Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L'écosystème interne A-MCA est mobilisé de façon collective et/ou individuelle dans le cadre des différentes actions et initiatives de l’association et de son Club dont ils font partie : travaux annuels, groupes de travail, événements grand public, productions professionnelles, publications scientifiques, etc. L'A-MCA a déployé une démarche de sélection afin de garantir la qualité, l'engagement et la pertinence des contributions de ses membres. Cette démarche de sélection rigoureuse inclut l'analyse des candidatures, l'évaluation des compétences et des expériences des candidats, ainsi que des entretiens individuels pour approfondir les motivations et les apports potentiels des nouveaux membres.
Toute personne qualifiée peut candidater pour intégrer l’écosystème interne du Club de l'A-MCA, que ce soit :
- les experts (universitaires, chercheurs, médecins, soignants, psychologues, élus, dirigeants....) ;
- les praticiens bien-être ou soignants (ostéopathes, sophrologues, réflexologues, APA, art-thérapeutes, diététiciens....) ;
- les intervenants (conférenciers, formateurs, spécialistes d’un sujet (ex. santé mentale, gestion du stress...) ;
- les organisations (universités, associations, organisations de praticiens, centres de en santé, entreprises...) ;
- les citoyens (usagers, patients, aidants, seniors, publics intéressés par la prévention....).
En dehors du processus de sélection, toutes les personnes, physiques ou morales, intéressées par la prévention peuvent adhérer au Club en tant que membre externe. Les membres dits externes ont de la même manière accès à tous les évènements du Club dont ils font pleinement partie. Ils peuvent également proposer des thématiques pour le Club et dans certains cas proposer des interventions. Cependant, ils ne peuvent contribuer aux travaux et réferentiels officiels dans la mesure où il ne sont pas soumis à validation initiale de la part de l'AMCA. S'ils le souhaitent, ils peuvent à tout moment candidater pour devenir membre interne.
Les membres validés de l'écosystème interne du Club de l'A-MCA. Selon leur profil, ils font partie :
- des différents pôles d’experts ;
- de la collégiale de praticiens ;
- de la commission citoyenne ;
- du réseau de praticiens ;
- du réseau d’intervenants.
De plus, chaque année, tout membre interne A-MCA (expert, praticien, partenaire…) est invité à à choisir au moins une contribution unique (ex. intervention conférence, atelier, publication professionnelle…), en remplissant un questionnaire Cette contribution permet à la fois de matérialiser son intégration et son engagement auprès de l’A-MCA mais aussi de pouvoir être valorisé. Dans ce cadre, l'A-MCA
Malgré les normes de formations existantes dans le domaine des pratiques complémentaires, elles ne garantissent pas pour autant la qualité des praticiens bien-être les exerçant. « L’A-MCA a donc décidé d’élaborer une démarche de sélection garantissant aux usagers, que les praticiens qui lui sont associés, sont recommandables », explique Véronique SUISSA.
Seuls les praticiens bien-être exerçant des pratiques détenant des normes de formations réglementaires ou universitaires peuvent postuler en qualité de praticien A-MCA (pratiques référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) ou praticiens détenteurs d’un Diplôme universitaire). « Hors de question par exemple, que nous référencions un charlatan », rassure la directrice de l’A-MCA.
Conscients néanmoins de la réduction des titres RNCP et du manque d'accès aux diplômes universitaires pour les non soignants, l'A-MCA permet aux professionnels qualifiés de postuler en qualité d'intervenants pour son espace professionnel. Autrement dit, les praticiens sont évalués sur la base d'une pratique (ex. reflexologie, sophrologie...) tandis que les intervenants sont validés ou non sur la base d'une expertise propre à une thématique (ex. gestion du stress, prévention, bien-être). "Seuls les praticiens diplômés peuvent intégrés l'A-MCA en qualité de praticiens. Pour autant, en l'absence de titres officiels, de nombreux praticiens non diplômés pour leur pratique sont qualifiés pour proposer des conférences ou ateliers autour de thématiques pour lesquelles ils sont solidement formés. Dans ce cas, nous les évaluons de la même manière et nous valorisons leurs expertises spécifiques en qualité d'intervenants (conférences, ateliers, débats...) autour d'un thème" précise Véronique Suissa.
