Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En l’absence de catégorisation officielle des pratiques complémentaires et alternatives, il existe une diversité d’approches visant à les catégoriser. Certains les classifient selon leur nature (ex. pratiques manuelles, psychologiques, spirituelles, psychocorporelles, etc.), d’autres selon leur approche complémentaires ou alternatives, d’autres encore selon la typologie de dérives (ex. méthodes psychologisantes, énergétiques…). Le problème étant qu’une même pratique peut relever de plusieurs catégories. Par exemple, selon la technique, la méditation peut à la fois être une pratique psychocorporelle et spirituelle, utilisée de façon complémentaire ou alternative selon l’usager, être potentiellement bénéfique ou déviante selon le praticien, etc.
En France, une première proposition de définition et de catégorisation a fait l’objet d’une publication scientifique par Suissa V. & al (2020). La démarche consiste à les catégoriser selon leurs rapports à la médecine (pratiques acceptées, tolérées, rejetées) en s’appuyant, non pas sur « des pratiques » mais sur « des critères » (ex. niveaux d’intégration, formations, niveaux de risques, présence de dérives, etc.). Cette catégorisation permet en outre de distinguer les critères faisant qu’une pratique est acceptée (ex. diplômes reconnus, complémentarité, etc.), tolérée (ex. pas de diplôme, complémentarité…) ou rejetée (ex. dérives volontaires) par la médecine.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En l’absence de catégorisation officielle des pratiques complémentaires et alternatives, il existe une diversité d’approches visant à les catégoriser. Certains les classifient selon leur nature (ex. pratiques manuelles, psychologiques, spirituelles, psychocorporelles, etc.), d’autres selon leur approche complémentaires ou alternatives, d’autres encore selon la typologie de dérives (ex. méthodes psychologisantes, énergétiques…). Le problème étant qu’une même pratique peut relever de plusieurs catégories. Par exemple, selon la technique, la méditation peut à la fois être une pratique psychocorporelle et spirituelle, utilisée de façon complémentaire ou alternative selon l’usager, être potentiellement bénéfique ou déviante selon le praticien, etc.
En France, une première proposition de définition et de catégorisation a fait l’objet d’une publication scientifique par Suissa V. & al (2020). La démarche consiste à les catégoriser selon leurs rapports à la médecine (pratiques acceptées, tolérées, rejetées) en s’appuyant, non pas sur « des pratiques » mais sur « des critères » (ex. niveaux d’intégration, formations, niveaux de risques, présence de dérives, etc.). Cette catégorisation permet en outre de distinguer les critères faisant qu’une pratique est acceptée (ex. diplômes reconnus, complémentarité, etc.), tolérée (ex. pas de diplôme, complémentarité…) ou rejetée (ex. dérives volontaires) par la médecine.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En l’absence de catégorisation officielle des pratiques complémentaires et alternatives, il existe une diversité d’approches visant à les catégoriser. Certains les classifient selon leur nature (ex. pratiques manuelles, psychologiques, spirituelles, psychocorporelles, etc.), d’autres selon leur approche complémentaires ou alternatives, d’autres encore selon la typologie de dérives (ex. méthodes psychologisantes, énergétiques…). Le problème étant qu’une même pratique peut relever de plusieurs catégories. Par exemple, selon la technique, la méditation peut à la fois être une pratique psychocorporelle et spirituelle, utilisée de façon complémentaire ou alternative selon l’usager, être potentiellement bénéfique ou déviante selon le praticien, etc.
