Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Sophrologie : un peu d’histoire
La sophrologie a été créée en Espagne, en 1960, par le professeur Alfonso Caycedo. Ses travaux s’inspirent de différents concepts et méthodes thérapeutiques, principalement basés sur le psychique (l’hypnose, la phénoménologie, la psychanalyse, etc.), mais également sur le physique (la relaxation, le yoga, etc.). L’influence apportée par toutes ces recherches lui permet de forger sa conviction que la conscience d’un individu doit être abordée par les « deux portes d’entrée » que sont le mental et le corps. Partant de ses travaux, d’autres professionnels de santé ont développé leur propre courant.
Activer le changement avec la sophrologie?
En sophrologie, des techniques sont utilisées afin d’associer la détente musculaire à des exercices de respiration, ainsi qu’à des représentations mentales. D'après l'ouvrage collectif de l'A-MCA, les techniques proposées ont vocation à mobiliser les capacités, les ressources ou les valeurs des personnes. La sophrologie a également pour but de faciliter l’écoute de ses propres ressentis, permettant d'identifier son état ainsi que les ressources internes à disposition pour activer un changement. Autrement dit, ce processus inhérent à la sophrologie permet de développer une meilleure conscience de soi-même. "La sophrologie - comme chaque pratique complémentaire - doit exclusivement être proposée en complément d’une prise en charge médicale, paramédicale et/ou psychologique" précise Véronique SUISSA, Directrice Générale de l'A-MCA. D'après l'ouvrage, la sophrologie cherche à contribuer au bien-être et à améliorer la qualité de vie des personnes qui la pratiquent, en les aidant à mieux vivre au quotidien. Les techniques de sophrologie pouvant s’acquérir, chaque personne est à même de la pratiquer en toute autonomie.
Sophrologie : quels contextes d'utilisations ?
La sophrologie peut notamment être utilisée dans les cabinets de villes auprès de personnes en bonne santé qui expriment le besoin d'être mieux, mais aussi dans les entreprises pour contribuer à la qualité de vie au travail des salariés ou encore en milieu de soin, par des sophrologues spécialisés, et en lien avec les équipes soignantes, dans une logique de bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, vieillissement, handicap). La dimension sociale, préventive et pédagogique de la sophrologie fait d’elle une méthode accessible à tous, dès lors où elle est proposée par un sophrologue qualifié. "Un sophrologue qui intervient auprès de personnes fragilisées par l'âge ou la maladie n'est pas le même sophrologue qui intervient pour le bien-être des usagers en bonne santé : il doit être spécialisé et détenir des formations complémentaires" précise Véronique SUISSA. Comme l'indique la Directrice de l'A-MCA, "La sophrologie fait l'objet d'une acceptation sociale et médicale mais elle n'est ni réglementée par la loi ni validée par la science. La déployer a du sens dès lors où on reste attentif aux qualifications du sophrologue et aux objectifs visés". Avant de conclure : "Toutes les pratiques complémentaires doivent être fondées sur le respect de la personne humaine et de ce qu'elle ressent tout en respectant leur singularité et leur liberté, a fortiori pour les personnes fragiles".
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Sophrologie : un peu d’histoire
La sophrologie a été créée en Espagne, en 1960, par le professeur Alfonso Caycedo. Ses travaux s’inspirent de différents concepts et méthodes thérapeutiques, principalement basés sur le psychique (l’hypnose, la phénoménologie, la psychanalyse, etc.), mais également sur le physique (la relaxation, le yoga, etc.). L’influence apportée par toutes ces recherches lui permet de forger sa conviction que la conscience d’un individu doit être abordée par les « deux portes d’entrée » que sont le mental et le corps. Partant de ses travaux, d’autres professionnels de santé ont développé leur propre courant.
Activer le changement avec la sophrologie?
En sophrologie, des techniques sont utilisées afin d’associer la détente musculaire à des exercices de respiration, ainsi qu’à des représentations mentales. D'après l'ouvrage collectif de l'A-MCA, les techniques proposées ont vocation à mobiliser les capacités, les ressources ou les valeurs des personnes. La sophrologie a également pour but de faciliter l’écoute de ses propres ressentis, permettant d'identifier son état ainsi que les ressources internes à disposition pour activer un changement. Autrement dit, ce processus inhérent à la sophrologie permet de développer une meilleure conscience de soi-même. "La sophrologie - comme chaque pratique complémentaire - doit exclusivement être proposée en complément d’une prise en charge médicale, paramédicale et/ou psychologique" précise Véronique SUISSA, Directrice Générale de l'A-MCA. D'après l'ouvrage, la sophrologie cherche à contribuer au bien-être et à améliorer la qualité de vie des personnes qui la pratiquent, en les aidant à mieux vivre au quotidien. Les techniques de sophrologie pouvant s’acquérir, chaque personne est à même de la pratiquer en toute autonomie.
