Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
DÉFINITION : Qu'est-ce que cette pratique ?
Il ne s’agit pas d’une pratique, mais d’un statut. Une personne atteinte d’une maladie qui désire transformer son expérience vécue en expertise au service de la collectivité, auprès des professionnels de santé et/ou d’autres patients. Elle favorise le dialogue entre équipes médicales et malades, facilite l’expression des autres patients et contribue à améliorer la compréhension du discours soignant. Elle définit son action en fonction de ses choix et ses capacités : intervenant, formateur, aidant, bénévole ou professionnel.
FORMATION : Qui sont les praticiens ?
La reconnaissance institutionnelle du statut de « patient-expert » repose sur l’inclusion de ces derniers dans les programmes d’Éducation thérapeutique des patients (ETP), en tant que critère de qualité. Dans ce cadre, le terme utilisé est le « patient intervenant », repris dans le guide de recrutement de la DGS. Des associations de patients, des universités et des hôpitaux ont lancé des formations permettant leur professionnalisation, notamment en ETP. Le rôle des patients dans le système de santé est grandissant et un statut se dessine peu à peu (Université des patients, Sorbonne Pierre et Marie Curie ; Universités de Marseille et de Grenoble).
RISQUES : Quels sont les risques et/ou dérives ?
Le risque principal est celui de la « distance » à savoir qu’un patient-partenaire prenne la posture d’un soignant dont il n’a pas les compétences techniques, ou s’implique de façon démesurée ou trop personnelle vis-à-vis d’un autre patient.
POUR ALLER PLUS LOIN...
« Patient-actif », « patient-expert », « patient-ressource », « pair-aidant » et « patient-partenaire » sont différents termes définissant le rôle du patient-acteur, ressource pour la démocratie sanitaire, dont l’engagement permet de coconstruire les parcours de soins, améliorer l’organisation et la qualité des soins dans les établissements de santé et garantir une relation soignants/soignés de qualité.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
DÉFINITION : Qu'est-ce que cette pratique ?
Il ne s’agit pas d’une pratique, mais d’un statut. Une personne atteinte d’une maladie qui désire transformer son expérience vécue en expertise au service de la collectivité, auprès des professionnels de santé et/ou d’autres patients. Elle favorise le dialogue entre équipes médicales et malades, facilite l’expression des autres patients et contribue à améliorer la compréhension du discours soignant. Elle définit son action en fonction de ses choix et ses capacités : intervenant, formateur, aidant, bénévole ou professionnel.
FORMATION : Qui sont les praticiens ?
La reconnaissance institutionnelle du statut de « patient-expert » repose sur l’inclusion de ces derniers dans les programmes d’Éducation thérapeutique des patients (ETP), en tant que critère de qualité. Dans ce cadre, le terme utilisé est le « patient intervenant », repris dans le guide de recrutement de la DGS. Des associations de patients, des universités et des hôpitaux ont lancé des formations permettant leur professionnalisation, notamment en ETP. Le rôle des patients dans le système de santé est grandissant et un statut se dessine peu à peu (Université des patients, Sorbonne Pierre et Marie Curie ; Universités de Marseille et de Grenoble).
RISQUES : Quels sont les risques et/ou dérives ?
Le risque principal est celui de la « distance » à savoir qu’un patient-partenaire prenne la posture d’un soignant dont il n’a pas les compétences techniques, ou s’implique de façon démesurée ou trop personnelle vis-à-vis d’un autre patient.
POUR ALLER PLUS LOIN...
« Patient-actif », « patient-expert », « patient-ressource », « pair-aidant » et « patient-partenaire » sont différents termes définissant le rôle du patient-acteur, ressource pour la démocratie sanitaire, dont l’engagement permet de coconstruire les parcours de soins, améliorer l’organisation et la qualité des soins dans les établissements de santé et garantir une relation soignants/soignés de qualité.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
DÉFINITION : Qu'est-ce que cette pratique ?
