Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le taï-chi doit alors être considéré dans son approche globale. « À l’hôpital, en médecine, je l’utilise comme méthode complémentaire auprès des patients douloureux chroniques, rapporte le Dr Luce CONDAMINE, praticienne hospitalière à l’Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP). J’y ai recours comme approche ″corps/esprit″. Tout le corps (bassin, tronc, bras, jambes) est en mouvement, avec des gestes sources, qui ne risquent pas de le mettre en danger. » Le transfert du poids du corps est utilisé consciemment. Il s’agit d’un équilibre dynamique permettant le renforcement du corps et sa réparation.
« L'enchaînement des mouvements est comme un combat imaginaire chorégraphié, précise-t-elle. À terme, le fait que notre corps bouge sans avoir à réfléchir aux gestes, participe à l’apaisement de notre esprit. Il s’agit d’une forme de méditation en mouvement. » L’apprentissage des mouvements peut nécessiter une certaine lenteur, afin d’acquérir des « gestes justes », et dans le but d’utiliser le corps sans l'user. « Mais il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un art martial, rappelle le médecin. La forme et la lenteur représentent uniquement l’une des facettes de l’entraînement. » La pratique avec les partenaires est également essentielle ; c’est l’occasion d’améliorer les compétences relationnelles et de trouver la « juste distance ».
Le Dr Luce CONDAMINE est à l’origine d’un Diplôme universitaire (DU) de taï-chi qui propose une formation au taï-chi à des praticiens dans une finalité de santé/bien-être. Ce DU est rattaché à la faculté de médecine Paris-Est.
Son objectif est de transmettre les principes de base du taï-chi pour la santé des personnes, de permettre aux apprenants d’être capables de s’intégrer dans une équipe multidisciplinaire et de participer à l’éducation thérapeutique des patients. Ils apprennent à coopérer pour développer la promotion et l’étude de ces méthodes thérapeutiques, et pouvoir ainsi être partie prenante dans des études scientifiques ou médicales concernant le taï-chi, afin d’animer ensuite des ateliers de taï-chi thérapeutique.
Cette formation permet également d’adopter une démarche réflexive sur sa propre pratique soignante ou médicale, en particulier pour développer la bientraitance et une pédagogie bienveillante à l’égard des patients et des collègues.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le taï-chi doit alors être considéré dans son approche globale. « À l’hôpital, en médecine, je l’utilise comme méthode complémentaire auprès des patients douloureux chroniques, rapporte le Dr Luce CONDAMINE, praticienne hospitalière à l’Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP). J’y ai recours comme approche ″corps/esprit″. Tout le corps (bassin, tronc, bras, jambes) est en mouvement, avec des gestes sources, qui ne risquent pas de le mettre en danger. » Le transfert du poids du corps est utilisé consciemment. Il s’agit d’un équilibre dynamique permettant le renforcement du corps et sa réparation.
« L'enchaînement des mouvements est comme un combat imaginaire chorégraphié, précise-t-elle. À terme, le fait que notre corps bouge sans avoir à réfléchir aux gestes, participe à l’apaisement de notre esprit. Il s’agit d’une forme de méditation en mouvement. » L’apprentissage des mouvements peut nécessiter une certaine lenteur, afin d’acquérir des « gestes justes », et dans le but d’utiliser le corps sans l'user. « Mais il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un art martial, rappelle le médecin. La forme et la lenteur représentent uniquement l’une des facettes de l’entraînement. » La pratique avec les partenaires est également essentielle ; c’est l’occasion d’améliorer les compétences relationnelles et de trouver la « juste distance ».
Le Dr Luce CONDAMINE est à l’origine d’un Diplôme universitaire (DU) de taï-chi qui propose une formation au taï-chi à des praticiens dans une finalité de santé/bien-être. Ce DU est rattaché à la faculté de médecine Paris-Est.
Son objectif est de transmettre les principes de base du taï-chi pour la santé des personnes, de permettre aux apprenants d’être capables de s’intégrer dans une équipe multidisciplinaire et de participer à l’éducation thérapeutique des patients. Ils apprennent à coopérer pour développer la promotion et l’étude de ces méthodes thérapeutiques, et pouvoir ainsi être partie prenante dans des études scientifiques ou médicales concernant le taï-chi, afin d’animer ensuite des ateliers de taï-chi thérapeutique.
Cette formation permet également d’adopter une démarche réflexive sur sa propre pratique soignante ou médicale, en particulier pour développer la bientraitance et une pédagogie bienveillante à l’égard des patients et des collègues.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le taï-chi doit alors être considéré dans son approche globale. « À l’hôpital, en médecine, je l’utilise comme méthode complémentaire auprès des patients douloureux chroniques, rapporte le Dr Luce CONDAMINE, praticienne hospitalière à l’Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP). J’y ai recours comme approche ″corps/esprit″. Tout le corps (bassin, tronc, bras, jambes) est en mouvement, avec des gestes sources, qui ne risquent pas de le mettre en danger. » Le transfert du poids du corps est utilisé consciemment. Il s’agit d’un équilibre dynamique permettant le renforcement du corps et sa réparation.