Cette démarche d'évaluation initiale est indispensable pour l’A-MCA car les praticiens détenteurs d’un diplôme référencé peuvent très bien, en parallèle, avoir des pratiques douteuses dans d’autres domaines ; les diplômes et les normes ne garantissant pas la qualité des interventions et des usages. « C’est justement ce que va contrôler l’A-MCA en amont du référencement des praticiens, précise Véronique SUISSA. Nous souhaitons qu’ils respectent notre référentiel composé de 65 principes éthiques c’est-à-dire qu’ils répondent à une logique de formation continue, d’information aux usagers ou encore qu’ils développent leur champ d’expertise. » D'après la directrice générale, "le bien-être doit pouvoir être approché de façon rigoureuse :les concepts de bien-manger, bien bouger, bien dormir, etc, ne sont pas de simples slogans et tout l'enjeu est de leur donner du sens".
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L'écosystème interne A-MCA est mobilisé de façon collective et/ou individuelle dans le cadre des différentes actions et initiatives de l’association et de son Club dont ils font partie : travaux annuels, groupes de travail, événements grand public, productions professionnelles, publications scientifiques, etc. L'A-MCA a déployé une démarche de sélection afin de garantir la qualité, l'engagement et la pertinence des contributions de ses membres. Cette démarche de sélection rigoureuse inclut l'analyse des candidatures, l'évaluation des compétences et des expériences des candidats, ainsi que des entretiens individuels pour approfondir les motivations et les apports potentiels des nouveaux membres.
Toute personne qualifiée peut candidater pour intégrer l’écosystème interne du Club de l'A-MCA, que ce soit :
- les experts (universitaires, chercheurs, médecins, soignants, psychologues, élus, dirigeants....) ;
- les praticiens bien-être ou soignants (ostéopathes, sophrologues, réflexologues, APA, art-thérapeutes, diététiciens....) ;
- les intervenants (conférenciers, formateurs, spécialistes d’un sujet (ex. santé mentale, gestion du stress...) ;
- les organisations (universités, associations, organisations de praticiens, centres de en santé, entreprises...) ;
- les citoyens (usagers, patients, aidants, seniors, publics intéressés par la prévention....).
En dehors du processus de sélection, toutes les personnes, physiques ou morales, intéressées par la prévention peuvent adhérer au Club en tant que membre externe. Les membres dits externes ont de la même manière accès à tous les évènements du Club dont ils font pleinement partie. Ils peuvent également proposer des thématiques pour le Club et dans certains cas proposer des interventions. Cependant, ils ne peuvent contribuer aux travaux et réferentiels officiels dans la mesure où il ne sont pas soumis à validation initiale de la part de l'AMCA. S'ils le souhaitent, ils peuvent à tout moment candidater pour devenir membre interne.
Les membres validés de l'écosystème interne du Club de l'A-MCA. Selon leur profil, ils font partie :
- des différents pôles d’experts ;
- de la collégiale de praticiens ;
- de la commission citoyenne ;
- du réseau de praticiens ;
- du réseau d’intervenants.
De plus, chaque année, tout membre interne A-MCA (expert, praticien, partenaire…) est invité à à choisir au moins une contribution unique (ex. intervention conférence, atelier, publication professionnelle…), en remplissant un questionnaire Cette contribution permet à la fois de matérialiser son intégration et son engagement auprès de l’A-MCA mais aussi de pouvoir être valorisé. Dans ce cadre, l'A-MCA
Malgré les normes de formations existantes dans le domaine des pratiques complémentaires, elles ne garantissent pas pour autant la qualité des praticiens bien-être les exerçant. « L’A-MCA a donc décidé d’élaborer une démarche de sélection garantissant aux usagers, que les praticiens qui lui sont associés, sont recommandables », explique Véronique SUISSA.
