’y a pas de risques reconnus scientifiquement inhérents à la pratique même du Shiatsu, lorsque la technique est maîtrisée. Tous les professionnels de Shiatsu issus des deux grandes organisations (SPS et FFST) s’engagent à respecter une charte qui les dispensera de toute dérive.
Même s’il est reconnu officiellement au Japon, le monde occidental veut des preuves différentes pour, à son tour, donner une place réelle au Shiatsu dans son système de santé. Depuis une dizaine d’années, de plus en plus de médecins dans le monde s’intéressent au Shiatsu et mettent en place des études cliniques pour son évaluation.
Il existe différents « styles » de Shiatsu : l’ostéoarticulaire (reconnu en premier lieu par le Japon, mis en place par Tokujiro Namikoshi), l’énergétique (basé sur les méridiens d’acupuncture) et le zen (basé sur les méridiens, mais ajoutant d’autres tracés de Shizuto Masunaga).
Shiatsu est un mot japonais signifiant « pression avec les doigts ». C’est un art du toucher qui prend ses racines au Japon. Le Shiatsu est une discipline manuelle qui s’inscrit dans la prévention et dans l’accompagnement à une meilleure santé.
Il se reçoit à tout âge, habillé(e) de vêtements confortables, allongé(e) au sol sur un futon ou sur une table de soin. Les pressions, principalement avec les pouces et les paumes des mains, sont rythmées et adaptatives sur l’ensemble du corps. L’objectif serait de redonner un équilibre aussi bien à la structure corporelle (os, muscles) qu’à la circulation de l’énergie (Ki en japonais ou Qi en chinois).
En 1997, l’Union européenne avait officiellement reconnu le Shiatsu comme une pratique digne d’intérêts et encourageait les États membres d’en évaluer la balance bénéfices/risques1.
En 2015, les centres de formation affiliés au Syndicat des professionnels de shiatsu (SPS) ont pu délivrer un titre RNCP de « Spécialiste en Shiatsu », métier reconnu par le ministère du Travail en France2.
Depuis 2021, la Fédération française de shiatsu traditionnel (FFST), propose à ses apprenants une certification de compétence professionnelle complémentaire à une certification professionnelle en lien avec le bien-être3.
Un Diplôme universitaire « Shiatsu, accompagnement à la santé » s’est tenu pendant deux ans (2020-2022) à l’Université des sciences et techniques d’Orléans, réservé aux professionnels de Shiatsu déjà installés, titrés ou certifiés.
Aujourd’hui, il y a donc des personnes issues de formations hétérogènes qui dispensent le Shiatsu en France.
Le cursus de base durera entre 500 et 900 heures en fonction des centres de formation.
Il n’y a pas de risques reconnus scientifiquement inhérents à la pratique même du Shiatsu, lorsque la technique est maîtrisée. Tous les professionnels de Shiatsu issus des deux grandes organisations (SPS et FFST) s’engagent à respecter une charte qui les dispensera de toute dérive.
Même s’il est reconnu officiellement au Japon, le monde occidental veut des preuves différentes pour, à son tour, donner une place réelle au Shiatsu dans son système de santé. Depuis une dizaine d’années, de plus en plus de médecins dans le monde s’intéressent au Shiatsu et mettent en place des études cliniques pour son évaluation.
Il existe différents « styles » de Shiatsu : l’ostéoarticulaire (reconnu en premier lieu par le Japon, mis en place par Tokujiro Namikoshi), l’énergétique (basé sur les méridiens d’acupuncture) et le zen (basé sur les méridiens, mais ajoutant d’autres tracés de Shizuto Masunaga).