Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’ergothérapeute est un professionnel de santé, exerçant dans les champs sanitaires, médicosocial et social. Collaborant avec de nombreux professionnels (médecins, auxiliaires médicaux, travailleurs sociaux, etc.), il s’agit d’un intervenant incontournable dans le processus d’adaptation, de réadaptation et d’intégration sociale des personnes.
Spécialiste du rapport entre l’activité et la santé, il mène des actions, d’une part, pour prévenir et modifier les activités délétères pour la santé et, d’autre part, pour assurer l’accès des individus aux occupations qu’ils veulent, ou doivent faire en rendant possible leur accomplissement de façon sécurisée, autonome, indépendante et efficace.
Pour exercer sa profession, l’ergothérapeute doit être titulaire d’un Diplôme d’État ou d’une autorisation d’exercer en France. L’ergothérapeute pratique sa profession dans le respect de la législation en vigueur. Les devoirs, les modalités d’exercice, l’éthique professionnelle et la publicité sont précisés par le texte régissant les règles professionnelles.
La création des règles professionnelles répond à l’objectif d’identifier les pratiques bienfaisantes et bienveillantes dans l’exercice de la profession. L’ergothérapeute exerce sur prescription médicale uniquement pour les actes professionnels définis par l’article R.4331-1 du code de la santé publique. L’accès direct à l’ergothérapie est possible pour les actes non soumis à prescription (aides techniques).
Aucun risque, ou dérive potentielle, n’est à signaler dans l’exercice de cette profession.
Dans le cadre d’affections à l’origine de trouble de sensibilité, l’ergothérapeute, par des techniques spécifiques, pourrait contribuer au message neurosensoriel et aurait vocation à agir sur les effets néfastes des troubles (douleurs, sensations désagréables, etc.).
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’ergothérapeute est un professionnel de santé, exerçant dans les champs sanitaires, médicosocial et social. Collaborant avec de nombreux professionnels (médecins, auxiliaires médicaux, travailleurs sociaux, etc.), il s’agit d’un intervenant incontournable dans le processus d’adaptation, de réadaptation et d’intégration sociale des personnes.
Spécialiste du rapport entre l’activité et la santé, il mène des actions, d’une part, pour prévenir et modifier les activités délétères pour la santé et, d’autre part, pour assurer l’accès des individus aux occupations qu’ils veulent, ou doivent faire en rendant possible leur accomplissement de façon sécurisée, autonome, indépendante et efficace.
Pour exercer sa profession, l’ergothérapeute doit être titulaire d’un Diplôme d’État ou d’une autorisation d’exercer en France. L’ergothérapeute pratique sa profession dans le respect de la législation en vigueur. Les devoirs, les modalités d’exercice, l’éthique professionnelle et la publicité sont précisés par le texte régissant les règles professionnelles.
La création des règles professionnelles répond à l’objectif d’identifier les pratiques bienfaisantes et bienveillantes dans l’exercice de la profession. L’ergothérapeute exerce sur prescription médicale uniquement pour les actes professionnels définis par l’article R.4331-1 du code de la santé publique. L’accès direct à l’ergothérapie est possible pour les actes non soumis à prescription (aides techniques).
Aucun risque, ou dérive potentielle, n’est à signaler dans l’exercice de cette profession.
Dans le cadre d’affections à l’origine de trouble de sensibilité, l’ergothérapeute, par des techniques spécifiques, pourrait contribuer au message neurosensoriel et aurait vocation à agir sur les effets néfastes des troubles (douleurs, sensations désagréables, etc.).
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’ergothérapeute est un professionnel de santé, exerçant dans les champs sanitaires, médicosocial et social. Collaborant avec de nombreux professionnels (médecins, auxiliaires médicaux, travailleurs sociaux, etc.), il s’agit d’un intervenant incontournable dans le processus d’adaptation, de réadaptation et d’intégration sociale des personnes.
Spécialiste du rapport entre l’activité et la santé, il mène des actions, d’une part, pour prévenir et modifier les activités délétères pour la santé et, d’autre part, pour assurer l’accès des individus aux occupations qu’ils veulent, ou doivent faire en rendant possible leur accomplissement de façon sécurisée, autonome, indépendante et efficace.
Pour exercer sa profession, l’ergothérapeute doit être titulaire d’un Diplôme d’État ou d’une autorisation d’exercer en France. L’ergothérapeute pratique sa profession dans le respect de la législation en vigueur. Les devoirs, les modalités d’exercice, l’éthique professionnelle et la publicité sont précisés par le texte régissant les règles professionnelles.
La création des règles professionnelles répond à l’objectif d’identifier les pratiques bienfaisantes et bienveillantes dans l’exercice de la profession. L’ergothérapeute exerce sur prescription médicale uniquement pour les actes professionnels définis par l’article R.4331-1 du code de la santé publique. L’accès direct à l’ergothérapie est possible pour les actes non soumis à prescription (aides techniques).
Aucun risque, ou dérive potentielle, n’est à signaler dans l’exercice de cette profession.
Dans le cadre d’affections à l’origine de trouble de sensibilité, l’ergothérapeute, par des techniques spécifiques, pourrait contribuer au message neurosensoriel et aurait vocation à agir sur les effets néfastes des troubles (douleurs, sensations désagréables, etc.).