Sophrologie : quels contextes d'utilisations ?
La sophrologie peut notamment être utilisée dans les cabinets de villes auprès de personnes en bonne santé qui expriment le besoin d'être mieux, mais aussi dans les entreprises pour contribuer à la qualité de vie au travail des salariés ou encore en milieu de soin, par des sophrologues spécialisés, et en lien avec les équipes soignantes, dans une logique de bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, vieillissement, handicap). La dimension sociale, préventive et pédagogique de la sophrologie fait d’elle une méthode accessible à tous, dès lors où elle est proposée par un sophrologue qualifié. "Un sophrologue qui intervient auprès de personnes fragilisées par l'âge ou la maladie n'est pas le même sophrologue qui intervient pour le bien-être des usagers en bonne santé : il doit être spécialisé et détenir des formations complémentaires" précise Véronique SUISSA. Comme l'indique la Directrice de l'A-MCA, "La sophrologie fait l'objet d'une acceptation sociale et médicale mais elle n'est ni réglementée par la loi ni validée par la science. La déployer a du sens dès lors où on reste attentif aux qualifications du sophrologue et aux objectifs visés". Avant de conclure : "Toutes les pratiques complémentaires doivent être fondées sur le respect de la personne humaine et de ce qu'elle ressent tout en respectant leur singularité et leur liberté, a fortiori pour les personnes fragiles".
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Sophrologie : un peu d’histoire
La sophrologie a été créée en Espagne, en 1960, par le professeur Alfonso Caycedo. Ses travaux s’inspirent de différents concepts et méthodes thérapeutiques, principalement basés sur le psychique (l’hypnose, la phénoménologie, la psychanalyse, etc.), mais également sur le physique (la relaxation, le yoga, etc.). L’influence apportée par toutes ces recherches lui permet de forger sa conviction que la conscience d’un individu doit être abordée par les « deux portes d’entrée » que sont le mental et le corps. Partant de ses travaux, d’autres professionnels de santé ont développé leur propre courant.
Activer le changement avec la sophrologie?
En sophrologie, des techniques sont utilisées afin d’associer la détente musculaire à des exercices de respiration, ainsi qu’à des représentations mentales. D'après l'ouvrage collectif de l'A-MCA, les techniques proposées ont vocation à mobiliser les capacités, les ressources ou les valeurs des personnes. La sophrologie a également pour but de faciliter l’écoute de ses propres ressentis, permettant d'identifier son état ainsi que les ressources internes à disposition pour activer un changement. Autrement dit, ce processus inhérent à la sophrologie permet de développer une meilleure conscience de soi-même. "La sophrologie - comme chaque pratique complémentaire - doit exclusivement être proposée en complément d’une prise en charge médicale, paramédicale et/ou psychologique" précise Véronique SUISSA, Directrice Générale de l'A-MCA. D'après l'ouvrage, la sophrologie cherche à contribuer au bien-être et à améliorer la qualité de vie des personnes qui la pratiquent, en les aidant à mieux vivre au quotidien. Les techniques de sophrologie pouvant s’acquérir, chaque personne est à même de la pratiquer en toute autonomie.
Sophrologie : quels contextes d'utilisations ?
La sophrologie peut notamment être utilisée dans les cabinets de villes auprès de personnes en bonne santé qui expriment le besoin d'être mieux, mais aussi dans les entreprises pour contribuer à la qualité de vie au travail des salariés ou encore en milieu de soin, par des sophrologues spécialisés, et en lien avec les équipes soignantes, dans une logique de bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, vieillissement, handicap). La dimension sociale, préventive et pédagogique de la sophrologie fait d’elle une méthode accessible à tous, dès lors où elle est proposée par un sophrologue qualifié. "Un sophrologue qui intervient auprès de personnes fragilisées par l'âge ou la maladie n'est pas le même sophrologue qui intervient pour le bien-être des usagers en bonne santé : il doit être spécialisé et détenir des formations complémentaires" précise Véronique SUISSA. Comme l'indique la Directrice de l'A-MCA, "La sophrologie fait l'objet d'une acceptation sociale et médicale mais elle n'est ni réglementée par la loi ni validée par la science. La déployer a du sens dès lors où on reste attentif aux qualifications du sophrologue et aux objectifs visés". Avant de conclure : "Toutes les pratiques complémentaires doivent être fondées sur le respect de la personne humaine et de ce qu'elle ressent tout en respectant leur singularité et leur liberté, a fortiori pour les personnes fragiles".
