Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Il s’agit d’ailleurs de l’objectif de l’A-MCA, lieu de réflexion, d’action, d’information et de démocratisation des MCA. « De nombreux experts portant des recommandations et participant à des travaux font partie de l’A-MCA, a rappelé Véronique SUISSA. Nous menons également de nombreux projets de terrain permettant une mobilisation des MCA, des travaux de recherche ou encore des publications. » Formations, évènements, information du grand public : l’A-MCA s’est fixée pour objectif de structurer ce champ et d’apporter des repères, de soutenir les pratiques complémentaires tout en luttant contre les dérives, dans un contexte sociétal, médical et scientifique d’attrait pour les MCA.
« Les dérives thérapeutiques dans le champ des MCA n’impliquent pas nécessairement un phénomène d’emprise mentale de la personne qui conserve sa liberté de choix, a rappelé Véronique SUISSA. Cependant, elles engagent des risques pour sa santé physique, psychique, sociale et peuvent conduire à des dérives sectaires. » C’est d’ailleurs l’objet du travail porté par l’A-MCA depuis sa création, en s’attachant à caractériser les risques et les dérives thérapeutiques ou encore en classifiant les MCA à partir des normes et des cadres existants, entre celles qui sont acceptées et qu’il faut étudier pour favoriser le bien-être ; celles qui sont tolérées et sur lesquelles il faut informer pour réduire les risques ; et les MCA rejetées contre lesquelles il faut lutter.
Sur le terrain, un important travail reste à mener, car qui dit MCA accessibles, ne veut pas pour autant dire que les pratiques sont sécurisées, de même que les MCA validées n’impliquent pas toujours des praticiens dûment formés. « Il est important de promouvoir la formation continue et d’encourager à la spécialisation des praticiens en fonction de leur secteur d’intervention, a insisté Véronique SUISSA. De même qu’il faut mettre un terme aux formations ne bénéficiant d’aucune reconnaissance. »
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Il s’agit d’ailleurs de l’objectif de l’A-MCA, lieu de réflexion, d’action, d’information et de démocratisation des MCA. « De nombreux experts portant des recommandations et participant à des travaux font partie de l’A-MCA, a rappelé Véronique SUISSA. Nous menons également de nombreux projets de terrain permettant une mobilisation des MCA, des travaux de recherche ou encore des publications. » Formations, évènements, information du grand public : l’A-MCA s’est fixée pour objectif de structurer ce champ et d’apporter des repères, de soutenir les pratiques complémentaires tout en luttant contre les dérives, dans un contexte sociétal, médical et scientifique d’attrait pour les MCA.
« Les dérives thérapeutiques dans le champ des MCA n’impliquent pas nécessairement un phénomène d’emprise mentale de la personne qui conserve sa liberté de choix, a rappelé Véronique SUISSA. Cependant, elles engagent des risques pour sa santé physique, psychique, sociale et peuvent conduire à des dérives sectaires. » C’est d’ailleurs l’objet du travail porté par l’A-MCA depuis sa création, en s’attachant à caractériser les risques et les dérives thérapeutiques ou encore en classifiant les MCA à partir des normes et des cadres existants, entre celles qui sont acceptées et qu’il faut étudier pour favoriser le bien-être ; celles qui sont tolérées et sur lesquelles il faut informer pour réduire les risques ; et les MCA rejetées contre lesquelles il faut lutter.
Sur le terrain, un important travail reste à mener, car qui dit MCA accessibles, ne veut pas pour autant dire que les pratiques sont sécurisées, de même que les MCA validées n’impliquent pas toujours des praticiens dûment formés. « Il est important de promouvoir la formation continue et d’encourager à la spécialisation des praticiens en fonction de leur secteur d’intervention, a insisté Véronique SUISSA. De même qu’il faut mettre un terme aux formations ne bénéficiant d’aucune reconnaissance. »
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Il s’agit d’ailleurs de l’objectif de l’A-MCA, lieu de réflexion, d’action, d’information et de démocratisation des MCA. « De nombreux experts portant des recommandations et participant à des travaux font partie de l’A-MCA, a rappelé Véronique SUISSA. Nous menons également de nombreux projets de terrain permettant une mobilisation des MCA, des travaux de recherche ou encore des publications. » Formations, évènements, information du grand public : l’A-MCA s’est fixée pour objectif de structurer ce champ et d’apporter des repères, de soutenir les pratiques complémentaires tout en luttant contre les dérives, dans un contexte sociétal, médical et scientifique d’attrait pour les MCA.