Seuls les praticiens bien-être exerçant des pratiques détenant des normes de formations réglementaires ou universitaires peuvent postuler en qualité de praticien A-MCA (pratiques référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) ou praticiens détenteurs d’un Diplôme universitaire). « Hors de question par exemple, que nous référencions un charlatan », rassure la directrice de l’A-MCA.
Conscients néanmoins de la réduction des titres RNCP et du manque d'accès aux diplômes universitaires pour les non soignants, l'A-MCA permet aux professionnels qualifiés de postuler en qualité d'intervenants pour son espace professionnel. Autrement dit, les praticiens sont évalués sur la base d'une pratique (ex. reflexologie, sophrologie...) tandis que les intervenants sont validés ou non sur la base d'une expertise propre à une thématique (ex. gestion du stress, prévention, bien-être). "Seuls les praticiens diplômés peuvent intégrés l'A-MCA en qualité de praticiens. Pour autant, en l'absence de titres officiels, de nombreux praticiens non diplômés pour leur pratique sont qualifiés pour proposer des conférences ou ateliers autour de thématiques pour lesquelles ils sont solidement formés. Dans ce cas, nous les évaluons de la même manière et nous valorisons leurs expertises spécifiques en qualité d'intervenants (conférences, ateliers, débats...) autour d'un thème" précise Véronique Suissa.
Cette démarche d'évaluation initiale est indispensable pour l’A-MCA car les praticiens détenteurs d’un diplôme référencé peuvent très bien, en parallèle, avoir des pratiques douteuses dans d’autres domaines ; les diplômes et les normes ne garantissant pas la qualité des interventions et des usages. « C’est justement ce que va contrôler l’A-MCA en amont du référencement des praticiens, précise Véronique SUISSA. Nous souhaitons qu’ils respectent notre référentiel composé de 65 principes éthiques c’est-à-dire qu’ils répondent à une logique de formation continue, d’information aux usagers ou encore qu’ils développent leur champ d’expertise. » D'après la directrice générale, "le bien-être doit pouvoir être approché de façon rigoureuse :les concepts de bien-manger, bien bouger, bien dormir, etc, ne sont pas de simples slogans et tout l'enjeu est de leur donner du sens".
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L'écosystème interne A-MCA est mobilisé de façon collective et/ou individuelle dans le cadre des différentes actions et initiatives de l’association et de son Club dont ils font partie : travaux annuels, groupes de travail, événements grand public, productions professionnelles, publications scientifiques, etc. L'A-MCA a déployé une démarche de sélection afin de garantir la qualité, l'engagement et la pertinence des contributions de ses membres. Cette démarche de sélection rigoureuse inclut l'analyse des candidatures, l'évaluation des compétences et des expériences des candidats, ainsi que des entretiens individuels pour approfondir les motivations et les apports potentiels des nouveaux membres.
Toute personne qualifiée peut candidater pour intégrer l’écosystème interne du Club de l'A-MCA, que ce soit :
- les experts (universitaires, chercheurs, médecins, soignants, psychologues, élus, dirigeants....) ;
- les praticiens bien-être ou soignants (ostéopathes, sophrologues, réflexologues, APA, art-thérapeutes, diététiciens....) ;
- les intervenants (conférenciers, formateurs, spécialistes d’un sujet (ex. santé mentale, gestion du stress...) ;
- les organisations (universités, associations, organisations de praticiens, centres de en santé, entreprises...) ;
- les citoyens (usagers, patients, aidants, seniors, publics intéressés par la prévention....).
