Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Ces trois conférences ont ainsi été le moyen de sensibiliser le grand public aux MCA, en communiquant autour des bénéfices tout en alertant sur les risques et dérives en santé. Une façon de vulgariser les points clés du rapport de l’A-MCA et de répondre aux questions concrètes des citoyens.
Les intervenants ont ainsi pointé les bienfaits des pratiques complémentaires dès lors où elles sont dispensées par des praticiens expérimentés et dont le diplôme est reconnu (RNCP, DU…) tout en alertant sur les signes de dérives (ex. discours allant à l’encontre des conseils médicaux). Enfin, concernant l’accès à ces pratiques, les intervenants ont rappelé la nécessité de prendre conseil auprès de son médecin et d’éviter les plateformes grand public, mêlant des praticiens formés, non formés et charlatans.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Ces trois conférences ont ainsi été le moyen de sensibiliser le grand public aux MCA, en communiquant autour des bénéfices tout en alertant sur les risques et dérives en santé. Une façon de vulgariser les points clés du rapport de l’A-MCA et de répondre aux questions concrètes des citoyens.
Les intervenants ont ainsi pointé les bienfaits des pratiques complémentaires dès lors où elles sont dispensées par des praticiens expérimentés et dont le diplôme est reconnu (RNCP, DU…) tout en alertant sur les signes de dérives (ex. discours allant à l’encontre des conseils médicaux). Enfin, concernant l’accès à ces pratiques, les intervenants ont rappelé la nécessité de prendre conseil auprès de son médecin et d’éviter les plateformes grand public, mêlant des praticiens formés, non formés et charlatans.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Ces trois conférences ont ainsi été le moyen de sensibiliser le grand public aux MCA, en communiquant autour des bénéfices tout en alertant sur les risques et dérives en santé. Une façon de vulgariser les points clés du rapport de l’A-MCA et de répondre aux questions concrètes des citoyens.
Les intervenants ont ainsi pointé les bienfaits des pratiques complémentaires dès lors où elles sont dispensées par des praticiens expérimentés et dont le diplôme est reconnu (RNCP, DU…) tout en alertant sur les signes de dérives (ex. discours allant à l’encontre des conseils médicaux). Enfin, concernant l’accès à ces pratiques, les intervenants ont rappelé la nécessité de prendre conseil auprès de son médecin et d’éviter les plateformes grand public, mêlant des praticiens formés, non formés et charlatans.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Ces trois conférences ont ainsi été le moyen de sensibiliser le grand public aux MCA, en communiquant autour des bénéfices tout en alertant sur les risques et dérives en santé. Une façon de vulgariser les points clés du rapport de l’A-MCA et de répondre aux questions concrètes des citoyens.
Les intervenants ont ainsi pointé les bienfaits des pratiques complémentaires dès lors où elles sont dispensées par des praticiens expérimentés et dont le diplôme est reconnu (RNCP, DU…) tout en alertant sur les signes de dérives (ex. discours allant à l’encontre des conseils médicaux). Enfin, concernant l’accès à ces pratiques, les intervenants ont rappelé la nécessité de prendre conseil auprès de son médecin et d’éviter les plateformes grand public, mêlant des praticiens formés, non formés et charlatans.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Ces trois conférences ont ainsi été le moyen de sensibiliser le grand public aux MCA, en communiquant autour des bénéfices tout en alertant sur les risques et dérives en santé. Une façon de vulgariser les points clés du rapport de l’A-MCA et de répondre aux questions concrètes des citoyens.
Les intervenants ont ainsi pointé les bienfaits des pratiques complémentaires dès lors où elles sont dispensées par des praticiens expérimentés et dont le diplôme est reconnu (RNCP, DU…) tout en alertant sur les signes de dérives (ex. discours allant à l’encontre des conseils médicaux). Enfin, concernant l’accès à ces pratiques, les intervenants ont rappelé la nécessité de prendre conseil auprès de son médecin et d’éviter les plateformes grand public, mêlant des praticiens formés, non formés et charlatans.
L’A-MCA a participé au Salon des seniors, qui s’est déroulé du 6 au 9 octobre 2021 à Paris. L’occasion pour les principaux concernés d’échanger, partager et de s’informer sur des thématiques en lien avec leurs droits, leur retraite mais aussi leur santé.
Ce Salon, auquel l’A-MCA a participé, a représenté une opportunité pour elle d’informer et de sensibiliser le public aux MCA. Outre l’accueil des visiteurs sur son stand, l’Agence a également animé des conférences : celle portant sur les médecines complémentaires et citoyenneté « le citoyen au cœur de sa santé », a permis d’expliquer l’intérêt des MCA pour tous et de répondre aux questions concrètes des citoyens. La deuxième intitulée « médecines complémentaires et bien-vieillir » s’est intéressée à l’apport des MCA pour les séniors tout en mettant en lumière leurs attentes en matière de prévention et d’approches complémentaires. Enfin la troisième a permis de faire le point sur l’homéopathie et sa place dans le champ de la santé.
Ces trois conférences ont ainsi été le moyen de sensibiliser le grand public aux MCA, en communiquant autour des bénéfices tout en alertant sur les risques et dérives en santé. Une façon de vulgariser les points clés du rapport de l’A-MCA et de répondre aux questions concrètes des citoyens.
Les intervenants ont ainsi pointé les bienfaits des pratiques complémentaires dès lors où elles sont dispensées par des praticiens expérimentés et dont le diplôme est reconnu (RNCP, DU…) tout en alertant sur les signes de dérives (ex. discours allant à l’encontre des conseils médicaux). Enfin, concernant l’accès à ces pratiques, les intervenants ont rappelé la nécessité de prendre conseil auprès de son médecin et d’éviter les plateformes grand public, mêlant des praticiens formés, non formés et charlatans.