« L'enchaînement des mouvements est comme un combat imaginaire chorégraphié, précise-t-elle. À terme, le fait que notre corps bouge sans avoir à réfléchir aux gestes, participe à l’apaisement de notre esprit. Il s’agit d’une forme de méditation en mouvement. » L’apprentissage des mouvements peut nécessiter une certaine lenteur, afin d’acquérir des « gestes justes », et dans le but d’utiliser le corps sans l'user. « Mais il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un art martial, rappelle le médecin. La forme et la lenteur représentent uniquement l’une des facettes de l’entraînement. » La pratique avec les partenaires est également essentielle ; c’est l’occasion d’améliorer les compétences relationnelles et de trouver la « juste distance ».
Le Dr Luce CONDAMINE est à l’origine d’un Diplôme universitaire (DU) de taï-chi qui propose une formation au taï-chi à des praticiens dans une finalité de santé/bien-être. Ce DU est rattaché à la faculté de médecine Paris-Est.
Son objectif est de transmettre les principes de base du taï-chi pour la santé des personnes, de permettre aux apprenants d’être capables de s’intégrer dans une équipe multidisciplinaire et de participer à l’éducation thérapeutique des patients. Ils apprennent à coopérer pour développer la promotion et l’étude de ces méthodes thérapeutiques, et pouvoir ainsi être partie prenante dans des études scientifiques ou médicales concernant le taï-chi, afin d’animer ensuite des ateliers de taï-chi thérapeutique.
Cette formation permet également d’adopter une démarche réflexive sur sa propre pratique soignante ou médicale, en particulier pour développer la bientraitance et une pédagogie bienveillante à l’égard des patients et des collègues.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le taï-chi doit alors être considéré dans son approche globale. « À l’hôpital, en médecine, je l’utilise comme méthode complémentaire auprès des patients douloureux chroniques, rapporte le Dr Luce CONDAMINE, praticienne hospitalière à l’Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP). J’y ai recours comme approche ″corps/esprit″. Tout le corps (bassin, tronc, bras, jambes) est en mouvement, avec des gestes sources, qui ne risquent pas de le mettre en danger. » Le transfert du poids du corps est utilisé consciemment. Il s’agit d’un équilibre dynamique permettant le renforcement du corps et sa réparation.
« L'enchaînement des mouvements est comme un combat imaginaire chorégraphié, précise-t-elle. À terme, le fait que notre corps bouge sans avoir à réfléchir aux gestes, participe à l’apaisement de notre esprit. Il s’agit d’une forme de méditation en mouvement. » L’apprentissage des mouvements peut nécessiter une certaine lenteur, afin d’acquérir des « gestes justes », et dans le but d’utiliser le corps sans l'user. « Mais il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un art martial, rappelle le médecin. La forme et la lenteur représentent uniquement l’une des facettes de l’entraînement. » La pratique avec les partenaires est également essentielle ; c’est l’occasion d’améliorer les compétences relationnelles et de trouver la « juste distance ».
Le Dr Luce CONDAMINE est à l’origine d’un Diplôme universitaire (DU) de taï-chi qui propose une formation au taï-chi à des praticiens dans une finalité de santé/bien-être. Ce DU est rattaché à la faculté de médecine Paris-Est.
Son objectif est de transmettre les principes de base du taï-chi pour la santé des personnes, de permettre aux apprenants d’être capables de s’intégrer dans une équipe multidisciplinaire et de participer à l’éducation thérapeutique des patients. Ils apprennent à coopérer pour développer la promotion et l’étude de ces méthodes thérapeutiques, et pouvoir ainsi être partie prenante dans des études scientifiques ou médicales concernant le taï-chi, afin d’animer ensuite des ateliers de taï-chi thérapeutique.
Cette formation permet également d’adopter une démarche réflexive sur sa propre pratique soignante ou médicale, en particulier pour développer la bientraitance et une pédagogie bienveillante à l’égard des patients et des collègues.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Le taï-chi doit alors être considéré dans son approche globale. « À l’hôpital, en médecine, je l’utilise comme méthode complémentaire auprès des patients douloureux chroniques, rapporte le Dr Luce CONDAMINE, praticienne hospitalière à l’Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP). J’y ai recours comme approche ″corps/esprit″. Tout le corps (bassin, tronc, bras, jambes) est en mouvement, avec des gestes sources, qui ne risquent pas de le mettre en danger. » Le transfert du poids du corps est utilisé consciemment. Il s’agit d’un équilibre dynamique permettant le renforcement du corps et sa réparation.