En dehors du processus de sélection, toutes les personnes, physiques ou morales, intéressées par la prévention peuvent adhérer au Club en tant que membre externe. Les membres dits externes ont de la même manière accès à tous les évènements du Club dont ils font pleinement partie. Ils peuvent également proposer des thématiques pour le Club et dans certains cas proposer des interventions. Cependant, ils ne peuvent contribuer aux travaux et réferentiels officiels dans la mesure où il ne sont pas soumis à validation initiale de la part de l'AMCA. S'ils le souhaitent, ils peuvent à tout moment candidater pour devenir membre interne.
Les membres validés de l'écosystème interne du Club de l'A-MCA. Selon leur profil, ils font partie :
- des différents pôles d’experts ;
- de la collégiale de praticiens ;
- de la commission citoyenne ;
- du réseau de praticiens ;
- du réseau d’intervenants.
De plus, chaque année, tout membre interne A-MCA (expert, praticien, partenaire…) est invité à à choisir au moins une contribution unique (ex. intervention conférence, atelier, publication professionnelle…), en remplissant un questionnaire Cette contribution permet à la fois de matérialiser son intégration et son engagement auprès de l’A-MCA mais aussi de pouvoir être valorisé. Dans ce cadre, l'A-MCA
Malgré les normes de formations existantes dans le domaine des pratiques complémentaires, elles ne garantissent pas pour autant la qualité des praticiens bien-être les exerçant. « L’A-MCA a donc décidé d’élaborer une démarche de sélection garantissant aux usagers, que les praticiens qui lui sont associés, sont recommandables », explique Véronique SUISSA.
Seuls les praticiens bien-être exerçant des pratiques détenant des normes de formations réglementaires ou universitaires peuvent postuler en qualité de praticien A-MCA (pratiques référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) ou praticiens détenteurs d’un Diplôme universitaire). « Hors de question par exemple, que nous référencions un charlatan », rassure la directrice de l’A-MCA.
Conscients néanmoins de la réduction des titres RNCP et du manque d'accès aux diplômes universitaires pour les non soignants, l'A-MCA permet aux professionnels qualifiés de postuler en qualité d'intervenants pour son espace professionnel. Autrement dit, les praticiens sont évalués sur la base d'une pratique (ex. reflexologie, sophrologie...) tandis que les intervenants sont validés ou non sur la base d'une expertise propre à une thématique (ex. gestion du stress, prévention, bien-être). "Seuls les praticiens diplômés peuvent intégrés l'A-MCA en qualité de praticiens. Pour autant, en l'absence de titres officiels, de nombreux praticiens non diplômés pour leur pratique sont qualifiés pour proposer des conférences ou ateliers autour de thématiques pour lesquelles ils sont solidement formés. Dans ce cas, nous les évaluons de la même manière et nous valorisons leurs expertises spécifiques en qualité d'intervenants (conférences, ateliers, débats...) autour d'un thème" précise Véronique Suissa.
Cette démarche d'évaluation initiale est indispensable pour l’A-MCA car les praticiens détenteurs d’un diplôme référencé peuvent très bien, en parallèle, avoir des pratiques douteuses dans d’autres domaines ; les diplômes et les normes ne garantissant pas la qualité des interventions et des usages. « C’est justement ce que va contrôler l’A-MCA en amont du référencement des praticiens, précise Véronique SUISSA. Nous souhaitons qu’ils respectent notre référentiel composé de 65 principes éthiques c’est-à-dire qu’ils répondent à une logique de formation continue, d’information aux usagers ou encore qu’ils développent leur champ d’expertise. » D'après la directrice générale, "le bien-être doit pouvoir être approché de façon rigoureuse :les concepts de bien-manger, bien bouger, bien dormir, etc, ne sont pas de simples slogans et tout l'enjeu est de leur donner du sens".
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L'écosystème interne A-MCA est mobilisé de façon collective et/ou individuelle dans le cadre des différentes actions et initiatives de l’association et de son Club dont ils font partie : travaux annuels, groupes de travail, événements grand public, productions professionnelles, publications scientifiques, etc. L'A-MCA a déployé une démarche de sélection afin de garantir la qualité, l'engagement et la pertinence des contributions de ses membres. Cette démarche de sélection rigoureuse inclut l'analyse des candidatures, l'évaluation des compétences et des expériences des candidats, ainsi que des entretiens individuels pour approfondir les motivations et les apports potentiels des nouveaux membres.