Il ne s’agit pas d’une pratique, mais d’un statut. Une personne atteinte d’une maladie qui désire transformer son expérience vécue en expertise au service de la collectivité, auprès des professionnels de santé et/ou d’autres patients. Elle favorise le dialogue entre équipes médicales et malades, facilite l’expression des autres patients et contribue à améliorer la compréhension du discours soignant. Elle définit son action en fonction de ses choix et ses capacités : intervenant, formateur, aidant, bénévole ou professionnel.
FORMATION : Qui sont les praticiens ?
La reconnaissance institutionnelle du statut de « patient-expert » repose sur l’inclusion de ces derniers dans les programmes d’Éducation thérapeutique des patients (ETP), en tant que critère de qualité. Dans ce cadre, le terme utilisé est le « patient intervenant », repris dans le guide de recrutement de la DGS. Des associations de patients, des universités et des hôpitaux ont lancé des formations permettant leur professionnalisation, notamment en ETP. Le rôle des patients dans le système de santé est grandissant et un statut se dessine peu à peu (Université des patients, Sorbonne Pierre et Marie Curie ; Universités de Marseille et de Grenoble).
RISQUES : Quels sont les risques et/ou dérives ?
Le risque principal est celui de la « distance » à savoir qu’un patient-partenaire prenne la posture d’un soignant dont il n’a pas les compétences techniques, ou s’implique de façon démesurée ou trop personnelle vis-à-vis d’un autre patient.
POUR ALLER PLUS LOIN...
« Patient-actif », « patient-expert », « patient-ressource », « pair-aidant » et « patient-partenaire » sont différents termes définissant le rôle du patient-acteur, ressource pour la démocratie sanitaire, dont l’engagement permet de coconstruire les parcours de soins, améliorer l’organisation et la qualité des soins dans les établissements de santé et garantir une relation soignants/soignés de qualité.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
DÉFINITION : Qu'est-ce que cette pratique ?
Il ne s’agit pas d’une pratique, mais d’un statut. Une personne atteinte d’une maladie qui désire transformer son expérience vécue en expertise au service de la collectivité, auprès des professionnels de santé et/ou d’autres patients. Elle favorise le dialogue entre équipes médicales et malades, facilite l’expression des autres patients et contribue à améliorer la compréhension du discours soignant. Elle définit son action en fonction de ses choix et ses capacités : intervenant, formateur, aidant, bénévole ou professionnel.
FORMATION : Qui sont les praticiens ?
La reconnaissance institutionnelle du statut de « patient-expert » repose sur l’inclusion de ces derniers dans les programmes d’Éducation thérapeutique des patients (ETP), en tant que critère de qualité. Dans ce cadre, le terme utilisé est le « patient intervenant », repris dans le guide de recrutement de la DGS. Des associations de patients, des universités et des hôpitaux ont lancé des formations permettant leur professionnalisation, notamment en ETP. Le rôle des patients dans le système de santé est grandissant et un statut se dessine peu à peu (Université des patients, Sorbonne Pierre et Marie Curie ; Universités de Marseille et de Grenoble).
RISQUES : Quels sont les risques et/ou dérives ?
Le risque principal est celui de la « distance » à savoir qu’un patient-partenaire prenne la posture d’un soignant dont il n’a pas les compétences techniques, ou s’implique de façon démesurée ou trop personnelle vis-à-vis d’un autre patient.
POUR ALLER PLUS LOIN...
« Patient-actif », « patient-expert », « patient-ressource », « pair-aidant » et « patient-partenaire » sont différents termes définissant le rôle du patient-acteur, ressource pour la démocratie sanitaire, dont l’engagement permet de coconstruire les parcours de soins, améliorer l’organisation et la qualité des soins dans les établissements de santé et garantir une relation soignants/soignés de qualité.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
DÉFINITION : Qu'est-ce que cette pratique ?