En France, une première proposition de définition et de catégorisation a fait l’objet d’une publication scientifique par Suissa V. & al (2020). La démarche consiste à les catégoriser selon leurs rapports à la médecine (pratiques acceptées, tolérées, rejetées) en s’appuyant, non pas sur « des pratiques » mais sur « des critères » (ex. niveaux d’intégration, formations, niveaux de risques, présence de dérives, etc.). Cette catégorisation permet en outre de distinguer les critères faisant qu’une pratique est acceptée (ex. diplômes reconnus, complémentarité, etc.), tolérée (ex. pas de diplôme, complémentarité…) ou rejetée (ex. dérives volontaires) par la médecine.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En l’absence de catégorisation officielle des pratiques complémentaires et alternatives, il existe une diversité d’approches visant à les catégoriser. Certains les classifient selon leur nature (ex. pratiques manuelles, psychologiques, spirituelles, psychocorporelles, etc.), d’autres selon leur approche complémentaires ou alternatives, d’autres encore selon la typologie de dérives (ex. méthodes psychologisantes, énergétiques…). Le problème étant qu’une même pratique peut relever de plusieurs catégories. Par exemple, selon la technique, la méditation peut à la fois être une pratique psychocorporelle et spirituelle, utilisée de façon complémentaire ou alternative selon l’usager, être potentiellement bénéfique ou déviante selon le praticien, etc.
En France, une première proposition de définition et de catégorisation a fait l’objet d’une publication scientifique par Suissa V. & al (2020). La démarche consiste à les catégoriser selon leurs rapports à la médecine (pratiques acceptées, tolérées, rejetées) en s’appuyant, non pas sur « des pratiques » mais sur « des critères » (ex. niveaux d’intégration, formations, niveaux de risques, présence de dérives, etc.). Cette catégorisation permet en outre de distinguer les critères faisant qu’une pratique est acceptée (ex. diplômes reconnus, complémentarité, etc.), tolérée (ex. pas de diplôme, complémentarité…) ou rejetée (ex. dérives volontaires) par la médecine.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
En l’absence de catégorisation officielle des pratiques complémentaires et alternatives, il existe une diversité d’approches visant à les catégoriser. Certains les classifient selon leur nature (ex. pratiques manuelles, psychologiques, spirituelles, psychocorporelles, etc.), d’autres selon leur approche complémentaires ou alternatives, d’autres encore selon la typologie de dérives (ex. méthodes psychologisantes, énergétiques…). Le problème étant qu’une même pratique peut relever de plusieurs catégories. Par exemple, selon la technique, la méditation peut à la fois être une pratique psychocorporelle et spirituelle, utilisée de façon complémentaire ou alternative selon l’usager, être potentiellement bénéfique ou déviante selon le praticien, etc.
En France, une première proposition de définition et de catégorisation a fait l’objet d’une publication scientifique par Suissa V. & al (2020). La démarche consiste à les catégoriser selon leurs rapports à la médecine (pratiques acceptées, tolérées, rejetées) en s’appuyant, non pas sur « des pratiques » mais sur « des critères » (ex. niveaux d’intégration, formations, niveaux de risques, présence de dérives, etc.). Cette catégorisation permet en outre de distinguer les critères faisant qu’une pratique est acceptée (ex. diplômes reconnus, complémentarité, etc.), tolérée (ex. pas de diplôme, complémentarité…) ou rejetée (ex. dérives volontaires) par la médecine.
En l’absence de catégorisation officielle des pratiques complémentaires et alternatives, il existe une diversité d’approches visant à les catégoriser. Certains les classifient selon leur nature (ex. pratiques manuelles, psychologiques, spirituelles, psychocorporelles, etc.), d’autres selon leur approche complémentaires ou alternatives, d’autres encore selon la typologie de dérives (ex. méthodes psychologisantes, énergétiques…). Le problème étant qu’une même pratique peut relever de plusieurs catégories. Par exemple, selon la technique, la méditation peut à la fois être une pratique psychocorporelle et spirituelle, utilisée de façon complémentaire ou alternative selon l’usager, être potentiellement bénéfique ou déviante selon le praticien, etc.
En France, une première proposition de définition et de catégorisation a fait l’objet d’une publication scientifique par Suissa V. & al (2020). La démarche consiste à les catégoriser selon leurs rapports à la médecine (pratiques acceptées, tolérées, rejetées) en s’appuyant, non pas sur « des pratiques » mais sur « des critères » (ex. niveaux d’intégration, formations, niveaux de risques, présence de dérives, etc.). Cette catégorisation permet en outre de distinguer les critères faisant qu’une pratique est acceptée (ex. diplômes reconnus, complémentarité, etc.), tolérée (ex. pas de diplôme, complémentarité…) ou rejetée (ex. dérives volontaires) par la médecine.