Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Tout d’abord, le Qi Gong martial, qui affiche pour finalité la transformation d’une partie de son corps en arme. « Il est surtout pratiqué dans les arts martiaux externes, ceux où le pratiquant s’intéresse prioritairement à ce qu’il va provoquer chez l’autre, et non à ce qu’il ressent en lui », résume Bernard GUSTAU.
« Le Qi Gong médical est quant à lui, l’une des branches de la médecine traditionnelle chinoise, au même titre que l’acupuncture, le massage Tui Na, la diététique et la pharmacopée, précise Bernard GUSTAU. Il met en évidence la différence fondamentale entre la médecine chinoise, prenant en charge la personne dans sa globalité, et la médecine occidentale conventionnelle, spécialisée par organe. »
La dernière famille, à savoir, le Qi Gong « santé et bien-être », consiste à agir à titre préventif, à se faire « du bien », par l’intermédiaire d’un entretien physique. « Selon moi, le bien-être provient d’une bonne posture, offrant au pratiquant une bonne respiration, donc de bonnes sensations dans son corps », rapporte Bernard GUSTAU, lequel exerce ce type de Qi Gong. Et de poursuivre : « De cette pratique, nous pouvons en tirer comme bénéfice une meilleure utilisation de notre schéma corporel, tout en reprenant le contrôle par des exercices. »
Comment s’orienter vers un praticien sérieux ? Des Certificats de qualification professionnelle (CQP) d’animateur de loisir sportif, permettent d’apprendre à organiser une séance, un enchaînement de cours, de connaître les règles de sécurité, qu’il faut, évidemment, compléter par une formation au Qi Gong. Il existe des CQP Moniteurs arts martiaux, avec une mention arts énergétiques chinois, incluant le Qi Gong. « Néanmoins, le choix du praticien repose, bien entendu, sur les affinités de chacun, rappelle Bernard GUSTAU. Il faut s’assurer que le contenu du cours corresponde à nos envies, se ″sentir bien″ dans le cours et dans le groupe. Si l’un des trois ne fonctionnent pas, il ne faut pas hésiter à chercher un autre enseignant. La pratique doit rester un plaisir. »
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Tout d’abord, le Qi Gong martial, qui affiche pour finalité la transformation d’une partie de son corps en arme. « Il est surtout pratiqué dans les arts martiaux externes, ceux où le pratiquant s’intéresse prioritairement à ce qu’il va provoquer chez l’autre, et non à ce qu’il ressent en lui », résume Bernard GUSTAU.
« Le Qi Gong médical est quant à lui, l’une des branches de la médecine traditionnelle chinoise, au même titre que l’acupuncture, le massage Tui Na, la diététique et la pharmacopée, précise Bernard GUSTAU. Il met en évidence la différence fondamentale entre la médecine chinoise, prenant en charge la personne dans sa globalité, et la médecine occidentale conventionnelle, spécialisée par organe. »
La dernière famille, à savoir, le Qi Gong « santé et bien-être », consiste à agir à titre préventif, à se faire « du bien », par l’intermédiaire d’un entretien physique. « Selon moi, le bien-être provient d’une bonne posture, offrant au pratiquant une bonne respiration, donc de bonnes sensations dans son corps », rapporte Bernard GUSTAU, lequel exerce ce type de Qi Gong. Et de poursuivre : « De cette pratique, nous pouvons en tirer comme bénéfice une meilleure utilisation de notre schéma corporel, tout en reprenant le contrôle par des exercices. »
Comment s’orienter vers un praticien sérieux ? Des Certificats de qualification professionnelle (CQP) d’animateur de loisir sportif, permettent d’apprendre à organiser une séance, un enchaînement de cours, de connaître les règles de sécurité, qu’il faut, évidemment, compléter par une formation au Qi Gong. Il existe des CQP Moniteurs arts martiaux, avec une mention arts énergétiques chinois, incluant le Qi Gong. « Néanmoins, le choix du praticien repose, bien entendu, sur les affinités de chacun, rappelle Bernard GUSTAU. Il faut s’assurer que le contenu du cours corresponde à nos envies, se ″sentir bien″ dans le cours et dans le groupe. Si l’un des trois ne fonctionnent pas, il ne faut pas hésiter à chercher un autre enseignant. La pratique doit rester un plaisir. »
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Tout d’abord, le Qi Gong martial, qui affiche pour finalité la transformation d’une partie de son corps en arme. « Il est surtout pratiqué dans les arts martiaux externes, ceux où le pratiquant s’intéresse prioritairement à ce qu’il va provoquer chez l’autre, et non à ce qu’il ressent en lui », résume Bernard GUSTAU.
