Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
"Eye Movement Desensitization and Reprocessing" - que l’on peut traduire par désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires, cette technique consiste en une stimulation visuelle (mouvement des yeux de gauche à droite), auditive ou même tactile. L’EMDR traite les séquelles de traumatismes (ESPT) en dissociant le souvenir de sa charge émotionnelle et en atténuant les souvenirs résistants et non désirés.
L’EMDR est pratiquée par des médecins psychiatres, des psychologues cliniciens et des psychothérapeutes ayant obtenu un numéro RPPS (Répertoire partagé des professionnels de santé) par une Agence régionale de santé (ARS).
Les organismes internationaux, les fédérations, les universités ou les écoles agréées par l’institut français d’EMDR dispensent une formation certifiée RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles) ou un Diplôme universitaire de « Praticien EMDR Europe ».
Des dérives (phénomène d’emprise, manipulation mentale) par le thérapeute existent, ainsi qu’un risque de décompensation et de dissociation de pathologies psychotiques. La technique est déconseillée aux personnes présentant des troubles psychiatriques ou psychotiques. Des tutoriels d’autoadministration sont proposés sur internet. Ces approches peuvent fragiliser une personne vulnérable.
La Haute autorité de santé (HAS) a publié en 2007 une recommandation sur l'accompagnement des troubles anxieux graves dans laquelle la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) centrée sur le traumatisme, où l’EMDR est citée, mais contre-indiquée en cas de pathologies psychotiques. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande également l’EMDR en 2008 pour le traitement des états de stress post-traumatiques.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
"Eye Movement Desensitization and Reprocessing" - que l’on peut traduire par désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires, cette technique consiste en une stimulation visuelle (mouvement des yeux de gauche à droite), auditive ou même tactile. L’EMDR traite les séquelles de traumatismes (ESPT) en dissociant le souvenir de sa charge émotionnelle et en atténuant les souvenirs résistants et non désirés.
L’EMDR est pratiquée par des médecins psychiatres, des psychologues cliniciens et des psychothérapeutes ayant obtenu un numéro RPPS (Répertoire partagé des professionnels de santé) par une Agence régionale de santé (ARS).
Les organismes internationaux, les fédérations, les universités ou les écoles agréées par l’institut français d’EMDR dispensent une formation certifiée RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles) ou un Diplôme universitaire de « Praticien EMDR Europe ».
Des dérives (phénomène d’emprise, manipulation mentale) par le thérapeute existent, ainsi qu’un risque de décompensation et de dissociation de pathologies psychotiques. La technique est déconseillée aux personnes présentant des troubles psychiatriques ou psychotiques. Des tutoriels d’autoadministration sont proposés sur internet. Ces approches peuvent fragiliser une personne vulnérable.
La Haute autorité de santé (HAS) a publié en 2007 une recommandation sur l'accompagnement des troubles anxieux graves dans laquelle la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) centrée sur le traumatisme, où l’EMDR est citée, mais contre-indiquée en cas de pathologies psychotiques. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande également l’EMDR en 2008 pour le traitement des états de stress post-traumatiques.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
"Eye Movement Desensitization and Reprocessing" - que l’on peut traduire par désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires, cette technique consiste en une stimulation visuelle (mouvement des yeux de gauche à droite), auditive ou même tactile. L’EMDR traite les séquelles de traumatismes (ESPT) en dissociant le souvenir de sa charge émotionnelle et en atténuant les souvenirs résistants et non désirés.
L’EMDR est pratiquée par des médecins psychiatres, des psychologues cliniciens et des psychothérapeutes ayant obtenu un numéro RPPS (Répertoire partagé des professionnels de santé) par une Agence régionale de santé (ARS).
Les organismes internationaux, les fédérations, les universités ou les écoles agréées par l’institut français d’EMDR dispensent une formation certifiée RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles) ou un Diplôme universitaire de « Praticien EMDR Europe ».
Des dérives (phénomène d’emprise, manipulation mentale) par le thérapeute existent, ainsi qu’un risque de décompensation et de dissociation de pathologies psychotiques. La technique est déconseillée aux personnes présentant des troubles psychiatriques ou psychotiques. Des tutoriels d’autoadministration sont proposés sur internet. Ces approches peuvent fragiliser une personne vulnérable.
