Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Dans une interview croisée avec le Pr Emmanuel Hirsh, auteur de la Préface de l’ouvrage (Lire l’interview senioractu), Véronique Suissa pose le cadre de son livre : « La tendance actuelle consiste à considérer le bien-être comme un aspect subsidiaire alors qu’en pratique, il suscite l’intérêt de la société dans son ensemble». Pour la Directrice de l’A-MCA, le rapport à la santé et au soin a évolué facilitant la démocratisation des pratiques complémentaires. Pour autant, le secteur manque encore de synergies entre les acteurs même si la tendance commence à évoluer comme l'expose Véronique suissa dans son interview A-MCA (Visionner l'interview).
La première partie de l’ouvrage est centré sur le secteur au sens large. Elle aborde notamment la façon dont le bien-être s’est installé dans notre société, le rapport actuel des citoyens vis-à-vis de leur santé, la déshumanisation dans le soin médical, le lien complexe qu’entretient la médecine avec les médecines complémentaires ou encore la diversité de l’écosystème dans le domaine. « Le premier chapitre permet de poser le cadre concernant le bien-être et les pratiques complémentaires qui n’ont en réalité rien de nouveau » indique Véronique Suissa. « Il était aussi le moyen de montrer des réalités de terrain concernant les usages et les attentes des citoyens en la matière » ajoute l’auteur du livre.
La seconde partie, quant à elle, est axée sur les grands débats qui articulent le sujet comme les désaccords autour des termes utilisées pour qualifier toutes ces pratiques, la question complexe de de leur reconnaissance, les liens parfois simplistes entre « médecines complémentaires » et « refus de soins », la tendance actuelle à la sectarisation des pratiques tout en éclairant sur les « charlatans de la santé ». « L’enjeu était de pouvoir d'apporter des repères repères structurants au grand public et de de tenter de démêler le sujet entre les approches qui ont toutes leur place en santé et celles qui présentent des risques" indique Véronique Suissa avant de conclure "C’est aussi pour cette raison que j’ai tenu à illustrer mes propos à l’appui de situations réelles, en présentant des cas cliniques tout en renvoyant le lecteur à une diversité de références bibliographiques ».
L’ouvrage s’adresse à tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin au bien-être, à la prévention, à la santé et plus largement à la qualité de vie des personnes. En effet, il expose les ponts existants entre les différents concepts qui se distinguent tout en étant étroitement reliés les uns aux autres.
Au bilan, cet ouvrage a été conçu prioritairement pour le grand public mais il constitue un support utile pour les professionnels de santé, les praticiens, les chercheurs ou les institutionnels impliqués dans le domaine de la santé, de la prévention et des pratiques complémentaires.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Dans une interview croisée avec le Pr Emmanuel Hirsh, auteur de la Préface de l’ouvrage (Lire l’interview senioractu), Véronique Suissa pose le cadre de son livre : « La tendance actuelle consiste à considérer le bien-être comme un aspect subsidiaire alors qu’en pratique, il suscite l’intérêt de la société dans son ensemble». Pour la Directrice de l’A-MCA, le rapport à la santé et au soin a évolué facilitant la démocratisation des pratiques complémentaires. Pour autant, le secteur manque encore de synergies entre les acteurs même si la tendance commence à évoluer comme l'expose Véronique suissa dans son interview A-MCA (Visionner l'interview).
La première partie de l’ouvrage est centré sur le secteur au sens large. Elle aborde notamment la façon dont le bien-être s’est installé dans notre société, le rapport actuel des citoyens vis-à-vis de leur santé, la déshumanisation dans le soin médical, le lien complexe qu’entretient la médecine avec les médecines complémentaires ou encore la diversité de l’écosystème dans le domaine. « Le premier chapitre permet de poser le cadre concernant le bien-être et les pratiques complémentaires qui n’ont en réalité rien de nouveau » indique Véronique Suissa. « Il était aussi le moyen de montrer des réalités de terrain concernant les usages et les attentes des citoyens en la matière » ajoute l’auteur du livre.
