Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’art-thérapie est un accompagnement par la création artistique. Dans une attitude active, la personne cherche à transposer ses idées, traduire un ressenti à travers la création d’une œuvre. Le support artistique se trouve chargé indirectement de ce qui la préoccupe. En se confrontant aux difficultés techniques, la personne mobilise ses ressources, soutenue par l’artiste. L’art-thérapie serait un outil permettant de mobiliser une situation qui semble figée.
Il existe des certifications inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) et des Diplômes universitaires (DU). Les praticiens diplômés ont une expérience conséquente d’un art, quel qu’il soit, et de l’accompagnement relationnel. Il s’agit d’artistes, ou de professionnels du soin, ayant suivi une formation et il leur est recommandé d’effectuer un travail sur eux-mêmes. Le sérieux de leur formation est primordial. Des écoles proposent des formations solides (entre 900 et 1550h) de 2 à 4 ans avec stages, ateliers, supervisions et apports fondamentaux : théorie de l’art-thérapie, psychopathologie, etc.
L’art-thérapie ne présente aucun risque pour la santé. Néanmoins, une formation insuffisante, une posture professionnelle inadaptée, voire non déontologique peuvent en constituer. Il convient donc de rester vigilant et de se renseigner sur la formation du praticien en cas de doute.
· L’art thérapie se développe dans les établissements de santé.
· L’OMS a publié, en 2019, un rapport sur l’art-thérapie explorant les liens entre les arts et la santé physique et mentale. Lire la synthèse.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’art-thérapie est un accompagnement par la création artistique. Dans une attitude active, la personne cherche à transposer ses idées, traduire un ressenti à travers la création d’une œuvre. Le support artistique se trouve chargé indirectement de ce qui la préoccupe. En se confrontant aux difficultés techniques, la personne mobilise ses ressources, soutenue par l’artiste. L’art-thérapie serait un outil permettant de mobiliser une situation qui semble figée.
Il existe des certifications inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) et des Diplômes universitaires (DU). Les praticiens diplômés ont une expérience conséquente d’un art, quel qu’il soit, et de l’accompagnement relationnel. Il s’agit d’artistes, ou de professionnels du soin, ayant suivi une formation et il leur est recommandé d’effectuer un travail sur eux-mêmes. Le sérieux de leur formation est primordial. Des écoles proposent des formations solides (entre 900 et 1550h) de 2 à 4 ans avec stages, ateliers, supervisions et apports fondamentaux : théorie de l’art-thérapie, psychopathologie, etc.
L’art-thérapie ne présente aucun risque pour la santé. Néanmoins, une formation insuffisante, une posture professionnelle inadaptée, voire non déontologique peuvent en constituer. Il convient donc de rester vigilant et de se renseigner sur la formation du praticien en cas de doute.
· L’art thérapie se développe dans les établissements de santé.
· L’OMS a publié, en 2019, un rapport sur l’art-thérapie explorant les liens entre les arts et la santé physique et mentale. Lire la synthèse.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’art-thérapie est un accompagnement par la création artistique. Dans une attitude active, la personne cherche à transposer ses idées, traduire un ressenti à travers la création d’une œuvre. Le support artistique se trouve chargé indirectement de ce qui la préoccupe. En se confrontant aux difficultés techniques, la personne mobilise ses ressources, soutenue par l’artiste. L’art-thérapie serait un outil permettant de mobiliser une situation qui semble figée.
Il existe des certifications inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) et des Diplômes universitaires (DU). Les praticiens diplômés ont une expérience conséquente d’un art, quel qu’il soit, et de l’accompagnement relationnel. Il s’agit d’artistes, ou de professionnels du soin, ayant suivi une formation et il leur est recommandé d’effectuer un travail sur eux-mêmes. Le sérieux de leur formation est primordial. Des écoles proposent des formations solides (entre 900 et 1550h) de 2 à 4 ans avec stages, ateliers, supervisions et apports fondamentaux : théorie de l’art-thérapie, psychopathologie, etc.
L’art-thérapie ne présente aucun risque pour la santé. Néanmoins, une formation insuffisante, une posture professionnelle inadaptée, voire non déontologique peuvent en constituer. Il convient donc de rester vigilant et de se renseigner sur la formation du praticien en cas de doute.
· L’art thérapie se développe dans les établissements de santé.
· L’OMS a publié, en 2019, un rapport sur l’art-thérapie explorant les liens entre les arts et la santé physique et mentale. Lire la synthèse.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’art-thérapie est un accompagnement par la création artistique. Dans une attitude active, la personne cherche à transposer ses idées, traduire un ressenti à travers la création d’une œuvre. Le support artistique se trouve chargé indirectement de ce qui la préoccupe. En se confrontant aux difficultés techniques, la personne mobilise ses ressources, soutenue par l’artiste. L’art-thérapie serait un outil permettant de mobiliser une situation qui semble figée.
