Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le conseil départemental a mis en place un parcours d'éducation à la santé par et pour les habitants de Seine-Saint-Denis : l'Académie populaire de la santé. Ce dispositif propose de devenir ambassadeurs en santé, c'est-à-dire de devenir à même d'orienter son entourage et de participer à des actions de sensibilisation et de promotion de la santé sur le territoire.
Ces formations sont annuelles et abordent différentes thématiques de santé, de pédagogie et de méthodologie de projet. Les thèmes sont choisis par les ambassadeurs en début d'année. Cette année, les futurs ambassadeurs santé ont notamment choisi d’être sensibilisé la question des médecines complémentaires et alternatives. C'est en ce sens que le conseil départemental s’est rapproché de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) et que sa directrice générale a accepté d’intervenir. « J’ai immédiatement accepté parce qu’il s’agit d’une initiative sociétale innovante et riche de sens » précise Véronique Suissa avant d’ajouter « Je leur ai proposé de venir accompagné d’une praticienne hautement qualifiée, Elisabeth Breton pour illustrer de manière vivante la question du bien-être et son lien à la santé ».
La journée s’articule autour de trois objectifs visant à mieux comprendre les pratiques complémentaires, exposer leurs différences avec la médecine officielle et présenter l’écosystème des praticiens.
« Comprendre les pratiques complémentaires nécessite de les définir, d’évoquer les aspects de catégorisation et leurs niveaux de reconnaissance » indique Véronique Suissa à propos du premier objectif de la formation. Il s’agit également d’illustrer les propos à travers l’expérience d’une praticienne. « Élisabeth Breton peut ainsi définir la réflexologie mais aussi la distinguer d’autres pratiques manuelles connexes telles que les massages ou l’ostéopathie pour apporter une dimension de terrain à la formation » ajoute la directrice de l’A-MCA.
Concernant la distinction des pratiques avec la médecine, l’enjeu est d’apporter des repères structurants aux participants « Ils doivent à la fois comprendre les points de distinctions mais aussi d’articulation entre les approches conventionnelles et non conventionnelles. Cela implique aussi de clarifier les champs d’interventions des soignants praticiens et des praticiens du bien-être » précise Véronique Suissa.
Enfin, mieux comprendre les praticiens implique de pouvoir évoquer la diversité des profils (soignants, non soignants, diplômés ou non…). « Pour cet axe, il s’agit de sensibiliser aux expertises variées des praticiens mais aussi aux critères qualité/sécurité des interventions » exprime la Directrice A-MCA avant de conclure « Cette formation à la fois théorique est pratique constitue une innovation et une démarche concrète de démocratisation des pratiques complémentaires. Surtout, elle rend le sujet accessible à des publics en difficultés. Pour toutes ces raisons, il me semblait essentiel d’y répondre favorablement au nom de l’A-MCA ».
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le conseil départemental a mis en place un parcours d'éducation à la santé par et pour les habitants de Seine-Saint-Denis : l'Académie populaire de la santé. Ce dispositif propose de devenir ambassadeurs en santé, c'est-à-dire de devenir à même d'orienter son entourage et de participer à des actions de sensibilisation et de promotion de la santé sur le territoire.
Ces formations sont annuelles et abordent différentes thématiques de santé, de pédagogie et de méthodologie de projet. Les thèmes sont choisis par les ambassadeurs en début d'année. Cette année, les futurs ambassadeurs santé ont notamment choisi d’être sensibilisé la question des médecines complémentaires et alternatives. C'est en ce sens que le conseil départemental s’est rapproché de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) et que sa directrice générale a accepté d’intervenir. « J’ai immédiatement accepté parce qu’il s’agit d’une initiative sociétale innovante et riche de sens » précise Véronique Suissa avant d’ajouter « Je leur ai proposé de venir accompagné d’une praticienne hautement qualifiée, Elisabeth Breton pour illustrer de manière vivante la question du bien-être et son lien à la santé ».
La journée s’articule autour de trois objectifs visant à mieux comprendre les pratiques complémentaires, exposer leurs différences avec la médecine officielle et présenter l’écosystème des praticiens.