La Haute autorité de santé (HAS) a publié en 2007 une recommandation sur l'accompagnement des troubles anxieux graves dans laquelle la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) centrée sur le traumatisme, où l’EMDR est citée, mais contre-indiquée en cas de pathologies psychotiques. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande également l’EMDR en 2008 pour le traitement des états de stress post-traumatiques.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
"Eye Movement Desensitization and Reprocessing" - que l’on peut traduire par désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires, cette technique consiste en une stimulation visuelle (mouvement des yeux de gauche à droite), auditive ou même tactile. L’EMDR traite les séquelles de traumatismes (ESPT) en dissociant le souvenir de sa charge émotionnelle et en atténuant les souvenirs résistants et non désirés.
L’EMDR est pratiquée par des médecins psychiatres, des psychologues cliniciens et des psychothérapeutes ayant obtenu un numéro RPPS (Répertoire partagé des professionnels de santé) par une Agence régionale de santé (ARS).
Les organismes internationaux, les fédérations, les universités ou les écoles agréées par l’institut français d’EMDR dispensent une formation certifiée RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles) ou un Diplôme universitaire de « Praticien EMDR Europe ».
Des dérives (phénomène d’emprise, manipulation mentale) par le thérapeute existent, ainsi qu’un risque de décompensation et de dissociation de pathologies psychotiques. La technique est déconseillée aux personnes présentant des troubles psychiatriques ou psychotiques. Des tutoriels d’autoadministration sont proposés sur internet. Ces approches peuvent fragiliser une personne vulnérable.
La Haute autorité de santé (HAS) a publié en 2007 une recommandation sur l'accompagnement des troubles anxieux graves dans laquelle la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) centrée sur le traumatisme, où l’EMDR est citée, mais contre-indiquée en cas de pathologies psychotiques. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande également l’EMDR en 2008 pour le traitement des états de stress post-traumatiques.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
"Eye Movement Desensitization and Reprocessing" - que l’on peut traduire par désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires, cette technique consiste en une stimulation visuelle (mouvement des yeux de gauche à droite), auditive ou même tactile. L’EMDR traite les séquelles de traumatismes (ESPT) en dissociant le souvenir de sa charge émotionnelle et en atténuant les souvenirs résistants et non désirés.
L’EMDR est pratiquée par des médecins psychiatres, des psychologues cliniciens et des psychothérapeutes ayant obtenu un numéro RPPS (Répertoire partagé des professionnels de santé) par une Agence régionale de santé (ARS).
Les organismes internationaux, les fédérations, les universités ou les écoles agréées par l’institut français d’EMDR dispensent une formation certifiée RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles) ou un Diplôme universitaire de « Praticien EMDR Europe ».
Des dérives (phénomène d’emprise, manipulation mentale) par le thérapeute existent, ainsi qu’un risque de décompensation et de dissociation de pathologies psychotiques. La technique est déconseillée aux personnes présentant des troubles psychiatriques ou psychotiques. Des tutoriels d’autoadministration sont proposés sur internet. Ces approches peuvent fragiliser une personne vulnérable.
La Haute autorité de santé (HAS) a publié en 2007 une recommandation sur l'accompagnement des troubles anxieux graves dans laquelle la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) centrée sur le traumatisme, où l’EMDR est citée, mais contre-indiquée en cas de pathologies psychotiques. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande également l’EMDR en 2008 pour le traitement des états de stress post-traumatiques.
"Eye Movement Desensitization and Reprocessing" - que l’on peut traduire par désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires, cette technique consiste en une stimulation visuelle (mouvement des yeux de gauche à droite), auditive ou même tactile. L’EMDR traite les séquelles de traumatismes (ESPT) en dissociant le souvenir de sa charge émotionnelle et en atténuant les souvenirs résistants et non désirés.
L’EMDR est pratiquée par des médecins psychiatres, des psychologues cliniciens et des psychothérapeutes ayant obtenu un numéro RPPS (Répertoire partagé des professionnels de santé) par une Agence régionale de santé (ARS).
Les organismes internationaux, les fédérations, les universités ou les écoles agréées par l’institut français d’EMDR dispensent une formation certifiée RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles) ou un Diplôme universitaire de « Praticien EMDR Europe ».
Des dérives (phénomène d’emprise, manipulation mentale) par le thérapeute existent, ainsi qu’un risque de décompensation et de dissociation de pathologies psychotiques. La technique est déconseillée aux personnes présentant des troubles psychiatriques ou psychotiques. Des tutoriels d’autoadministration sont proposés sur internet. Ces approches peuvent fragiliser une personne vulnérable.
La Haute autorité de santé (HAS) a publié en 2007 une recommandation sur l'accompagnement des troubles anxieux graves dans laquelle la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) centrée sur le traumatisme, où l’EMDR est citée, mais contre-indiquée en cas de pathologies psychotiques. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande également l’EMDR en 2008 pour le traitement des états de stress post-traumatiques.