Toute personne qualifiée peut candidater pour intégrer l’écosystème interne du Club de l'A-MCA, que ce soit :
- les experts (universitaires, chercheurs, médecins, soignants, psychologues, élus, dirigeants....) ;
- les praticiens bien-être ou soignants (ostéopathes, sophrologues, réflexologues, APA, art-thérapeutes, diététiciens....) ;
- les intervenants (conférenciers, formateurs, spécialistes d’un sujet (ex. santé mentale, gestion du stress...) ;
- les organisations (universités, associations, organisations de praticiens, centres de en santé, entreprises...) ;
- les citoyens (usagers, patients, aidants, seniors, publics intéressés par la prévention....).
En dehors du processus de sélection, toutes les personnes, physiques ou morales, intéressées par la prévention peuvent adhérer au Club en tant que membre externe. Les membres dits externes ont de la même manière accès à tous les évènements du Club dont ils font pleinement partie. Ils peuvent également proposer des thématiques pour le Club et dans certains cas proposer des interventions. Cependant, ils ne peuvent contribuer aux travaux et réferentiels officiels dans la mesure où il ne sont pas soumis à validation initiale de la part de l'AMCA. S'ils le souhaitent, ils peuvent à tout moment candidater pour devenir membre interne.
Les membres validés de l'écosystème interne du Club de l'A-MCA. Selon leur profil, ils font partie :
- des différents pôles d’experts ;
- de la collégiale de praticiens ;
- de la commission citoyenne ;
- du réseau de praticiens ;
- du réseau d’intervenants.
De plus, chaque année, tout membre interne A-MCA (expert, praticien, partenaire…) est invité à à choisir au moins une contribution unique (ex. intervention conférence, atelier, publication professionnelle…), en remplissant un questionnaire Cette contribution permet à la fois de matérialiser son intégration et son engagement auprès de l’A-MCA mais aussi de pouvoir être valorisé. Dans ce cadre, l'A-MCA
Malgré les normes de formations existantes dans le domaine des pratiques complémentaires, elles ne garantissent pas pour autant la qualité des praticiens bien-être les exerçant. « L’A-MCA a donc décidé d’élaborer une démarche de sélection garantissant aux usagers, que les praticiens qui lui sont associés, sont recommandables », explique Véronique SUISSA.
Seuls les praticiens bien-être exerçant des pratiques détenant des normes de formations réglementaires ou universitaires peuvent postuler en qualité de praticien A-MCA (pratiques référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) ou praticiens détenteurs d’un Diplôme universitaire). « Hors de question par exemple, que nous référencions un charlatan », rassure la directrice de l’A-MCA.
Conscients néanmoins de la réduction des titres RNCP et du manque d'accès aux diplômes universitaires pour les non soignants, l'A-MCA permet aux professionnels qualifiés de postuler en qualité d'intervenants pour son espace professionnel. Autrement dit, les praticiens sont évalués sur la base d'une pratique (ex. reflexologie, sophrologie...) tandis que les intervenants sont validés ou non sur la base d'une expertise propre à une thématique (ex. gestion du stress, prévention, bien-être). "Seuls les praticiens diplômés peuvent intégrés l'A-MCA en qualité de praticiens. Pour autant, en l'absence de titres officiels, de nombreux praticiens non diplômés pour leur pratique sont qualifiés pour proposer des conférences ou ateliers autour de thématiques pour lesquelles ils sont solidement formés. Dans ce cas, nous les évaluons de la même manière et nous valorisons leurs expertises spécifiques en qualité d'intervenants (conférences, ateliers, débats...) autour d'un thème" précise Véronique Suissa.