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Sophrologie : un peu d’histoire
La sophrologie a été créée en Espagne, en 1960, par le professeur Alfonso Caycedo. Ses travaux s’inspirent de différents concepts et méthodes thérapeutiques, principalement basés sur le psychique (l’hypnose, la phénoménologie, la psychanalyse, etc.), mais également sur le physique (la relaxation, le yoga, etc.). L’influence apportée par toutes ces recherches lui permet de forger sa conviction que la conscience d’un individu doit être abordée par les « deux portes d’entrée » que sont le mental et le corps. Partant de ses travaux, d’autres professionnels de santé ont développé leur propre courant.
Activer le changement avec la sophrologie?
En sophrologie, des techniques sont utilisées afin d’associer la détente musculaire à des exercices de respiration, ainsi qu’à des représentations mentales. D'après l'ouvrage collectif de l'A-MCA, les techniques proposées ont vocation à mobiliser les capacités, les ressources ou les valeurs des personnes. La sophrologie a également pour but de faciliter l’écoute de ses propres ressentis, permettant d'identifier son état ainsi que les ressources internes à disposition pour activer un changement. Autrement dit, ce processus inhérent à la sophrologie permet de développer une meilleure conscience de soi-même. "La sophrologie - comme chaque pratique complémentaire - doit exclusivement être proposée en complément d’une prise en charge médicale, paramédicale et/ou psychologique" précise Véronique SUISSA, Directrice Générale de l'A-MCA. D'après l'ouvrage, la sophrologie cherche à contribuer au bien-être et à améliorer la qualité de vie des personnes qui la pratiquent, en les aidant à mieux vivre au quotidien. Les techniques de sophrologie pouvant s’acquérir, chaque personne est à même de la pratiquer en toute autonomie.
Sophrologie : quels contextes d'utilisations ?
La sophrologie peut notamment être utilisée dans les cabinets de villes auprès de personnes en bonne santé qui expriment le besoin d'être mieux, mais aussi dans les entreprises pour contribuer à la qualité de vie au travail des salariés ou encore en milieu de soin, par des sophrologues spécialisés, et en lien avec les équipes soignantes, dans une logique de bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, vieillissement, handicap). La dimension sociale, préventive et pédagogique de la sophrologie fait d’elle une méthode accessible à tous, dès lors où elle est proposée par un sophrologue qualifié. "Un sophrologue qui intervient auprès de personnes fragilisées par l'âge ou la maladie n'est pas le même sophrologue qui intervient pour le bien-être des usagers en bonne santé : il doit être spécialisé et détenir des formations complémentaires" précise Véronique SUISSA. Comme l'indique la Directrice de l'A-MCA, "La sophrologie fait l'objet d'une acceptation sociale et médicale mais elle n'est ni réglementée par la loi ni validée par la science. La déployer a du sens dès lors où on reste attentif aux qualifications du sophrologue et aux objectifs visés". Avant de conclure : "Toutes les pratiques complémentaires doivent être fondées sur le respect de la personne humaine et de ce qu'elle ressent tout en respectant leur singularité et leur liberté, a fortiori pour les personnes fragiles".
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Sophrologie : un peu d’histoire
La sophrologie a été créée en Espagne, en 1960, par le professeur Alfonso Caycedo. Ses travaux s’inspirent de différents concepts et méthodes thérapeutiques, principalement basés sur le psychique (l’hypnose, la phénoménologie, la psychanalyse, etc.), mais également sur le physique (la relaxation, le yoga, etc.). L’influence apportée par toutes ces recherches lui permet de forger sa conviction que la conscience d’un individu doit être abordée par les « deux portes d’entrée » que sont le mental et le corps. Partant de ses travaux, d’autres professionnels de santé ont développé leur propre courant.
Activer le changement avec la sophrologie?
En sophrologie, des techniques sont utilisées afin d’associer la détente musculaire à des exercices de respiration, ainsi qu’à des représentations mentales. D'après l'ouvrage collectif de l'A-MCA, les techniques proposées ont vocation à mobiliser les capacités, les ressources ou les valeurs des personnes. La sophrologie a également pour but de faciliter l’écoute de ses propres ressentis, permettant d'identifier son état ainsi que les ressources internes à disposition pour activer un changement. Autrement dit, ce processus inhérent à la sophrologie permet de développer une meilleure conscience de soi-même. "La sophrologie - comme chaque pratique complémentaire - doit exclusivement être proposée en complément d’une prise en charge médicale, paramédicale et/ou psychologique" précise Véronique SUISSA, Directrice Générale de l'A-MCA. D'après l'ouvrage, la sophrologie cherche à contribuer au bien-être et à améliorer la qualité de vie des personnes qui la pratiquent, en les aidant à mieux vivre au quotidien. Les techniques de sophrologie pouvant s’acquérir, chaque personne est à même de la pratiquer en toute autonomie.
Sophrologie : quels contextes d'utilisations ?