« Comprendre les pratiques complémentaires nécessite de les définir, d’évoquer les aspects de catégorisation et leurs niveaux de reconnaissance » indique Véronique Suissa à propos du premier objectif de la formation. Il s’agit également d’illustrer les propos à travers l’expérience d’une praticienne. « Élisabeth Breton peut ainsi définir la réflexologie mais aussi la distinguer d’autres pratiques manuelles connexes telles que les massages ou l’ostéopathie pour apporter une dimension de terrain à la formation » ajoute la directrice de l’A-MCA.
Concernant la distinction des pratiques avec la médecine, l’enjeu est d’apporter des repères structurants aux participants « Ils doivent à la fois comprendre les points de distinctions mais aussi d’articulation entre les approches conventionnelles et non conventionnelles. Cela implique aussi de clarifier les champs d’interventions des soignants praticiens et des praticiens du bien-être » précise Véronique Suissa.
Enfin, mieux comprendre les praticiens implique de pouvoir évoquer la diversité des profils (soignants, non soignants, diplômés ou non…). « Pour cet axe, il s’agit de sensibiliser aux expertises variées des praticiens mais aussi aux critères qualité/sécurité des interventions » exprime la Directrice A-MCA avant de conclure « Cette formation à la fois théorique est pratique constitue une innovation et une démarche concrète de démocratisation des pratiques complémentaires. Surtout, elle rend le sujet accessible à des publics en difficultés. Pour toutes ces raisons, il me semblait essentiel d’y répondre favorablement au nom de l’A-MCA ».
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le conseil départemental a mis en place un parcours d'éducation à la santé par et pour les habitants de Seine-Saint-Denis : l'Académie populaire de la santé. Ce dispositif propose de devenir ambassadeurs en santé, c'est-à-dire de devenir à même d'orienter son entourage et de participer à des actions de sensibilisation et de promotion de la santé sur le territoire.
Ces formations sont annuelles et abordent différentes thématiques de santé, de pédagogie et de méthodologie de projet. Les thèmes sont choisis par les ambassadeurs en début d'année. Cette année, les futurs ambassadeurs santé ont notamment choisi d’être sensibilisé la question des médecines complémentaires et alternatives. C'est en ce sens que le conseil départemental s’est rapproché de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) et que sa directrice générale a accepté d’intervenir. « J’ai immédiatement accepté parce qu’il s’agit d’une initiative sociétale innovante et riche de sens » précise Véronique Suissa avant d’ajouter « Je leur ai proposé de venir accompagné d’une praticienne hautement qualifiée, Elisabeth Breton pour illustrer de manière vivante la question du bien-être et son lien à la santé ».
La journée s’articule autour de trois objectifs visant à mieux comprendre les pratiques complémentaires, exposer leurs différences avec la médecine officielle et présenter l’écosystème des praticiens.
« Comprendre les pratiques complémentaires nécessite de les définir, d’évoquer les aspects de catégorisation et leurs niveaux de reconnaissance » indique Véronique Suissa à propos du premier objectif de la formation. Il s’agit également d’illustrer les propos à travers l’expérience d’une praticienne. « Élisabeth Breton peut ainsi définir la réflexologie mais aussi la distinguer d’autres pratiques manuelles connexes telles que les massages ou l’ostéopathie pour apporter une dimension de terrain à la formation » ajoute la directrice de l’A-MCA.
Concernant la distinction des pratiques avec la médecine, l’enjeu est d’apporter des repères structurants aux participants « Ils doivent à la fois comprendre les points de distinctions mais aussi d’articulation entre les approches conventionnelles et non conventionnelles. Cela implique aussi de clarifier les champs d’interventions des soignants praticiens et des praticiens du bien-être » précise Véronique Suissa.
Enfin, mieux comprendre les praticiens implique de pouvoir évoquer la diversité des profils (soignants, non soignants, diplômés ou non…). « Pour cet axe, il s’agit de sensibiliser aux expertises variées des praticiens mais aussi aux critères qualité/sécurité des interventions » exprime la Directrice A-MCA avant de conclure « Cette formation à la fois théorique est pratique constitue une innovation et une démarche concrète de démocratisation des pratiques complémentaires. Surtout, elle rend le sujet accessible à des publics en difficultés. Pour toutes ces raisons, il me semblait essentiel d’y répondre favorablement au nom de l’A-MCA ».
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Le conseil départemental a mis en place un parcours d'éducation à la santé par et pour les habitants de Seine-Saint-Denis : l'Académie populaire de la santé. Ce dispositif propose de devenir ambassadeurs en santé, c'est-à-dire de devenir à même d'orienter son entourage et de participer à des actions de sensibilisation et de promotion de la santé sur le territoire.
