Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Comme dans de nombreuses structures, les problématiques rencontrées au sein des établissements de l’AAAS ont été aggravées par la crise de la COVID-19 : impact de l’absentéisme, travail en équipes réduites, sollicitation accrue des personnels présents, surinvestissement au-delà de leurs missions habituelles, conditions de travail dégradées. Dans ce contexte, le recours aux MCA peut constituer une réponse aux problématiques soulevées.
Aussi, ce projet affiche un triple objectif :
Les trois pratiques proposées concernent des approches de soins complémentaires reconnues, c’est-à-dire pour lesquelles les formations des praticiens sont reconnues.
Ce projet vise ainsi à concilier l’amélioration des conditions de travail pour les employés et d’adapter la vie quotidienne au travail des salariés exerçant en Ehpad afin de tendre vers une amélioration de leur qualité de vie au travail. Ce qui ne peut qu’être bénéfique également pour le groupe AAAS, ainsi qu’à l’échelle macro, pour les mutuelles et les pouvoirs publics avec une réduction des coûts de prise en charge induit par l’amélioration de la qualité de vie.
Ce projet se déploie sur l’année scolaire 2021-2022 au sein des trois Ehpad du groupe AAAS, pour l’ensemble des salariés majeurs des structures, sur la base du volontariat. Les activités proposées ont été réparties selon les besoins identifiés du personnel soignant et non-soignant. En début et en fin de projet, chaque participant a dû répondre à un questionnaire auto-rapporté élaboré par l’A-MCA, concernant la satisfaction et le retour sur chaque intervention. Un suivi régulier des intervenants a été également effectué par le coordinateur en charge du projet afin de pouvoir ajuster le projet au plus près des besoins du terrain. A l’issue du projet, le coordinateur A-MCA, en lien avec les structures bénéficiaires et les intervenants, a réalisé un bilan contenant une évaluation quantitative et qualitative des apports. Un rapport de fin de projet est également rendu à l’AAAS afin d’en exposer le bilan et de discuter des différentes perspectives possibles pour l’ensemble des acteurs impliqués.
Pour la mise en œuvre de ce projet, l’A-MCA et l’AAAS ont répondu à un appel d’offres de la Fondation de France portant sur des projets de terrain visant à améliorer le bien-être des soignants et ont, dans ce cadre, obtenu son soutien moral et financier.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Comme dans de nombreuses structures, les problématiques rencontrées au sein des établissements de l’AAAS ont été aggravées par la crise de la COVID-19 : impact de l’absentéisme, travail en équipes réduites, sollicitation accrue des personnels présents, surinvestissement au-delà de leurs missions habituelles, conditions de travail dégradées. Dans ce contexte, le recours aux MCA peut constituer une réponse aux problématiques soulevées.
Aussi, ce projet affiche un triple objectif :
Les trois pratiques proposées concernent des approches de soins complémentaires reconnues, c’est-à-dire pour lesquelles les formations des praticiens sont reconnues.
Ce projet vise ainsi à concilier l’amélioration des conditions de travail pour les employés et d’adapter la vie quotidienne au travail des salariés exerçant en Ehpad afin de tendre vers une amélioration de leur qualité de vie au travail. Ce qui ne peut qu’être bénéfique également pour le groupe AAAS, ainsi qu’à l’échelle macro, pour les mutuelles et les pouvoirs publics avec une réduction des coûts de prise en charge induit par l’amélioration de la qualité de vie.
Ce projet se déploie sur l’année scolaire 2021-2022 au sein des trois Ehpad du groupe AAAS, pour l’ensemble des salariés majeurs des structures, sur la base du volontariat. Les activités proposées ont été réparties selon les besoins identifiés du personnel soignant et non-soignant. En début et en fin de projet, chaque participant a dû répondre à un questionnaire auto-rapporté élaboré par l’A-MCA, concernant la satisfaction et le retour sur chaque intervention. Un suivi régulier des intervenants a été également effectué par le coordinateur en charge du projet afin de pouvoir ajuster le projet au plus près des besoins du terrain. A l’issue du projet, le coordinateur A-MCA, en lien avec les structures bénéficiaires et les intervenants, a réalisé un bilan contenant une évaluation quantitative et qualitative des apports. Un rapport de fin de projet est également rendu à l’AAAS afin d’en exposer le bilan et de discuter des différentes perspectives possibles pour l’ensemble des acteurs impliqués.