Cette démarche d'évaluation initiale est indispensable pour l’A-MCA car les praticiens détenteurs d’un diplôme référencé peuvent très bien, en parallèle, avoir des pratiques douteuses dans d’autres domaines ; les diplômes et les normes ne garantissant pas la qualité des interventions et des usages. « C’est justement ce que va contrôler l’A-MCA en amont du référencement des praticiens, précise Véronique SUISSA. Nous souhaitons qu’ils respectent notre référentiel composé de 65 principes éthiques c’est-à-dire qu’ils répondent à une logique de formation continue, d’information aux usagers ou encore qu’ils développent leur champ d’expertise. » D'après la directrice générale, "le bien-être doit pouvoir être approché de façon rigoureuse :les concepts de bien-manger, bien bouger, bien dormir, etc, ne sont pas de simples slogans et tout l'enjeu est de leur donner du sens".
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
L'écosystème interne A-MCA est mobilisé de façon collective et/ou individuelle dans le cadre des différentes actions et initiatives de l’association et de son Club dont ils font partie : travaux annuels, groupes de travail, événements grand public, productions professionnelles, publications scientifiques, etc. L'A-MCA a déployé une démarche de sélection afin de garantir la qualité, l'engagement et la pertinence des contributions de ses membres. Cette démarche de sélection rigoureuse inclut l'analyse des candidatures, l'évaluation des compétences et des expériences des candidats, ainsi que des entretiens individuels pour approfondir les motivations et les apports potentiels des nouveaux membres.
Toute personne qualifiée peut candidater pour intégrer l’écosystème interne du Club de l'A-MCA, que ce soit :
- les experts (universitaires, chercheurs, médecins, soignants, psychologues, élus, dirigeants....) ;
- les praticiens bien-être ou soignants (ostéopathes, sophrologues, réflexologues, APA, art-thérapeutes, diététiciens....) ;
- les intervenants (conférenciers, formateurs, spécialistes d’un sujet (ex. santé mentale, gestion du stress...) ;
- les organisations (universités, associations, organisations de praticiens, centres de en santé, entreprises...) ;
- les citoyens (usagers, patients, aidants, seniors, publics intéressés par la prévention....).
En dehors du processus de sélection, toutes les personnes, physiques ou morales, intéressées par la prévention peuvent adhérer au Club en tant que membre externe. Les membres dits externes ont de la même manière accès à tous les évènements du Club dont ils font pleinement partie. Ils peuvent également proposer des thématiques pour le Club et dans certains cas proposer des interventions. Cependant, ils ne peuvent contribuer aux travaux et réferentiels officiels dans la mesure où il ne sont pas soumis à validation initiale de la part de l'AMCA. S'ils le souhaitent, ils peuvent à tout moment candidater pour devenir membre interne.
Les membres validés de l'écosystème interne du Club de l'A-MCA. Selon leur profil, ils font partie :
- des différents pôles d’experts ;
- de la collégiale de praticiens ;
- de la commission citoyenne ;
- du réseau de praticiens ;
- du réseau d’intervenants.
De plus, chaque année, tout membre interne A-MCA (expert, praticien, partenaire…) est invité à à choisir au moins une contribution unique (ex. intervention conférence, atelier, publication professionnelle…), en remplissant un questionnaire Cette contribution permet à la fois de matérialiser son intégration et son engagement auprès de l’A-MCA mais aussi de pouvoir être valorisé. Dans ce cadre, l'A-MCA
Malgré les normes de formations existantes dans le domaine des pratiques complémentaires, elles ne garantissent pas pour autant la qualité des praticiens bien-être les exerçant. « L’A-MCA a donc décidé d’élaborer une démarche de sélection garantissant aux usagers, que les praticiens qui lui sont associés, sont recommandables », explique Véronique SUISSA.