La seconde partie, quant à elle, est axée sur les grands débats qui articulent le sujet comme les désaccords autour des termes utilisées pour qualifier toutes ces pratiques, la question complexe de de leur reconnaissance, les liens parfois simplistes entre « médecines complémentaires » et « refus de soins », la tendance actuelle à la sectarisation des pratiques tout en éclairant sur les « charlatans de la santé ». « L’enjeu était de pouvoir d'apporter des repères repères structurants au grand public et de de tenter de démêler le sujet entre les approches qui ont toutes leur place en santé et celles qui présentent des risques" indique Véronique Suissa avant de conclure "C’est aussi pour cette raison que j’ai tenu à illustrer mes propos à l’appui de situations réelles, en présentant des cas cliniques tout en renvoyant le lecteur à une diversité de références bibliographiques ».
L’ouvrage s’adresse à tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin au bien-être, à la prévention, à la santé et plus largement à la qualité de vie des personnes. En effet, il expose les ponts existants entre les différents concepts qui se distinguent tout en étant étroitement reliés les uns aux autres.
Au bilan, cet ouvrage a été conçu prioritairement pour le grand public mais il constitue un support utile pour les professionnels de santé, les praticiens, les chercheurs ou les institutionnels impliqués dans le domaine de la santé, de la prévention et des pratiques complémentaires.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Dans une interview croisée avec le Pr Emmanuel Hirsh, auteur de la Préface de l’ouvrage (Lire l’interview senioractu), Véronique Suissa pose le cadre de son livre : « La tendance actuelle consiste à considérer le bien-être comme un aspect subsidiaire alors qu’en pratique, il suscite l’intérêt de la société dans son ensemble». Pour la Directrice de l’A-MCA, le rapport à la santé et au soin a évolué facilitant la démocratisation des pratiques complémentaires. Pour autant, le secteur manque encore de synergies entre les acteurs même si la tendance commence à évoluer comme l'expose Véronique suissa dans son interview A-MCA (Visionner l'interview).
La première partie de l’ouvrage est centré sur le secteur au sens large. Elle aborde notamment la façon dont le bien-être s’est installé dans notre société, le rapport actuel des citoyens vis-à-vis de leur santé, la déshumanisation dans le soin médical, le lien complexe qu’entretient la médecine avec les médecines complémentaires ou encore la diversité de l’écosystème dans le domaine. « Le premier chapitre permet de poser le cadre concernant le bien-être et les pratiques complémentaires qui n’ont en réalité rien de nouveau » indique Véronique Suissa. « Il était aussi le moyen de montrer des réalités de terrain concernant les usages et les attentes des citoyens en la matière » ajoute l’auteur du livre.
La seconde partie, quant à elle, est axée sur les grands débats qui articulent le sujet comme les désaccords autour des termes utilisées pour qualifier toutes ces pratiques, la question complexe de de leur reconnaissance, les liens parfois simplistes entre « médecines complémentaires » et « refus de soins », la tendance actuelle à la sectarisation des pratiques tout en éclairant sur les « charlatans de la santé ». « L’enjeu était de pouvoir d'apporter des repères repères structurants au grand public et de de tenter de démêler le sujet entre les approches qui ont toutes leur place en santé et celles qui présentent des risques" indique Véronique Suissa avant de conclure "C’est aussi pour cette raison que j’ai tenu à illustrer mes propos à l’appui de situations réelles, en présentant des cas cliniques tout en renvoyant le lecteur à une diversité de références bibliographiques ».
L’ouvrage s’adresse à tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin au bien-être, à la prévention, à la santé et plus largement à la qualité de vie des personnes. En effet, il expose les ponts existants entre les différents concepts qui se distinguent tout en étant étroitement reliés les uns aux autres.