Ces formations sont annuelles et abordent différentes thématiques de santé, de pédagogie et de méthodologie de projet. Les thèmes sont choisis par les ambassadeurs en début d'année. Cette année, les futurs ambassadeurs santé ont notamment choisi d’être sensibilisé la question des médecines complémentaires et alternatives. C'est en ce sens que le conseil départemental s’est rapproché de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) et que sa directrice générale a accepté d’intervenir. « J’ai immédiatement accepté parce qu’il s’agit d’une initiative sociétale innovante et riche de sens » précise Véronique Suissa avant d’ajouter « Je leur ai proposé de venir accompagné d’une praticienne hautement qualifiée, Elisabeth Breton pour illustrer de manière vivante la question du bien-être et son lien à la santé ».
La journée s’articule autour de trois objectifs visant à mieux comprendre les pratiques complémentaires, exposer leurs différences avec la médecine officielle et présenter l’écosystème des praticiens.
« Comprendre les pratiques complémentaires nécessite de les définir, d’évoquer les aspects de catégorisation et leurs niveaux de reconnaissance » indique Véronique Suissa à propos du premier objectif de la formation. Il s’agit également d’illustrer les propos à travers l’expérience d’une praticienne. « Élisabeth Breton peut ainsi définir la réflexologie mais aussi la distinguer d’autres pratiques manuelles connexes telles que les massages ou l’ostéopathie pour apporter une dimension de terrain à la formation » ajoute la directrice de l’A-MCA.
Concernant la distinction des pratiques avec la médecine, l’enjeu est d’apporter des repères structurants aux participants « Ils doivent à la fois comprendre les points de distinctions mais aussi d’articulation entre les approches conventionnelles et non conventionnelles. Cela implique aussi de clarifier les champs d’interventions des soignants praticiens et des praticiens du bien-être » précise Véronique Suissa.
Enfin, mieux comprendre les praticiens implique de pouvoir évoquer la diversité des profils (soignants, non soignants, diplômés ou non…). « Pour cet axe, il s’agit de sensibiliser aux expertises variées des praticiens mais aussi aux critères qualité/sécurité des interventions » exprime la Directrice A-MCA avant de conclure « Cette formation à la fois théorique est pratique constitue une innovation et une démarche concrète de démocratisation des pratiques complémentaires. Surtout, elle rend le sujet accessible à des publics en difficultés. Pour toutes ces raisons, il me semblait essentiel d’y répondre favorablement au nom de l’A-MCA ».
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Le conseil départemental a mis en place un parcours d'éducation à la santé par et pour les habitants de Seine-Saint-Denis : l'Académie populaire de la santé. Ce dispositif propose de devenir ambassadeurs en santé, c'est-à-dire de devenir à même d'orienter son entourage et de participer à des actions de sensibilisation et de promotion de la santé sur le territoire.
Ces formations sont annuelles et abordent différentes thématiques de santé, de pédagogie et de méthodologie de projet. Les thèmes sont choisis par les ambassadeurs en début d'année. Cette année, les futurs ambassadeurs santé ont notamment choisi d’être sensibilisé la question des médecines complémentaires et alternatives. C'est en ce sens que le conseil départemental s’est rapproché de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) et que sa directrice générale a accepté d’intervenir. « J’ai immédiatement accepté parce qu’il s’agit d’une initiative sociétale innovante et riche de sens » précise Véronique Suissa avant d’ajouter « Je leur ai proposé de venir accompagné d’une praticienne hautement qualifiée, Elisabeth Breton pour illustrer de manière vivante la question du bien-être et son lien à la santé ».
La journée s’articule autour de trois objectifs visant à mieux comprendre les pratiques complémentaires, exposer leurs différences avec la médecine officielle et présenter l’écosystème des praticiens.
« Comprendre les pratiques complémentaires nécessite de les définir, d’évoquer les aspects de catégorisation et leurs niveaux de reconnaissance » indique Véronique Suissa à propos du premier objectif de la formation. Il s’agit également d’illustrer les propos à travers l’expérience d’une praticienne. « Élisabeth Breton peut ainsi définir la réflexologie mais aussi la distinguer d’autres pratiques manuelles connexes telles que les massages ou l’ostéopathie pour apporter une dimension de terrain à la formation » ajoute la directrice de l’A-MCA.