Pour la mise en œuvre de ce projet, l’A-MCA et l’AAAS ont répondu à un appel d’offres de la Fondation de France portant sur des projets de terrain visant à améliorer le bien-être des soignants et ont, dans ce cadre, obtenu son soutien moral et financier.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Comme dans de nombreuses structures, les problématiques rencontrées au sein des établissements de l’AAAS ont été aggravées par la crise de la COVID-19 : impact de l’absentéisme, travail en équipes réduites, sollicitation accrue des personnels présents, surinvestissement au-delà de leurs missions habituelles, conditions de travail dégradées. Dans ce contexte, le recours aux MCA peut constituer une réponse aux problématiques soulevées.
Aussi, ce projet affiche un triple objectif :
Les trois pratiques proposées concernent des approches de soins complémentaires reconnues, c’est-à-dire pour lesquelles les formations des praticiens sont reconnues.
Ce projet vise ainsi à concilier l’amélioration des conditions de travail pour les employés et d’adapter la vie quotidienne au travail des salariés exerçant en Ehpad afin de tendre vers une amélioration de leur qualité de vie au travail. Ce qui ne peut qu’être bénéfique également pour le groupe AAAS, ainsi qu’à l’échelle macro, pour les mutuelles et les pouvoirs publics avec une réduction des coûts de prise en charge induit par l’amélioration de la qualité de vie.
Ce projet se déploie sur l’année scolaire 2021-2022 au sein des trois Ehpad du groupe AAAS, pour l’ensemble des salariés majeurs des structures, sur la base du volontariat. Les activités proposées ont été réparties selon les besoins identifiés du personnel soignant et non-soignant. En début et en fin de projet, chaque participant a dû répondre à un questionnaire auto-rapporté élaboré par l’A-MCA, concernant la satisfaction et le retour sur chaque intervention. Un suivi régulier des intervenants a été également effectué par le coordinateur en charge du projet afin de pouvoir ajuster le projet au plus près des besoins du terrain. A l’issue du projet, le coordinateur A-MCA, en lien avec les structures bénéficiaires et les intervenants, a réalisé un bilan contenant une évaluation quantitative et qualitative des apports. Un rapport de fin de projet est également rendu à l’AAAS afin d’en exposer le bilan et de discuter des différentes perspectives possibles pour l’ensemble des acteurs impliqués.
Pour la mise en œuvre de ce projet, l’A-MCA et l’AAAS ont répondu à un appel d’offres de la Fondation de France portant sur des projets de terrain visant à améliorer le bien-être des soignants et ont, dans ce cadre, obtenu son soutien moral et financier.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Comme dans de nombreuses structures, les problématiques rencontrées au sein des établissements de l’AAAS ont été aggravées par la crise de la COVID-19 : impact de l’absentéisme, travail en équipes réduites, sollicitation accrue des personnels présents, surinvestissement au-delà de leurs missions habituelles, conditions de travail dégradées. Dans ce contexte, le recours aux MCA peut constituer une réponse aux problématiques soulevées.
Aussi, ce projet affiche un triple objectif :
Les trois pratiques proposées concernent des approches de soins complémentaires reconnues, c’est-à-dire pour lesquelles les formations des praticiens sont reconnues.
Ce projet vise ainsi à concilier l’amélioration des conditions de travail pour les employés et d’adapter la vie quotidienne au travail des salariés exerçant en Ehpad afin de tendre vers une amélioration de leur qualité de vie au travail. Ce qui ne peut qu’être bénéfique également pour le groupe AAAS, ainsi qu’à l’échelle macro, pour les mutuelles et les pouvoirs publics avec une réduction des coûts de prise en charge induit par l’amélioration de la qualité de vie.
