Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pour autant, l’art-thérapie génère d’autres questions en lien avec l’emploi du mot « thérapie ». Ainsi, la démarche à visée thérapeutique – au sens de soulager un symptôme – peut parfois être discutée. En tant qu’approche de soin global, les art-thérapies « n’ont pas pour objectif de combattre le symptôme, mais de faire appel aux potentialités préservées de la personne, voire d’en faire naître de nouvelles à travers le processus de création et la relation qui lui est associée ». Ce processus doit permettre au patient de mieux vivre avec sa pathologie. Les art-thérapies impliquent alors la démarche du « prendre soin » et, en ce sens, les praticiens sont en demande d’une plus grande reconnaissance de leur pratique dans le champ de la santé et des fragilités humaines. Et ce, d’autant plus que les art-thérapies ne sont, de fait, pas exemptes de risques dès lors où le praticien intervient auprès d’usagers en difficulté ou en fragilité sans en avoir les compétences requises. Mal interpréter une production intime et sensible, prendre une posture de « sachant » conduisant à penser pour et à la place de la personne, manquer de connaissances face aux publics parfois très fragiles, sont des comportements pouvant conduire à des risques, même si les dérives restent marginales. Par conséquent, « les praticiens des art-thérapeutiques se considèrent comme des thérapeutes et le revendiquent, rappelle Véronique SUISSA. Ils regrettent de ne pas détenir une vraie place dans le monde du soin, alors qu’ils se considèrent comme acteurs du soin. Il s’agit d’un point de débat pouvant susciter une controverse. »
Comme pour les autres ouvrages, les trois fondateurs de l’A-MCA ne cherchent pas, au travers de ce livre, à prendre position sur l’efficacité de la pratique ou à juger les croyances de citoyens, de patients ou de praticiens, mais bien d’ouvrir le débat. « En revanche, nous exprimons notre refus de soutenir toute approche complémentaire et alternative qui serait dangereuse, illégale ou présenterait des dérives thérapeutiques ou sectaires », précisent-ils en préambule.
Ainsi, la première partie de l’ouvrage « Comprendre » permet d’expliquer l’art-thérapie, son origine et celle des thérapeutes puis, de faire un focus sur différentes pratiques (danse, musique, écriture, etc.) et sur la formation des art-thérapeutes.
La seconde partie ouvre le débat, propose des regards croisés sur la place des art-thérapies dans le soin et sur les différentes pratiques avec l’intervention d’art-thérapeutes, de médecins, de soignants ou encore de dirigeants.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pour autant, l’art-thérapie génère d’autres questions en lien avec l’emploi du mot « thérapie ». Ainsi, la démarche à visée thérapeutique – au sens de soulager un symptôme – peut parfois être discutée. En tant qu’approche de soin global, les art-thérapies « n’ont pas pour objectif de combattre le symptôme, mais de faire appel aux potentialités préservées de la personne, voire d’en faire naître de nouvelles à travers le processus de création et la relation qui lui est associée ». Ce processus doit permettre au patient de mieux vivre avec sa pathologie. Les art-thérapies impliquent alors la démarche du « prendre soin » et, en ce sens, les praticiens sont en demande d’une plus grande reconnaissance de leur pratique dans le champ de la santé et des fragilités humaines. Et ce, d’autant plus que les art-thérapies ne sont, de fait, pas exemptes de risques dès lors où le praticien intervient auprès d’usagers en difficulté ou en fragilité sans en avoir les compétences requises. Mal interpréter une production intime et sensible, prendre une posture de « sachant » conduisant à penser pour et à la place de la personne, manquer de connaissances face aux publics parfois très fragiles, sont des comportements pouvant conduire à des risques, même si les dérives restent marginales. Par conséquent, « les praticiens des art-thérapeutiques se considèrent comme des thérapeutes et le revendiquent, rappelle Véronique SUISSA. Ils regrettent de ne pas détenir une vraie place dans le monde du soin, alors qu’ils se considèrent comme acteurs du soin. Il s’agit d’un point de débat pouvant susciter une controverse. »
Comme pour les autres ouvrages, les trois fondateurs de l’A-MCA ne cherchent pas, au travers de ce livre, à prendre position sur l’efficacité de la pratique ou à juger les croyances de citoyens, de patients ou de praticiens, mais bien d’ouvrir le débat. « En revanche, nous exprimons notre refus de soutenir toute approche complémentaire et alternative qui serait dangereuse, illégale ou présenterait des dérives thérapeutiques ou sectaires », précisent-ils en préambule.