Au bilan, cet ouvrage a été conçu prioritairement pour le grand public mais il constitue un support utile pour les professionnels de santé, les praticiens, les chercheurs ou les institutionnels impliqués dans le domaine de la santé, de la prévention et des pratiques complémentaires.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Dans une interview croisée avec le Pr Emmanuel Hirsh, auteur de la Préface de l’ouvrage (Lire l’interview senioractu), Véronique Suissa pose le cadre de son livre : « La tendance actuelle consiste à considérer le bien-être comme un aspect subsidiaire alors qu’en pratique, il suscite l’intérêt de la société dans son ensemble». Pour la Directrice de l’A-MCA, le rapport à la santé et au soin a évolué facilitant la démocratisation des pratiques complémentaires. Pour autant, le secteur manque encore de synergies entre les acteurs même si la tendance commence à évoluer comme l'expose Véronique suissa dans son interview A-MCA (Visionner l'interview).
La première partie de l’ouvrage est centré sur le secteur au sens large. Elle aborde notamment la façon dont le bien-être s’est installé dans notre société, le rapport actuel des citoyens vis-à-vis de leur santé, la déshumanisation dans le soin médical, le lien complexe qu’entretient la médecine avec les médecines complémentaires ou encore la diversité de l’écosystème dans le domaine. « Le premier chapitre permet de poser le cadre concernant le bien-être et les pratiques complémentaires qui n’ont en réalité rien de nouveau » indique Véronique Suissa. « Il était aussi le moyen de montrer des réalités de terrain concernant les usages et les attentes des citoyens en la matière » ajoute l’auteur du livre.
La seconde partie, quant à elle, est axée sur les grands débats qui articulent le sujet comme les désaccords autour des termes utilisées pour qualifier toutes ces pratiques, la question complexe de de leur reconnaissance, les liens parfois simplistes entre « médecines complémentaires » et « refus de soins », la tendance actuelle à la sectarisation des pratiques tout en éclairant sur les « charlatans de la santé ». « L’enjeu était de pouvoir d'apporter des repères repères structurants au grand public et de de tenter de démêler le sujet entre les approches qui ont toutes leur place en santé et celles qui présentent des risques" indique Véronique Suissa avant de conclure "C’est aussi pour cette raison que j’ai tenu à illustrer mes propos à l’appui de situations réelles, en présentant des cas cliniques tout en renvoyant le lecteur à une diversité de références bibliographiques ».
L’ouvrage s’adresse à tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin au bien-être, à la prévention, à la santé et plus largement à la qualité de vie des personnes. En effet, il expose les ponts existants entre les différents concepts qui se distinguent tout en étant étroitement reliés les uns aux autres.
Au bilan, cet ouvrage a été conçu prioritairement pour le grand public mais il constitue un support utile pour les professionnels de santé, les praticiens, les chercheurs ou les institutionnels impliqués dans le domaine de la santé, de la prévention et des pratiques complémentaires.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Dans une interview croisée avec le Pr Emmanuel Hirsh, auteur de la Préface de l’ouvrage (Lire l’interview senioractu), Véronique Suissa pose le cadre de son livre : « La tendance actuelle consiste à considérer le bien-être comme un aspect subsidiaire alors qu’en pratique, il suscite l’intérêt de la société dans son ensemble». Pour la Directrice de l’A-MCA, le rapport à la santé et au soin a évolué facilitant la démocratisation des pratiques complémentaires. Pour autant, le secteur manque encore de synergies entre les acteurs même si la tendance commence à évoluer comme l'expose Véronique suissa dans son interview A-MCA (Visionner l'interview).
La première partie de l’ouvrage est centré sur le secteur au sens large. Elle aborde notamment la façon dont le bien-être s’est installé dans notre société, le rapport actuel des citoyens vis-à-vis de leur santé, la déshumanisation dans le soin médical, le lien complexe qu’entretient la médecine avec les médecines complémentaires ou encore la diversité de l’écosystème dans le domaine. « Le premier chapitre permet de poser le cadre concernant le bien-être et les pratiques complémentaires qui n’ont en réalité rien de nouveau » indique Véronique Suissa. « Il était aussi le moyen de montrer des réalités de terrain concernant les usages et les attentes des citoyens en la matière » ajoute l’auteur du livre.