« Le Qi Gong médical est quant à lui, l’une des branches de la médecine traditionnelle chinoise, au même titre que l’acupuncture, le massage Tui Na, la diététique et la pharmacopée, précise Bernard GUSTAU. Il met en évidence la différence fondamentale entre la médecine chinoise, prenant en charge la personne dans sa globalité, et la médecine occidentale conventionnelle, spécialisée par organe. »
La dernière famille, à savoir, le Qi Gong « santé et bien-être », consiste à agir à titre préventif, à se faire « du bien », par l’intermédiaire d’un entretien physique. « Selon moi, le bien-être provient d’une bonne posture, offrant au pratiquant une bonne respiration, donc de bonnes sensations dans son corps », rapporte Bernard GUSTAU, lequel exerce ce type de Qi Gong. Et de poursuivre : « De cette pratique, nous pouvons en tirer comme bénéfice une meilleure utilisation de notre schéma corporel, tout en reprenant le contrôle par des exercices. »
Comment s’orienter vers un praticien sérieux ? Des Certificats de qualification professionnelle (CQP) d’animateur de loisir sportif, permettent d’apprendre à organiser une séance, un enchaînement de cours, de connaître les règles de sécurité, qu’il faut, évidemment, compléter par une formation au Qi Gong. Il existe des CQP Moniteurs arts martiaux, avec une mention arts énergétiques chinois, incluant le Qi Gong. « Néanmoins, le choix du praticien repose, bien entendu, sur les affinités de chacun, rappelle Bernard GUSTAU. Il faut s’assurer que le contenu du cours corresponde à nos envies, se ″sentir bien″ dans le cours et dans le groupe. Si l’un des trois ne fonctionnent pas, il ne faut pas hésiter à chercher un autre enseignant. La pratique doit rester un plaisir. »
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Tout d’abord, le Qi Gong martial, qui affiche pour finalité la transformation d’une partie de son corps en arme. « Il est surtout pratiqué dans les arts martiaux externes, ceux où le pratiquant s’intéresse prioritairement à ce qu’il va provoquer chez l’autre, et non à ce qu’il ressent en lui », résume Bernard GUSTAU.
« Le Qi Gong médical est quant à lui, l’une des branches de la médecine traditionnelle chinoise, au même titre que l’acupuncture, le massage Tui Na, la diététique et la pharmacopée, précise Bernard GUSTAU. Il met en évidence la différence fondamentale entre la médecine chinoise, prenant en charge la personne dans sa globalité, et la médecine occidentale conventionnelle, spécialisée par organe. »
La dernière famille, à savoir, le Qi Gong « santé et bien-être », consiste à agir à titre préventif, à se faire « du bien », par l’intermédiaire d’un entretien physique. « Selon moi, le bien-être provient d’une bonne posture, offrant au pratiquant une bonne respiration, donc de bonnes sensations dans son corps », rapporte Bernard GUSTAU, lequel exerce ce type de Qi Gong. Et de poursuivre : « De cette pratique, nous pouvons en tirer comme bénéfice une meilleure utilisation de notre schéma corporel, tout en reprenant le contrôle par des exercices. »
Comment s’orienter vers un praticien sérieux ? Des Certificats de qualification professionnelle (CQP) d’animateur de loisir sportif, permettent d’apprendre à organiser une séance, un enchaînement de cours, de connaître les règles de sécurité, qu’il faut, évidemment, compléter par une formation au Qi Gong. Il existe des CQP Moniteurs arts martiaux, avec une mention arts énergétiques chinois, incluant le Qi Gong. « Néanmoins, le choix du praticien repose, bien entendu, sur les affinités de chacun, rappelle Bernard GUSTAU. Il faut s’assurer que le contenu du cours corresponde à nos envies, se ″sentir bien″ dans le cours et dans le groupe. Si l’un des trois ne fonctionnent pas, il ne faut pas hésiter à chercher un autre enseignant. La pratique doit rester un plaisir. »
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Tout d’abord, le Qi Gong martial, qui affiche pour finalité la transformation d’une partie de son corps en arme. « Il est surtout pratiqué dans les arts martiaux externes, ceux où le pratiquant s’intéresse prioritairement à ce qu’il va provoquer chez l’autre, et non à ce qu’il ressent en lui », résume Bernard GUSTAU.