Ainsi, la première partie de l’ouvrage « Comprendre » permet d’expliquer l’art-thérapie, son origine et celle des thérapeutes puis, de faire un focus sur différentes pratiques (danse, musique, écriture, etc.) et sur la formation des art-thérapeutes.
La seconde partie ouvre le débat, propose des regards croisés sur la place des art-thérapies dans le soin et sur les différentes pratiques avec l’intervention d’art-thérapeutes, de médecins, de soignants ou encore de dirigeants.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pour autant, l’art-thérapie génère d’autres questions en lien avec l’emploi du mot « thérapie ». Ainsi, la démarche à visée thérapeutique – au sens de soulager un symptôme – peut parfois être discutée. En tant qu’approche de soin global, les art-thérapies « n’ont pas pour objectif de combattre le symptôme, mais de faire appel aux potentialités préservées de la personne, voire d’en faire naître de nouvelles à travers le processus de création et la relation qui lui est associée ». Ce processus doit permettre au patient de mieux vivre avec sa pathologie. Les art-thérapies impliquent alors la démarche du « prendre soin » et, en ce sens, les praticiens sont en demande d’une plus grande reconnaissance de leur pratique dans le champ de la santé et des fragilités humaines. Et ce, d’autant plus que les art-thérapies ne sont, de fait, pas exemptes de risques dès lors où le praticien intervient auprès d’usagers en difficulté ou en fragilité sans en avoir les compétences requises. Mal interpréter une production intime et sensible, prendre une posture de « sachant » conduisant à penser pour et à la place de la personne, manquer de connaissances face aux publics parfois très fragiles, sont des comportements pouvant conduire à des risques, même si les dérives restent marginales. Par conséquent, « les praticiens des art-thérapeutiques se considèrent comme des thérapeutes et le revendiquent, rappelle Véronique SUISSA. Ils regrettent de ne pas détenir une vraie place dans le monde du soin, alors qu’ils se considèrent comme acteurs du soin. Il s’agit d’un point de débat pouvant susciter une controverse. »
Comme pour les autres ouvrages, les trois fondateurs de l’A-MCA ne cherchent pas, au travers de ce livre, à prendre position sur l’efficacité de la pratique ou à juger les croyances de citoyens, de patients ou de praticiens, mais bien d’ouvrir le débat. « En revanche, nous exprimons notre refus de soutenir toute approche complémentaire et alternative qui serait dangereuse, illégale ou présenterait des dérives thérapeutiques ou sectaires », précisent-ils en préambule.
Ainsi, la première partie de l’ouvrage « Comprendre » permet d’expliquer l’art-thérapie, son origine et celle des thérapeutes puis, de faire un focus sur différentes pratiques (danse, musique, écriture, etc.) et sur la formation des art-thérapeutes.