La sophrologie peut notamment être utilisée dans les cabinets de villes auprès de personnes en bonne santé qui expriment le besoin d'être mieux, mais aussi dans les entreprises pour contribuer à la qualité de vie au travail des salariés ou encore en milieu de soin, par des sophrologues spécialisés, et en lien avec les équipes soignantes, dans une logique de bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, vieillissement, handicap). La dimension sociale, préventive et pédagogique de la sophrologie fait d’elle une méthode accessible à tous, dès lors où elle est proposée par un sophrologue qualifié. "Un sophrologue qui intervient auprès de personnes fragilisées par l'âge ou la maladie n'est pas le même sophrologue qui intervient pour le bien-être des usagers en bonne santé : il doit être spécialisé et détenir des formations complémentaires" précise Véronique SUISSA. Comme l'indique la Directrice de l'A-MCA, "La sophrologie fait l'objet d'une acceptation sociale et médicale mais elle n'est ni réglementée par la loi ni validée par la science. La déployer a du sens dès lors où on reste attentif aux qualifications du sophrologue et aux objectifs visés". Avant de conclure : "Toutes les pratiques complémentaires doivent être fondées sur le respect de la personne humaine et de ce qu'elle ressent tout en respectant leur singularité et leur liberté, a fortiori pour les personnes fragiles".
La sophrologie est une pratique complémentaire de nature psychocorporelle, impliquant à la fois des exercices de relaxation et des temps de verbalisation de ses ressentis, d'après l’ouvrage Les 20 grandes questions pour comprendre la sophrologie (Ed.Michalon) coordonné par les fondateurs de l'Agence des Médecines Complémentaires Adaptées (A-MCA). L’objectif avec la sophrologie est de développer son potentiel et de renforcer un bien-être au quotidien.
Sophrologie : un peu d’histoire
La sophrologie a été créée en Espagne, en 1960, par le professeur Alfonso Caycedo. Ses travaux s’inspirent de différents concepts et méthodes thérapeutiques, principalement basés sur le psychique (l’hypnose, la phénoménologie, la psychanalyse, etc.), mais également sur le physique (la relaxation, le yoga, etc.). L’influence apportée par toutes ces recherches lui permet de forger sa conviction que la conscience d’un individu doit être abordée par les « deux portes d’entrée » que sont le mental et le corps. Partant de ses travaux, d’autres professionnels de santé ont développé leur propre courant.
Activer le changement avec la sophrologie?
En sophrologie, des techniques sont utilisées afin d’associer la détente musculaire à des exercices de respiration, ainsi qu’à des représentations mentales. D'après l'ouvrage collectif de l'A-MCA, les techniques proposées ont vocation à mobiliser les capacités, les ressources ou les valeurs des personnes. La sophrologie a également pour but de faciliter l’écoute de ses propres ressentis, permettant d'identifier son état ainsi que les ressources internes à disposition pour activer un changement. Autrement dit, ce processus inhérent à la sophrologie permet de développer une meilleure conscience de soi-même. "La sophrologie - comme chaque pratique complémentaire - doit exclusivement être proposée en complément d’une prise en charge médicale, paramédicale et/ou psychologique" précise Véronique SUISSA, Directrice Générale de l'A-MCA. D'après l'ouvrage, la sophrologie cherche à contribuer au bien-être et à améliorer la qualité de vie des personnes qui la pratiquent, en les aidant à mieux vivre au quotidien. Les techniques de sophrologie pouvant s’acquérir, chaque personne est à même de la pratiquer en toute autonomie.
Sophrologie : quels contextes d'utilisations ?
La sophrologie peut notamment être utilisée dans les cabinets de villes auprès de personnes en bonne santé qui expriment le besoin d'être mieux, mais aussi dans les entreprises pour contribuer à la qualité de vie au travail des salariés ou encore en milieu de soin, par des sophrologues spécialisés, et en lien avec les équipes soignantes, dans une logique de bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, vieillissement, handicap). La dimension sociale, préventive et pédagogique de la sophrologie fait d’elle une méthode accessible à tous, dès lors où elle est proposée par un sophrologue qualifié. "Un sophrologue qui intervient auprès de personnes fragilisées par l'âge ou la maladie n'est pas le même sophrologue qui intervient pour le bien-être des usagers en bonne santé : il doit être spécialisé et détenir des formations complémentaires" précise Véronique SUISSA. Comme l'indique la Directrice de l'A-MCA, "La sophrologie fait l'objet d'une acceptation sociale et médicale mais elle n'est ni réglementée par la loi ni validée par la science. La déployer a du sens dès lors où on reste attentif aux qualifications du sophrologue et aux objectifs visés". Avant de conclure : "Toutes les pratiques complémentaires doivent être fondées sur le respect de la personne humaine et de ce qu'elle ressent tout en respectant leur singularité et leur liberté, a fortiori pour les personnes fragiles".