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
L’ergothérapeute est un professionnel de santé, exerçant dans les champs sanitaires, médicosocial et social. Collaborant avec de nombreux professionnels (médecins, auxiliaires médicaux, travailleurs sociaux, etc.), il s’agit d’un intervenant incontournable dans le processus d’adaptation, de réadaptation et d’intégration sociale des personnes.
Spécialiste du rapport entre l’activité et la santé, il mène des actions, d’une part, pour prévenir et modifier les activités délétères pour la santé et, d’autre part, pour assurer l’accès des individus aux occupations qu’ils veulent, ou doivent faire en rendant possible leur accomplissement de façon sécurisée, autonome, indépendante et efficace.
Pour exercer sa profession, l’ergothérapeute doit être titulaire d’un Diplôme d’État ou d’une autorisation d’exercer en France. L’ergothérapeute pratique sa profession dans le respect de la législation en vigueur. Les devoirs, les modalités d’exercice, l’éthique professionnelle et la publicité sont précisés par le texte régissant les règles professionnelles.
La création des règles professionnelles répond à l’objectif d’identifier les pratiques bienfaisantes et bienveillantes dans l’exercice de la profession. L’ergothérapeute exerce sur prescription médicale uniquement pour les actes professionnels définis par l’article R.4331-1 du code de la santé publique. L’accès direct à l’ergothérapie est possible pour les actes non soumis à prescription (aides techniques).
Aucun risque, ou dérive potentielle, n’est à signaler dans l’exercice de cette profession.
Dans le cadre d’affections à l’origine de trouble de sensibilité, l’ergothérapeute, par des techniques spécifiques, pourrait contribuer au message neurosensoriel et aurait vocation à agir sur les effets néfastes des troubles (douleurs, sensations désagréables, etc.).
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
L’ergothérapeute est un professionnel de santé, exerçant dans les champs sanitaires, médicosocial et social. Collaborant avec de nombreux professionnels (médecins, auxiliaires médicaux, travailleurs sociaux, etc.), il s’agit d’un intervenant incontournable dans le processus d’adaptation, de réadaptation et d’intégration sociale des personnes.
Spécialiste du rapport entre l’activité et la santé, il mène des actions, d’une part, pour prévenir et modifier les activités délétères pour la santé et, d’autre part, pour assurer l’accès des individus aux occupations qu’ils veulent, ou doivent faire en rendant possible leur accomplissement de façon sécurisée, autonome, indépendante et efficace.
Pour exercer sa profession, l’ergothérapeute doit être titulaire d’un Diplôme d’État ou d’une autorisation d’exercer en France. L’ergothérapeute pratique sa profession dans le respect de la législation en vigueur. Les devoirs, les modalités d’exercice, l’éthique professionnelle et la publicité sont précisés par le texte régissant les règles professionnelles.
La création des règles professionnelles répond à l’objectif d’identifier les pratiques bienfaisantes et bienveillantes dans l’exercice de la profession. L’ergothérapeute exerce sur prescription médicale uniquement pour les actes professionnels définis par l’article R.4331-1 du code de la santé publique. L’accès direct à l’ergothérapie est possible pour les actes non soumis à prescription (aides techniques).
Aucun risque, ou dérive potentielle, n’est à signaler dans l’exercice de cette profession.
Dans le cadre d’affections à l’origine de trouble de sensibilité, l’ergothérapeute, par des techniques spécifiques, pourrait contribuer au message neurosensoriel et aurait vocation à agir sur les effets néfastes des troubles (douleurs, sensations désagréables, etc.).
L’ergothérapeute est un professionnel de santé, exerçant dans les champs sanitaires, médicosocial et social. Collaborant avec de nombreux professionnels (médecins, auxiliaires médicaux, travailleurs sociaux, etc.), il s’agit d’un intervenant incontournable dans le processus d’adaptation, de réadaptation et d’intégration sociale des personnes.
Spécialiste du rapport entre l’activité et la santé, il mène des actions, d’une part, pour prévenir et modifier les activités délétères pour la santé et, d’autre part, pour assurer l’accès des individus aux occupations qu’ils veulent, ou doivent faire en rendant possible leur accomplissement de façon sécurisée, autonome, indépendante et efficace.
Pour exercer sa profession, l’ergothérapeute doit être titulaire d’un Diplôme d’État ou d’une autorisation d’exercer en France. L’ergothérapeute pratique sa profession dans le respect de la législation en vigueur. Les devoirs, les modalités d’exercice, l’éthique professionnelle et la publicité sont précisés par le texte régissant les règles professionnelles.
La création des règles professionnelles répond à l’objectif d’identifier les pratiques bienfaisantes et bienveillantes dans l’exercice de la profession. L’ergothérapeute exerce sur prescription médicale uniquement pour les actes professionnels définis par l’article R.4331-1 du code de la santé publique. L’accès direct à l’ergothérapie est possible pour les actes non soumis à prescription (aides techniques).
Aucun risque, ou dérive potentielle, n’est à signaler dans l’exercice de cette profession.
Dans le cadre d’affections à l’origine de trouble de sensibilité, l’ergothérapeute, par des techniques spécifiques, pourrait contribuer au message neurosensoriel et aurait vocation à agir sur les effets néfastes des troubles (douleurs, sensations désagréables, etc.).