La seconde partie ouvre le débat, propose des regards croisés sur la place des art-thérapies dans le soin et sur les différentes pratiques avec l’intervention d’art-thérapeutes, de médecins, de soignants ou encore de dirigeants.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Pour autant, l’art-thérapie génère d’autres questions en lien avec l’emploi du mot « thérapie ». Ainsi, la démarche à visée thérapeutique – au sens de soulager un symptôme – peut parfois être discutée. En tant qu’approche de soin global, les art-thérapies « n’ont pas pour objectif de combattre le symptôme, mais de faire appel aux potentialités préservées de la personne, voire d’en faire naître de nouvelles à travers le processus de création et la relation qui lui est associée ». Ce processus doit permettre au patient de mieux vivre avec sa pathologie. Les art-thérapies impliquent alors la démarche du « prendre soin » et, en ce sens, les praticiens sont en demande d’une plus grande reconnaissance de leur pratique dans le champ de la santé et des fragilités humaines. Et ce, d’autant plus que les art-thérapies ne sont, de fait, pas exemptes de risques dès lors où le praticien intervient auprès d’usagers en difficulté ou en fragilité sans en avoir les compétences requises. Mal interpréter une production intime et sensible, prendre une posture de « sachant » conduisant à penser pour et à la place de la personne, manquer de connaissances face aux publics parfois très fragiles, sont des comportements pouvant conduire à des risques, même si les dérives restent marginales. Par conséquent, « les praticiens des art-thérapeutiques se considèrent comme des thérapeutes et le revendiquent, rappelle Véronique SUISSA. Ils regrettent de ne pas détenir une vraie place dans le monde du soin, alors qu’ils se considèrent comme acteurs du soin. Il s’agit d’un point de débat pouvant susciter une controverse. »
Comme pour les autres ouvrages, les trois fondateurs de l’A-MCA ne cherchent pas, au travers de ce livre, à prendre position sur l’efficacité de la pratique ou à juger les croyances de citoyens, de patients ou de praticiens, mais bien d’ouvrir le débat. « En revanche, nous exprimons notre refus de soutenir toute approche complémentaire et alternative qui serait dangereuse, illégale ou présenterait des dérives thérapeutiques ou sectaires », précisent-ils en préambule.
Ainsi, la première partie de l’ouvrage « Comprendre » permet d’expliquer l’art-thérapie, son origine et celle des thérapeutes puis, de faire un focus sur différentes pratiques (danse, musique, écriture, etc.) et sur la formation des art-thérapeutes.
La seconde partie ouvre le débat, propose des regards croisés sur la place des art-thérapies dans le soin et sur les différentes pratiques avec l’intervention d’art-thérapeutes, de médecins, de soignants ou encore de dirigeants.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Pour autant, l’art-thérapie génère d’autres questions en lien avec l’emploi du mot « thérapie ». Ainsi, la démarche à visée thérapeutique – au sens de soulager un symptôme – peut parfois être discutée. En tant qu’approche de soin global, les art-thérapies « n’ont pas pour objectif de combattre le symptôme, mais de faire appel aux potentialités préservées de la personne, voire d’en faire naître de nouvelles à travers le processus de création et la relation qui lui est associée ». Ce processus doit permettre au patient de mieux vivre avec sa pathologie. Les art-thérapies impliquent alors la démarche du « prendre soin » et, en ce sens, les praticiens sont en demande d’une plus grande reconnaissance de leur pratique dans le champ de la santé et des fragilités humaines. Et ce, d’autant plus que les art-thérapies ne sont, de fait, pas exemptes de risques dès lors où le praticien intervient auprès d’usagers en difficulté ou en fragilité sans en avoir les compétences requises. Mal interpréter une production intime et sensible, prendre une posture de « sachant » conduisant à penser pour et à la place de la personne, manquer de connaissances face aux publics parfois très fragiles, sont des comportements pouvant conduire à des risques, même si les dérives restent marginales. Par conséquent, « les praticiens des art-thérapeutiques se considèrent comme des thérapeutes et le revendiquent, rappelle Véronique SUISSA. Ils regrettent de ne pas détenir une vraie place dans le monde du soin, alors qu’ils se considèrent comme acteurs du soin. Il s’agit d’un point de débat pouvant susciter une controverse. »
Comme pour les autres ouvrages, les trois fondateurs de l’A-MCA ne cherchent pas, au travers de ce livre, à prendre position sur l’efficacité de la pratique ou à juger les croyances de citoyens, de patients ou de praticiens, mais bien d’ouvrir le débat. « En revanche, nous exprimons notre refus de soutenir toute approche complémentaire et alternative qui serait dangereuse, illégale ou présenterait des dérives thérapeutiques ou sectaires », précisent-ils en préambule.
Ainsi, la première partie de l’ouvrage « Comprendre » permet d’expliquer l’art-thérapie, son origine et celle des thérapeutes puis, de faire un focus sur différentes pratiques (danse, musique, écriture, etc.) et sur la formation des art-thérapeutes.
La seconde partie ouvre le débat, propose des regards croisés sur la place des art-thérapies dans le soin et sur les différentes pratiques avec l’intervention d’art-thérapeutes, de médecins, de soignants ou encore de dirigeants.