« Les dérives thérapeutiques dans le champ des MCA n’impliquent pas nécessairement un phénomène d’emprise mentale de la personne qui conserve sa liberté de choix, a rappelé Véronique SUISSA. Cependant, elles engagent des risques pour sa santé physique, psychique, sociale et peuvent conduire à des dérives sectaires. » C’est d’ailleurs l’objet du travail porté par l’A-MCA depuis sa création, en s’attachant à caractériser les risques et les dérives thérapeutiques ou encore en classifiant les MCA à partir des normes et des cadres existants, entre celles qui sont acceptées et qu’il faut étudier pour favoriser le bien-être ; celles qui sont tolérées et sur lesquelles il faut informer pour réduire les risques ; et les MCA rejetées contre lesquelles il faut lutter.
Sur le terrain, un important travail reste à mener, car qui dit MCA accessibles, ne veut pas pour autant dire que les pratiques sont sécurisées, de même que les MCA validées n’impliquent pas toujours des praticiens dûment formés. « Il est important de promouvoir la formation continue et d’encourager à la spécialisation des praticiens en fonction de leur secteur d’intervention, a insisté Véronique SUISSA. De même qu’il faut mettre un terme aux formations ne bénéficiant d’aucune reconnaissance. »
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Il s’agit d’ailleurs de l’objectif de l’A-MCA, lieu de réflexion, d’action, d’information et de démocratisation des MCA. « De nombreux experts portant des recommandations et participant à des travaux font partie de l’A-MCA, a rappelé Véronique SUISSA. Nous menons également de nombreux projets de terrain permettant une mobilisation des MCA, des travaux de recherche ou encore des publications. » Formations, évènements, information du grand public : l’A-MCA s’est fixée pour objectif de structurer ce champ et d’apporter des repères, de soutenir les pratiques complémentaires tout en luttant contre les dérives, dans un contexte sociétal, médical et scientifique d’attrait pour les MCA.
« Les dérives thérapeutiques dans le champ des MCA n’impliquent pas nécessairement un phénomène d’emprise mentale de la personne qui conserve sa liberté de choix, a rappelé Véronique SUISSA. Cependant, elles engagent des risques pour sa santé physique, psychique, sociale et peuvent conduire à des dérives sectaires. » C’est d’ailleurs l’objet du travail porté par l’A-MCA depuis sa création, en s’attachant à caractériser les risques et les dérives thérapeutiques ou encore en classifiant les MCA à partir des normes et des cadres existants, entre celles qui sont acceptées et qu’il faut étudier pour favoriser le bien-être ; celles qui sont tolérées et sur lesquelles il faut informer pour réduire les risques ; et les MCA rejetées contre lesquelles il faut lutter.
Sur le terrain, un important travail reste à mener, car qui dit MCA accessibles, ne veut pas pour autant dire que les pratiques sont sécurisées, de même que les MCA validées n’impliquent pas toujours des praticiens dûment formés. « Il est important de promouvoir la formation continue et d’encourager à la spécialisation des praticiens en fonction de leur secteur d’intervention, a insisté Véronique SUISSA. De même qu’il faut mettre un terme aux formations ne bénéficiant d’aucune reconnaissance. »
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Il s’agit d’ailleurs de l’objectif de l’A-MCA, lieu de réflexion, d’action, d’information et de démocratisation des MCA. « De nombreux experts portant des recommandations et participant à des travaux font partie de l’A-MCA, a rappelé Véronique SUISSA. Nous menons également de nombreux projets de terrain permettant une mobilisation des MCA, des travaux de recherche ou encore des publications. » Formations, évènements, information du grand public : l’A-MCA s’est fixée pour objectif de structurer ce champ et d’apporter des repères, de soutenir les pratiques complémentaires tout en luttant contre les dérives, dans un contexte sociétal, médical et scientifique d’attrait pour les MCA.
« Les dérives thérapeutiques dans le champ des MCA n’impliquent pas nécessairement un phénomène d’emprise mentale de la personne qui conserve sa liberté de choix, a rappelé Véronique SUISSA. Cependant, elles engagent des risques pour sa santé physique, psychique, sociale et peuvent conduire à des dérives sectaires. » C’est d’ailleurs l’objet du travail porté par l’A-MCA depuis sa création, en s’attachant à caractériser les risques et les dérives thérapeutiques ou encore en classifiant les MCA à partir des normes et des cadres existants, entre celles qui sont acceptées et qu’il faut étudier pour favoriser le bien-être ; celles qui sont tolérées et sur lesquelles il faut informer pour réduire les risques ; et les MCA rejetées contre lesquelles il faut lutter.