La seconde partie, quant à elle, est axée sur les grands débats qui articulent le sujet comme les désaccords autour des termes utilisées pour qualifier toutes ces pratiques, la question complexe de de leur reconnaissance, les liens parfois simplistes entre « médecines complémentaires » et « refus de soins », la tendance actuelle à la sectarisation des pratiques tout en éclairant sur les « charlatans de la santé ». « L’enjeu était de pouvoir d'apporter des repères repères structurants au grand public et de de tenter de démêler le sujet entre les approches qui ont toutes leur place en santé et celles qui présentent des risques" indique Véronique Suissa avant de conclure "C’est aussi pour cette raison que j’ai tenu à illustrer mes propos à l’appui de situations réelles, en présentant des cas cliniques tout en renvoyant le lecteur à une diversité de références bibliographiques ».
L’ouvrage s’adresse à tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin au bien-être, à la prévention, à la santé et plus largement à la qualité de vie des personnes. En effet, il expose les ponts existants entre les différents concepts qui se distinguent tout en étant étroitement reliés les uns aux autres.
Au bilan, cet ouvrage a été conçu prioritairement pour le grand public mais il constitue un support utile pour les professionnels de santé, les praticiens, les chercheurs ou les institutionnels impliqués dans le domaine de la santé, de la prévention et des pratiques complémentaires.
Véronique Suissa, Directrice de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) sort son nouvel ouvrage intitulé « La société du bien-être. Médecines douces, complémentaires, alternatives (…) un écosystème en mouvement » aux éditions Michalon. Le point.
Dans une interview croisée avec le Pr Emmanuel Hirsh, auteur de la Préface de l’ouvrage (Lire l’interview senioractu), Véronique Suissa pose le cadre de son livre : « La tendance actuelle consiste à considérer le bien-être comme un aspect subsidiaire alors qu’en pratique, il suscite l’intérêt de la société dans son ensemble». Pour la Directrice de l’A-MCA, le rapport à la santé et au soin a évolué facilitant la démocratisation des pratiques complémentaires. Pour autant, le secteur manque encore de synergies entre les acteurs même si la tendance commence à évoluer comme l'expose Véronique suissa dans son interview A-MCA (Visionner l'interview).
La première partie de l’ouvrage est centré sur le secteur au sens large. Elle aborde notamment la façon dont le bien-être s’est installé dans notre société, le rapport actuel des citoyens vis-à-vis de leur santé, la déshumanisation dans le soin médical, le lien complexe qu’entretient la médecine avec les médecines complémentaires ou encore la diversité de l’écosystème dans le domaine. « Le premier chapitre permet de poser le cadre concernant le bien-être et les pratiques complémentaires qui n’ont en réalité rien de nouveau » indique Véronique Suissa. « Il était aussi le moyen de montrer des réalités de terrain concernant les usages et les attentes des citoyens en la matière » ajoute l’auteur du livre.
La seconde partie, quant à elle, est axée sur les grands débats qui articulent le sujet comme les désaccords autour des termes utilisées pour qualifier toutes ces pratiques, la question complexe de de leur reconnaissance, les liens parfois simplistes entre « médecines complémentaires » et « refus de soins », la tendance actuelle à la sectarisation des pratiques tout en éclairant sur les « charlatans de la santé ». « L’enjeu était de pouvoir d'apporter des repères repères structurants au grand public et de de tenter de démêler le sujet entre les approches qui ont toutes leur place en santé et celles qui présentent des risques" indique Véronique Suissa avant de conclure "C’est aussi pour cette raison que j’ai tenu à illustrer mes propos à l’appui de situations réelles, en présentant des cas cliniques tout en renvoyant le lecteur à une diversité de références bibliographiques ».
L’ouvrage s’adresse à tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin au bien-être, à la prévention, à la santé et plus largement à la qualité de vie des personnes. En effet, il expose les ponts existants entre les différents concepts qui se distinguent tout en étant étroitement reliés les uns aux autres.
Au bilan, cet ouvrage a été conçu prioritairement pour le grand public mais il constitue un support utile pour les professionnels de santé, les praticiens, les chercheurs ou les institutionnels impliqués dans le domaine de la santé, de la prévention et des pratiques complémentaires.