Seuls les praticiens bien-être exerçant des pratiques détenant des normes de formations réglementaires ou universitaires peuvent postuler en qualité de praticien A-MCA (pratiques référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) ou praticiens détenteurs d’un Diplôme universitaire). « Hors de question par exemple, que nous référencions un charlatan », rassure la directrice de l’A-MCA.
Conscients néanmoins de la réduction des titres RNCP et du manque d'accès aux diplômes universitaires pour les non soignants, l'A-MCA permet aux professionnels qualifiés de postuler en qualité d'intervenants pour son espace professionnel. Autrement dit, les praticiens sont évalués sur la base d'une pratique (ex. reflexologie, sophrologie...) tandis que les intervenants sont validés ou non sur la base d'une expertise propre à une thématique (ex. gestion du stress, prévention, bien-être). "Seuls les praticiens diplômés peuvent intégrés l'A-MCA en qualité de praticiens. Pour autant, en l'absence de titres officiels, de nombreux praticiens non diplômés pour leur pratique sont qualifiés pour proposer des conférences ou ateliers autour de thématiques pour lesquelles ils sont solidement formés. Dans ce cas, nous les évaluons de la même manière et nous valorisons leurs expertises spécifiques en qualité d'intervenants (conférences, ateliers, débats...) autour d'un thème" précise Véronique Suissa.
Cette démarche d'évaluation initiale est indispensable pour l’A-MCA car les praticiens détenteurs d’un diplôme référencé peuvent très bien, en parallèle, avoir des pratiques douteuses dans d’autres domaines ; les diplômes et les normes ne garantissant pas la qualité des interventions et des usages. « C’est justement ce que va contrôler l’A-MCA en amont du référencement des praticiens, précise Véronique SUISSA. Nous souhaitons qu’ils respectent notre référentiel composé de 65 principes éthiques c’est-à-dire qu’ils répondent à une logique de formation continue, d’information aux usagers ou encore qu’ils développent leur champ d’expertise. » D'après la directrice générale, "le bien-être doit pouvoir être approché de façon rigoureuse :les concepts de bien-manger, bien bouger, bien dormir, etc, ne sont pas de simples slogans et tout l'enjeu est de leur donner du sens".
L’A-MCA a mis en place une démarche de sélection des membres A-MCA, menée dans une logique d’intérêt général, en faveur d’une approche synergique et vertueuse entre les acteurs (praticiens, experts, partenaires...).
L’A-MCA est composée d’un vaste réseau interne œuvrant en faveur des pratiques complémentaires adaptées. Citoyens, praticiens, experts, et organisations collaborent au sein de ce réseau. Découvrez la démarche de sélection pour intégrer cet écosystème interne au coeur de Club de l'A-MCA. Et visionnez la courte vidéo de présentation de Véronique SUISSA, Directrice Générale A-MCA (ICI).
L'écosystème interne A-MCA est mobilisé de façon collective et/ou individuelle dans le cadre des différentes actions et initiatives de l’association et de son Club dont ils font partie : travaux annuels, groupes de travail, événements grand public, productions professionnelles, publications scientifiques, etc. L'A-MCA a déployé une démarche de sélection afin de garantir la qualité, l'engagement et la pertinence des contributions de ses membres. Cette démarche de sélection rigoureuse inclut l'analyse des candidatures, l'évaluation des compétences et des expériences des candidats, ainsi que des entretiens individuels pour approfondir les motivations et les apports potentiels des nouveaux membres.
Toute personne qualifiée peut candidater pour intégrer l’écosystème interne du Club de l'A-MCA, que ce soit :
- les experts (universitaires, chercheurs, médecins, soignants, psychologues, élus, dirigeants....) ;
- les praticiens bien-être ou soignants (ostéopathes, sophrologues, réflexologues, APA, art-thérapeutes, diététiciens....) ;
- les intervenants (conférenciers, formateurs, spécialistes d’un sujet (ex. santé mentale, gestion du stress...) ;
- les organisations (universités, associations, organisations de praticiens, centres de en santé, entreprises...) ;
- les citoyens (usagers, patients, aidants, seniors, publics intéressés par la prévention....).