Sur le terrain, un important travail reste à mener, car qui dit MCA accessibles, ne veut pas pour autant dire que les pratiques sont sécurisées, de même que les MCA validées n’impliquent pas toujours des praticiens dûment formés. « Il est important de promouvoir la formation continue et d’encourager à la spécialisation des praticiens en fonction de leur secteur d’intervention, a insisté Véronique SUISSA. De même qu’il faut mettre un terme aux formations ne bénéficiant d’aucune reconnaissance. »
L’Union de groupe mutualiste "VYV Partenariat" a organisé un colloque portant sur les médecines alternatives et complémentaires, avec trois tables rondes, dont une visant à appréhender le champ des MCA. L’occasion pour Véronique SUISSA et Serge GUÉRIN, cofondateurs de l’A-MCA, de partager leur expertise sur le sujet.
Les MCA ont été mises à l’honneur par VYV Partenariat, acteur mutualiste, qui en a fait la thématique de son colloque. Cette journée a été organisée autour de trois temps forts avec, notamment un axe dédié aux pratiques et aux recommandations de différents professionnels de santé dont celles du Dr Adrian CHABOCHE, docteur en médecine générale, spécialisé en hypnose médicale, psychothérapeute et fondateur du Centre Vitruve ou encore du Dr Alain DUCARDONNET, cardiologue, médecin du Sport au sein de l’Institut Cœur Effort Santé. Les mutuelles adhérentes à VYV Partenariat sont également intervenues lors d’une table ronde dédiée afin d’évoquer leur implication dans le domaine. Mais en préambule, la première table ronde a permis d’évoquer la définition et les enjeux des MCA. Véronique SUISSA et Serge GUÉRIN sont ainsi intervenus aux côtés du Dr Nicolas LEBLANC, médecin de santé publique et conseiller santé du groupe VYV, afin de définir les MCA et leur place dans la société. L’occasion de rappeler qu’elles sont déjà présentes dans l’écosystème de santé : à l’hôpital public, dans les centres sanitaires ou encore au sein des Établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). Désormais, l’enjeu est de structurer l’offre, afin d’apporter une lisibilité en définissant des critères d’intégration et des précisions sur les formations des praticiens.
Il s’agit d’ailleurs de l’objectif de l’A-MCA, lieu de réflexion, d’action, d’information et de démocratisation des MCA. « De nombreux experts portant des recommandations et participant à des travaux font partie de l’A-MCA, a rappelé Véronique SUISSA. Nous menons également de nombreux projets de terrain permettant une mobilisation des MCA, des travaux de recherche ou encore des publications. » Formations, évènements, information du grand public : l’A-MCA s’est fixée pour objectif de structurer ce champ et d’apporter des repères, de soutenir les pratiques complémentaires tout en luttant contre les dérives, dans un contexte sociétal, médical et scientifique d’attrait pour les MCA.
« Les dérives thérapeutiques dans le champ des MCA n’impliquent pas nécessairement un phénomène d’emprise mentale de la personne qui conserve sa liberté de choix, a rappelé Véronique SUISSA. Cependant, elles engagent des risques pour sa santé physique, psychique, sociale et peuvent conduire à des dérives sectaires. » C’est d’ailleurs l’objet du travail porté par l’A-MCA depuis sa création, en s’attachant à caractériser les risques et les dérives thérapeutiques ou encore en classifiant les MCA à partir des normes et des cadres existants, entre celles qui sont acceptées et qu’il faut étudier pour favoriser le bien-être ; celles qui sont tolérées et sur lesquelles il faut informer pour réduire les risques ; et les MCA rejetées contre lesquelles il faut lutter.
Sur le terrain, un important travail reste à mener, car qui dit MCA accessibles, ne veut pas pour autant dire que les pratiques sont sécurisées, de même que les MCA validées n’impliquent pas toujours des praticiens dûment formés. « Il est important de promouvoir la formation continue et d’encourager à la spécialisation des praticiens en fonction de leur secteur d’intervention, a insisté Véronique SUISSA. De même qu’il faut mettre un terme aux formations ne bénéficiant d’aucune reconnaissance. »