« L'enchaînement des mouvements est comme un combat imaginaire chorégraphié, précise-t-elle. À terme, le fait que notre corps bouge sans avoir à réfléchir aux gestes, participe à l’apaisement de notre esprit. Il s’agit d’une forme de méditation en mouvement. » L’apprentissage des mouvements peut nécessiter une certaine lenteur, afin d’acquérir des « gestes justes », et dans le but d’utiliser le corps sans l'user. « Mais il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un art martial, rappelle le médecin. La forme et la lenteur représentent uniquement l’une des facettes de l’entraînement. » La pratique avec les partenaires est également essentielle ; c’est l’occasion d’améliorer les compétences relationnelles et de trouver la « juste distance ».
Le Dr Luce CONDAMINE est à l’origine d’un Diplôme universitaire (DU) de taï-chi qui propose une formation au taï-chi à des praticiens dans une finalité de santé/bien-être. Ce DU est rattaché à la faculté de médecine Paris-Est.
Son objectif est de transmettre les principes de base du taï-chi pour la santé des personnes, de permettre aux apprenants d’être capables de s’intégrer dans une équipe multidisciplinaire et de participer à l’éducation thérapeutique des patients. Ils apprennent à coopérer pour développer la promotion et l’étude de ces méthodes thérapeutiques, et pouvoir ainsi être partie prenante dans des études scientifiques ou médicales concernant le taï-chi, afin d’animer ensuite des ateliers de taï-chi thérapeutique.
Cette formation permet également d’adopter une démarche réflexive sur sa propre pratique soignante ou médicale, en particulier pour développer la bientraitance et une pédagogie bienveillante à l’égard des patients et des collègues.
Art martial d'origine chinoise, le taï-chi est également une composante de la médecine traditionnelle chinoise. Cette discipline corporelle peut être pratiquée à des fins de bien-être ou de pratique complémentaire.
Mots clés : Taï-chi - Santé globale - Médecines complémentaires
« Le Taiii Quan, aujourd’hui appelé taï-chi, est, selon moi, un tout, à savoir un art martial, un art de santé et un art de vie », explique le Dr Luce CONDAMINE, docteur en médecine, spécialiste en pédiatrie, médecin du Sport, de la Douleur, enseignante en taï-chi et fondatrice de la Maison du Taiji (Grand Paris).
Dans la Chine ancienne, Taiji signifie l’extrême polarité, de laquelle vont naître Yin et Yang, qui eux, engendrent le monde entier (l'Univers). Quan (ou Chuan, selon les transcriptions) signifie, quant à lui, « poing fermé » ou « arts de la main fermée ». « Le taï-chi-chuan (ou Taiji Quan) n'est donc pas seulement une boxe, mais l’expression corporelle humaine la plus aboutie, qui suit les principes de l'Univers, de la nature », précise le médecin. L'une des facettes de cette pratique est l'enchaînement de mouvements fluides et circulaires, que l'on appelle « la forme ».
Le taï-chi doit alors être considéré dans son approche globale. « À l’hôpital, en médecine, je l’utilise comme méthode complémentaire auprès des patients douloureux chroniques, rapporte le Dr Luce CONDAMINE, praticienne hospitalière à l’Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP). J’y ai recours comme approche ″corps/esprit″. Tout le corps (bassin, tronc, bras, jambes) est en mouvement, avec des gestes sources, qui ne risquent pas de le mettre en danger. » Le transfert du poids du corps est utilisé consciemment. Il s’agit d’un équilibre dynamique permettant le renforcement du corps et sa réparation.
« L'enchaînement des mouvements est comme un combat imaginaire chorégraphié, précise-t-elle. À terme, le fait que notre corps bouge sans avoir à réfléchir aux gestes, participe à l’apaisement de notre esprit. Il s’agit d’une forme de méditation en mouvement. » L’apprentissage des mouvements peut nécessiter une certaine lenteur, afin d’acquérir des « gestes justes », et dans le but d’utiliser le corps sans l'user. « Mais il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un art martial, rappelle le médecin. La forme et la lenteur représentent uniquement l’une des facettes de l’entraînement. » La pratique avec les partenaires est également essentielle ; c’est l’occasion d’améliorer les compétences relationnelles et de trouver la « juste distance ».
Le Dr Luce CONDAMINE est à l’origine d’un Diplôme universitaire (DU) de taï-chi qui propose une formation au taï-chi à des praticiens dans une finalité de santé/bien-être. Ce DU est rattaché à la faculté de médecine Paris-Est.
Son objectif est de transmettre les principes de base du taï-chi pour la santé des personnes, de permettre aux apprenants d’être capables de s’intégrer dans une équipe multidisciplinaire et de participer à l’éducation thérapeutique des patients. Ils apprennent à coopérer pour développer la promotion et l’étude de ces méthodes thérapeutiques, et pouvoir ainsi être partie prenante dans des études scientifiques ou médicales concernant le taï-chi, afin d’animer ensuite des ateliers de taï-chi thérapeutique.
Cette formation permet également d’adopter une démarche réflexive sur sa propre pratique soignante ou médicale, en particulier pour développer la bientraitance et une pédagogie bienveillante à l’égard des patients et des collègues.