Il ne s’agit pas d’une pratique, mais d’un statut. Une personne atteinte d’une maladie qui désire transformer son expérience vécue en expertise au service de la collectivité, auprès des professionnels de santé et/ou d’autres patients. Elle favorise le dialogue entre équipes médicales et malades, facilite l’expression des autres patients et contribue à améliorer la compréhension du discours soignant. Elle définit son action en fonction de ses choix et ses capacités : intervenant, formateur, aidant, bénévole ou professionnel.
FORMATION : Qui sont les praticiens ?
La reconnaissance institutionnelle du statut de « patient-expert » repose sur l’inclusion de ces derniers dans les programmes d’Éducation thérapeutique des patients (ETP), en tant que critère de qualité. Dans ce cadre, le terme utilisé est le « patient intervenant », repris dans le guide de recrutement de la DGS. Des associations de patients, des universités et des hôpitaux ont lancé des formations permettant leur professionnalisation, notamment en ETP. Le rôle des patients dans le système de santé est grandissant et un statut se dessine peu à peu (Université des patients, Sorbonne Pierre et Marie Curie ; Universités de Marseille et de Grenoble).
RISQUES : Quels sont les risques et/ou dérives ?
Le risque principal est celui de la « distance » à savoir qu’un patient-partenaire prenne la posture d’un soignant dont il n’a pas les compétences techniques, ou s’implique de façon démesurée ou trop personnelle vis-à-vis d’un autre patient.
POUR ALLER PLUS LOIN...
« Patient-actif », « patient-expert », « patient-ressource », « pair-aidant » et « patient-partenaire » sont différents termes définissant le rôle du patient-acteur, ressource pour la démocratie sanitaire, dont l’engagement permet de coconstruire les parcours de soins, améliorer l’organisation et la qualité des soins dans les établissements de santé et garantir une relation soignants/soignés de qualité.
Fiche verte : Soins officiels non médicamenteux et relationnels
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
DÉFINITION : Qu'est-ce que cette pratique ?
Il ne s’agit pas d’une pratique, mais d’un statut. Une personne atteinte d’une maladie qui désire transformer son expérience vécue en expertise au service de la collectivité, auprès des professionnels de santé et/ou d’autres patients. Elle favorise le dialogue entre équipes médicales et malades, facilite l’expression des autres patients et contribue à améliorer la compréhension du discours soignant. Elle définit son action en fonction de ses choix et ses capacités : intervenant, formateur, aidant, bénévole ou professionnel.
FORMATION : Qui sont les praticiens ?
La reconnaissance institutionnelle du statut de « patient-expert » repose sur l’inclusion de ces derniers dans les programmes d’Éducation thérapeutique des patients (ETP), en tant que critère de qualité. Dans ce cadre, le terme utilisé est le « patient intervenant », repris dans le guide de recrutement de la DGS. Des associations de patients, des universités et des hôpitaux ont lancé des formations permettant leur professionnalisation, notamment en ETP. Le rôle des patients dans le système de santé est grandissant et un statut se dessine peu à peu (Université des patients, Sorbonne Pierre et Marie Curie ; Universités de Marseille et de Grenoble).
RISQUES : Quels sont les risques et/ou dérives ?
Le risque principal est celui de la « distance » à savoir qu’un patient-partenaire prenne la posture d’un soignant dont il n’a pas les compétences techniques, ou s’implique de façon démesurée ou trop personnelle vis-à-vis d’un autre patient.
POUR ALLER PLUS LOIN...
« Patient-actif », « patient-expert », « patient-ressource », « pair-aidant » et « patient-partenaire » sont différents termes définissant le rôle du patient-acteur, ressource pour la démocratie sanitaire, dont l’engagement permet de coconstruire les parcours de soins, améliorer l’organisation et la qualité des soins dans les établissements de santé et garantir une relation soignants/soignés de qualité.