Concernant la distinction des pratiques avec la médecine, l’enjeu est d’apporter des repères structurants aux participants « Ils doivent à la fois comprendre les points de distinctions mais aussi d’articulation entre les approches conventionnelles et non conventionnelles. Cela implique aussi de clarifier les champs d’interventions des soignants praticiens et des praticiens du bien-être » précise Véronique Suissa.
Enfin, mieux comprendre les praticiens implique de pouvoir évoquer la diversité des profils (soignants, non soignants, diplômés ou non…). « Pour cet axe, il s’agit de sensibiliser aux expertises variées des praticiens mais aussi aux critères qualité/sécurité des interventions » exprime la Directrice A-MCA avant de conclure « Cette formation à la fois théorique est pratique constitue une innovation et une démarche concrète de démocratisation des pratiques complémentaires. Surtout, elle rend le sujet accessible à des publics en difficultés. Pour toutes ces raisons, il me semblait essentiel d’y répondre favorablement au nom de l’A-MCA ».
Le conseil départemental de la Seine St Denis sollicite l’expertise de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) pour intervenir le 22 novembre 2024, dans le cadre d’une sensibilisation aux médecines complémentaires auprès des ambassadeurs santé en formation. Dans cette optique, Véronique Suissa, Directrice Générale A-MCA forme, le temps d’une journée, l’ensemble de la promotion annuelle. Le point.
Le conseil départemental a mis en place un parcours d'éducation à la santé par et pour les habitants de Seine-Saint-Denis : l'Académie populaire de la santé. Ce dispositif propose de devenir ambassadeurs en santé, c'est-à-dire de devenir à même d'orienter son entourage et de participer à des actions de sensibilisation et de promotion de la santé sur le territoire.
Ces formations sont annuelles et abordent différentes thématiques de santé, de pédagogie et de méthodologie de projet. Les thèmes sont choisis par les ambassadeurs en début d'année. Cette année, les futurs ambassadeurs santé ont notamment choisi d’être sensibilisé la question des médecines complémentaires et alternatives. C'est en ce sens que le conseil départemental s’est rapproché de l’Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA) et que sa directrice générale a accepté d’intervenir. « J’ai immédiatement accepté parce qu’il s’agit d’une initiative sociétale innovante et riche de sens » précise Véronique Suissa avant d’ajouter « Je leur ai proposé de venir accompagné d’une praticienne hautement qualifiée, Elisabeth Breton pour illustrer de manière vivante la question du bien-être et son lien à la santé ».
La journée s’articule autour de trois objectifs visant à mieux comprendre les pratiques complémentaires, exposer leurs différences avec la médecine officielle et présenter l’écosystème des praticiens.
« Comprendre les pratiques complémentaires nécessite de les définir, d’évoquer les aspects de catégorisation et leurs niveaux de reconnaissance » indique Véronique Suissa à propos du premier objectif de la formation. Il s’agit également d’illustrer les propos à travers l’expérience d’une praticienne. « Élisabeth Breton peut ainsi définir la réflexologie mais aussi la distinguer d’autres pratiques manuelles connexes telles que les massages ou l’ostéopathie pour apporter une dimension de terrain à la formation » ajoute la directrice de l’A-MCA.
Concernant la distinction des pratiques avec la médecine, l’enjeu est d’apporter des repères structurants aux participants « Ils doivent à la fois comprendre les points de distinctions mais aussi d’articulation entre les approches conventionnelles et non conventionnelles. Cela implique aussi de clarifier les champs d’interventions des soignants praticiens et des praticiens du bien-être » précise Véronique Suissa.
Enfin, mieux comprendre les praticiens implique de pouvoir évoquer la diversité des profils (soignants, non soignants, diplômés ou non…). « Pour cet axe, il s’agit de sensibiliser aux expertises variées des praticiens mais aussi aux critères qualité/sécurité des interventions » exprime la Directrice A-MCA avant de conclure « Cette formation à la fois théorique est pratique constitue une innovation et une démarche concrète de démocratisation des pratiques complémentaires. Surtout, elle rend le sujet accessible à des publics en difficultés. Pour toutes ces raisons, il me semblait essentiel d’y répondre favorablement au nom de l’A-MCA ».