L’A-MCA a sorti le 23 juin 2022, le troisième opus de sa collection : « Les 20 grandes questions pour comprendre l’art-thérapie ». L’occasion d’approfondir avec des experts, cette pratique de plus en plus déployée.
« Avec ce troisième ouvrage de la collection, nous avons fait le choix de nous intéresser à une pratique plus consensuelle que l’homéopathie et plus clairement identifiée dans ses méthodes que la sophrologie ; ces deux pratiques ayant fait l’objet de nos deux livres précédents », rapporte Véronique SUISSA. Les art-thérapies regroupent différentes disciplines, notamment la musicothérapie, la dramathérapie, la thérapie par l’écriture ou encore la peinture. Elles s’inscrivent dans la dynamique de la santé intégrative, du soin relationnel et des approches du care (prendre soin). L’art-thérapie ne suscite pas, il est vrai, de controverse trop importante. Elle fait relativement consensus et s’adapte à un public large, à savoir les enfants, les personnes âgées, les patients atteints de maladies chroniques, etc. Cette pratique est présente, aussi bien dans les maisons de retraite médicalisées, les centres spécialisés de lutte contre les addictions, les soins de support dans le domaine de l’oncologie, les services de psychiatrie accompagnant les personnes en fragilité psychique, que dans les centres de soutien aux enfants malades. Comme expliqué dans l’ouvrage, son utilité dans le soin – au sens de contribuer au bien-être des personnes – n’est généralement pas discutée, sans doute parce que dans ce cadre, l’art est souvent associé à une simple « activité de plaisir et d’occupation ».
Pour autant, l’art-thérapie génère d’autres questions en lien avec l’emploi du mot « thérapie ». Ainsi, la démarche à visée thérapeutique – au sens de soulager un symptôme – peut parfois être discutée. En tant qu’approche de soin global, les art-thérapies « n’ont pas pour objectif de combattre le symptôme, mais de faire appel aux potentialités préservées de la personne, voire d’en faire naître de nouvelles à travers le processus de création et la relation qui lui est associée ». Ce processus doit permettre au patient de mieux vivre avec sa pathologie. Les art-thérapies impliquent alors la démarche du « prendre soin » et, en ce sens, les praticiens sont en demande d’une plus grande reconnaissance de leur pratique dans le champ de la santé et des fragilités humaines. Et ce, d’autant plus que les art-thérapies ne sont, de fait, pas exemptes de risques dès lors où le praticien intervient auprès d’usagers en difficulté ou en fragilité sans en avoir les compétences requises. Mal interpréter une production intime et sensible, prendre une posture de « sachant » conduisant à penser pour et à la place de la personne, manquer de connaissances face aux publics parfois très fragiles, sont des comportements pouvant conduire à des risques, même si les dérives restent marginales. Par conséquent, « les praticiens des art-thérapeutiques se considèrent comme des thérapeutes et le revendiquent, rappelle Véronique SUISSA. Ils regrettent de ne pas détenir une vraie place dans le monde du soin, alors qu’ils se considèrent comme acteurs du soin. Il s’agit d’un point de débat pouvant susciter une controverse. »
Comme pour les autres ouvrages, les trois fondateurs de l’A-MCA ne cherchent pas, au travers de ce livre, à prendre position sur l’efficacité de la pratique ou à juger les croyances de citoyens, de patients ou de praticiens, mais bien d’ouvrir le débat. « En revanche, nous exprimons notre refus de soutenir toute approche complémentaire et alternative qui serait dangereuse, illégale ou présenterait des dérives thérapeutiques ou sectaires », précisent-ils en préambule.
Ainsi, la première partie de l’ouvrage « Comprendre » permet d’expliquer l’art-thérapie, son origine et celle des thérapeutes puis, de faire un focus sur différentes pratiques (danse, musique, écriture, etc.) et sur la formation des art-thérapeutes.
La seconde partie ouvre le débat, propose des regards croisés sur la place des art-thérapies dans le soin et sur les différentes pratiques avec l’intervention d’art-thérapeutes, de médecins, de soignants ou encore de dirigeants.