« Le Qi Gong médical est quant à lui, l’une des branches de la médecine traditionnelle chinoise, au même titre que l’acupuncture, le massage Tui Na, la diététique et la pharmacopée, précise Bernard GUSTAU. Il met en évidence la différence fondamentale entre la médecine chinoise, prenant en charge la personne dans sa globalité, et la médecine occidentale conventionnelle, spécialisée par organe. »
La dernière famille, à savoir, le Qi Gong « santé et bien-être », consiste à agir à titre préventif, à se faire « du bien », par l’intermédiaire d’un entretien physique. « Selon moi, le bien-être provient d’une bonne posture, offrant au pratiquant une bonne respiration, donc de bonnes sensations dans son corps », rapporte Bernard GUSTAU, lequel exerce ce type de Qi Gong. Et de poursuivre : « De cette pratique, nous pouvons en tirer comme bénéfice une meilleure utilisation de notre schéma corporel, tout en reprenant le contrôle par des exercices. »
Comment s’orienter vers un praticien sérieux ? Des Certificats de qualification professionnelle (CQP) d’animateur de loisir sportif, permettent d’apprendre à organiser une séance, un enchaînement de cours, de connaître les règles de sécurité, qu’il faut, évidemment, compléter par une formation au Qi Gong. Il existe des CQP Moniteurs arts martiaux, avec une mention arts énergétiques chinois, incluant le Qi Gong. « Néanmoins, le choix du praticien repose, bien entendu, sur les affinités de chacun, rappelle Bernard GUSTAU. Il faut s’assurer que le contenu du cours corresponde à nos envies, se ″sentir bien″ dans le cours et dans le groupe. Si l’un des trois ne fonctionnent pas, il ne faut pas hésiter à chercher un autre enseignant. La pratique doit rester un plaisir. »
Le Qi Gong est une pratique complémentaire aux caractéristiques variées. En fonction des objectifs que chacun se fixe, il est possible de s’orienter vers différents modes d’exercice. Le point.
Mots clés : Qi gong - Bien-être - Médecines complémentaires
Le Qi Gong peut se définir comme une gymnastique traditionnelle chinoise et une science de la respiration fondée sur la connaissance et la maîtrise du souffle, associant des mouvements lents, des exercices respiratoires et de la concentration. « Il existe quatre formes de Qi Gong », explique en guise d’introduction Bernard GUSTAU, président du Comité Régional Sports pour tous Nouvelle Aquitaine et de l’Écloserie Sociale, association œuvrant pour l'épanouissement personnel à travers le champ du bien-être physique, grâce à la pratique et à l'enseignement des disciplines énergétiques traditionnelles.
Tout d’abord, le Qi Gong martial, qui affiche pour finalité la transformation d’une partie de son corps en arme. « Il est surtout pratiqué dans les arts martiaux externes, ceux où le pratiquant s’intéresse prioritairement à ce qu’il va provoquer chez l’autre, et non à ce qu’il ressent en lui », résume Bernard GUSTAU.
« Le Qi Gong médical est quant à lui, l’une des branches de la médecine traditionnelle chinoise, au même titre que l’acupuncture, le massage Tui Na, la diététique et la pharmacopée, précise Bernard GUSTAU. Il met en évidence la différence fondamentale entre la médecine chinoise, prenant en charge la personne dans sa globalité, et la médecine occidentale conventionnelle, spécialisée par organe. »
La dernière famille, à savoir, le Qi Gong « santé et bien-être », consiste à agir à titre préventif, à se faire « du bien », par l’intermédiaire d’un entretien physique. « Selon moi, le bien-être provient d’une bonne posture, offrant au pratiquant une bonne respiration, donc de bonnes sensations dans son corps », rapporte Bernard GUSTAU, lequel exerce ce type de Qi Gong. Et de poursuivre : « De cette pratique, nous pouvons en tirer comme bénéfice une meilleure utilisation de notre schéma corporel, tout en reprenant le contrôle par des exercices. »
Comment s’orienter vers un praticien sérieux ? Des Certificats de qualification professionnelle (CQP) d’animateur de loisir sportif, permettent d’apprendre à organiser une séance, un enchaînement de cours, de connaître les règles de sécurité, qu’il faut, évidemment, compléter par une formation au Qi Gong. Il existe des CQP Moniteurs arts martiaux, avec une mention arts énergétiques chinois, incluant le Qi Gong. « Néanmoins, le choix du praticien repose, bien entendu, sur les affinités de chacun, rappelle Bernard GUSTAU. Il faut s’assurer que le contenu du cours corresponde à nos envies, se ″sentir bien″ dans le cours et dans le groupe. Si l’un des trois ne fonctionnent pas, il ne faut pas hésiter à chercher un autre enseignant. La pratique doit rester un plaisir. »