En dehors du processus de sélection, toutes les personnes, physiques ou morales, intéressées par la prévention peuvent adhérer au Club en tant que membre externe. Les membres dits externes ont de la même manière accès à tous les évènements du Club dont ils font pleinement partie. Ils peuvent également proposer des thématiques pour le Club et dans certains cas proposer des interventions. Cependant, ils ne peuvent contribuer aux travaux et réferentiels officiels dans la mesure où il ne sont pas soumis à validation initiale de la part de l'AMCA. S'ils le souhaitent, ils peuvent à tout moment candidater pour devenir membre interne.
Les membres validés de l'écosystème interne du Club de l'A-MCA. Selon leur profil, ils font partie :
- des différents pôles d’experts ;
- de la collégiale de praticiens ;
- de la commission citoyenne ;
- du réseau de praticiens ;
- du réseau d’intervenants.
De plus, chaque année, tout membre interne A-MCA (expert, praticien, partenaire…) est invité à à choisir au moins une contribution unique (ex. intervention conférence, atelier, publication professionnelle…), en remplissant un questionnaire Cette contribution permet à la fois de matérialiser son intégration et son engagement auprès de l’A-MCA mais aussi de pouvoir être valorisé. Dans ce cadre, l'A-MCA
Malgré les normes de formations existantes dans le domaine des pratiques complémentaires, elles ne garantissent pas pour autant la qualité des praticiens bien-être les exerçant. « L’A-MCA a donc décidé d’élaborer une démarche de sélection garantissant aux usagers, que les praticiens qui lui sont associés, sont recommandables », explique Véronique SUISSA.
Seuls les praticiens bien-être exerçant des pratiques détenant des normes de formations réglementaires ou universitaires peuvent postuler en qualité de praticien A-MCA (pratiques référencées au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) ou praticiens détenteurs d’un Diplôme universitaire). « Hors de question par exemple, que nous référencions un charlatan », rassure la directrice de l’A-MCA.
Conscients néanmoins de la réduction des titres RNCP et du manque d'accès aux diplômes universitaires pour les non soignants, l'A-MCA permet aux professionnels qualifiés de postuler en qualité d'intervenants pour son espace professionnel. Autrement dit, les praticiens sont évalués sur la base d'une pratique (ex. reflexologie, sophrologie...) tandis que les intervenants sont validés ou non sur la base d'une expertise propre à une thématique (ex. gestion du stress, prévention, bien-être). "Seuls les praticiens diplômés peuvent intégrés l'A-MCA en qualité de praticiens. Pour autant, en l'absence de titres officiels, de nombreux praticiens non diplômés pour leur pratique sont qualifiés pour proposer des conférences ou ateliers autour de thématiques pour lesquelles ils sont solidement formés. Dans ce cas, nous les évaluons de la même manière et nous valorisons leurs expertises spécifiques en qualité d'intervenants (conférences, ateliers, débats...) autour d'un thème" précise Véronique Suissa.
Cette démarche d'évaluation initiale est indispensable pour l’A-MCA car les praticiens détenteurs d’un diplôme référencé peuvent très bien, en parallèle, avoir des pratiques douteuses dans d’autres domaines ; les diplômes et les normes ne garantissant pas la qualité des interventions et des usages. « C’est justement ce que va contrôler l’A-MCA en amont du référencement des praticiens, précise Véronique SUISSA. Nous souhaitons qu’ils respectent notre référentiel composé de 65 principes éthiques c’est-à-dire qu’ils répondent à une logique de formation continue, d’information aux usagers ou encore qu’ils développent leur champ d’expertise. » D'après la directrice générale, "le bien-être doit pouvoir être approché de façon rigoureuse :les concepts de bien-manger, bien bouger, bien dormir, etc, ne sont pas de simples slogans et tout l'enjeu est de leur donner du sens".