Il existe des certifications inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) et des Diplômes universitaires (DU). Les praticiens diplômés ont une expérience conséquente d’un art, quel qu’il soit, et de l’accompagnement relationnel. Il s’agit d’artistes, ou de professionnels du soin, ayant suivi une formation et il leur est recommandé d’effectuer un travail sur eux-mêmes. Le sérieux de leur formation est primordial. Des écoles proposent des formations solides (entre 900 et 1550h) de 2 à 4 ans avec stages, ateliers, supervisions et apports fondamentaux : théorie de l’art-thérapie, psychopathologie, etc.
L’art-thérapie ne présente aucun risque pour la santé. Néanmoins, une formation insuffisante, une posture professionnelle inadaptée, voire non déontologique peuvent en constituer. Il convient donc de rester vigilant et de se renseigner sur la formation du praticien en cas de doute.
· L’art thérapie se développe dans les établissements de santé.
· L’OMS a publié, en 2019, un rapport sur l’art-thérapie explorant les liens entre les arts et la santé physique et mentale. Lire la synthèse.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
L’art-thérapie est un accompagnement par la création artistique. Dans une attitude active, la personne cherche à transposer ses idées, traduire un ressenti à travers la création d’une œuvre. Le support artistique se trouve chargé indirectement de ce qui la préoccupe. En se confrontant aux difficultés techniques, la personne mobilise ses ressources, soutenue par l’artiste. L’art-thérapie serait un outil permettant de mobiliser une situation qui semble figée.
Il existe des certifications inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) et des Diplômes universitaires (DU). Les praticiens diplômés ont une expérience conséquente d’un art, quel qu’il soit, et de l’accompagnement relationnel. Il s’agit d’artistes, ou de professionnels du soin, ayant suivi une formation et il leur est recommandé d’effectuer un travail sur eux-mêmes. Le sérieux de leur formation est primordial. Des écoles proposent des formations solides (entre 900 et 1550h) de 2 à 4 ans avec stages, ateliers, supervisions et apports fondamentaux : théorie de l’art-thérapie, psychopathologie, etc.
L’art-thérapie ne présente aucun risque pour la santé. Néanmoins, une formation insuffisante, une posture professionnelle inadaptée, voire non déontologique peuvent en constituer. Il convient donc de rester vigilant et de se renseigner sur la formation du praticien en cas de doute.
· L’art thérapie se développe dans les établissements de santé.
· L’OMS a publié, en 2019, un rapport sur l’art-thérapie explorant les liens entre les arts et la santé physique et mentale. Lire la synthèse.
Fiche verte : MCA ACCEPTÉE
Pratiques détenant un cadre réglementaire ou de formation et qui sont largement intégrées dans les centres de soins. Elles sont généralement proposées par des praticiens dont la formation est reconnue et ne comportent pas de risques ou de dérives.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les MCA s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’art-thérapie est un accompagnement par la création artistique. Dans une attitude active, la personne cherche à transposer ses idées, traduire un ressenti à travers la création d’une œuvre. Le support artistique se trouve chargé indirectement de ce qui la préoccupe. En se confrontant aux difficultés techniques, la personne mobilise ses ressources, soutenue par l’artiste. L’art-thérapie serait un outil permettant de mobiliser une situation qui semble figée.
Il existe des certifications inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) et des Diplômes universitaires (DU). Les praticiens diplômés ont une expérience conséquente d’un art, quel qu’il soit, et de l’accompagnement relationnel. Il s’agit d’artistes, ou de professionnels du soin, ayant suivi une formation et il leur est recommandé d’effectuer un travail sur eux-mêmes. Le sérieux de leur formation est primordial. Des écoles proposent des formations solides (entre 900 et 1550h) de 2 à 4 ans avec stages, ateliers, supervisions et apports fondamentaux : théorie de l’art-thérapie, psychopathologie, etc.
L’art-thérapie ne présente aucun risque pour la santé. Néanmoins, une formation insuffisante, une posture professionnelle inadaptée, voire non déontologique peuvent en constituer. Il convient donc de rester vigilant et de se renseigner sur la formation du praticien en cas de doute.
· L’art thérapie se développe dans les établissements de santé.
· L’OMS a publié, en 2019, un rapport sur l’art-thérapie explorant les liens entre les arts et la santé physique et mentale. Lire la synthèse.