Ce projet se déploie sur l’année scolaire 2021-2022 au sein des trois Ehpad du groupe AAAS, pour l’ensemble des salariés majeurs des structures, sur la base du volontariat. Les activités proposées ont été réparties selon les besoins identifiés du personnel soignant et non-soignant. En début et en fin de projet, chaque participant a dû répondre à un questionnaire auto-rapporté élaboré par l’A-MCA, concernant la satisfaction et le retour sur chaque intervention. Un suivi régulier des intervenants a été également effectué par le coordinateur en charge du projet afin de pouvoir ajuster le projet au plus près des besoins du terrain. A l’issue du projet, le coordinateur A-MCA, en lien avec les structures bénéficiaires et les intervenants, a réalisé un bilan contenant une évaluation quantitative et qualitative des apports. Un rapport de fin de projet est également rendu à l’AAAS afin d’en exposer le bilan et de discuter des différentes perspectives possibles pour l’ensemble des acteurs impliqués.
Pour la mise en œuvre de ce projet, l’A-MCA et l’AAAS ont répondu à un appel d’offres de la Fondation de France portant sur des projets de terrain visant à améliorer le bien-être des soignants et ont, dans ce cadre, obtenu son soutien moral et financier.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Comme dans de nombreuses structures, les problématiques rencontrées au sein des établissements de l’AAAS ont été aggravées par la crise de la COVID-19 : impact de l’absentéisme, travail en équipes réduites, sollicitation accrue des personnels présents, surinvestissement au-delà de leurs missions habituelles, conditions de travail dégradées. Dans ce contexte, le recours aux MCA peut constituer une réponse aux problématiques soulevées.
Aussi, ce projet affiche un triple objectif :
Les trois pratiques proposées concernent des approches de soins complémentaires reconnues, c’est-à-dire pour lesquelles les formations des praticiens sont reconnues.
Ce projet vise ainsi à concilier l’amélioration des conditions de travail pour les employés et d’adapter la vie quotidienne au travail des salariés exerçant en Ehpad afin de tendre vers une amélioration de leur qualité de vie au travail. Ce qui ne peut qu’être bénéfique également pour le groupe AAAS, ainsi qu’à l’échelle macro, pour les mutuelles et les pouvoirs publics avec une réduction des coûts de prise en charge induit par l’amélioration de la qualité de vie.
Ce projet se déploie sur l’année scolaire 2021-2022 au sein des trois Ehpad du groupe AAAS, pour l’ensemble des salariés majeurs des structures, sur la base du volontariat. Les activités proposées ont été réparties selon les besoins identifiés du personnel soignant et non-soignant. En début et en fin de projet, chaque participant a dû répondre à un questionnaire auto-rapporté élaboré par l’A-MCA, concernant la satisfaction et le retour sur chaque intervention. Un suivi régulier des intervenants a été également effectué par le coordinateur en charge du projet afin de pouvoir ajuster le projet au plus près des besoins du terrain. A l’issue du projet, le coordinateur A-MCA, en lien avec les structures bénéficiaires et les intervenants, a réalisé un bilan contenant une évaluation quantitative et qualitative des apports. Un rapport de fin de projet est également rendu à l’AAAS afin d’en exposer le bilan et de discuter des différentes perspectives possibles pour l’ensemble des acteurs impliqués.
Pour la mise en œuvre de ce projet, l’A-MCA et l’AAAS ont répondu à un appel d’offres de la Fondation de France portant sur des projets de terrain visant à améliorer le bien-être des soignants et ont, dans ce cadre, obtenu son soutien moral et financier.
Dans le cadre d’un partenariat soutenu par la Fondation de France, l’A-MCA et l’Association Arménienne d’Aide Sociale (AAAS), qui assure la gestion de trois Etablissements d’hébergements pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) dans le Val d’Oise et dans le Var, travaillent ensemble sur le mieux-être des salariés en leur proposant de s’inscrire dans des activités faisant appel aux médecines complémentaires et approches non médicamenteuses.
Pénibilité physique, déficit de valorisation des métiers, ratios d’encadrements institutionnels structurellement insuffisants, risques psychosociaux, aggravation de la perte d’autonomie, prise en charge de la grande dépendance, réduction de la durée moyenne des séjours, recul de l’âge d’entrée en institution avec des pathologies lourdes liées au vieillissement : les difficultés des salariés en Ehpad sont multifactorielles. Pour y faire face, l’AAAS, qui a déjà investi dans les thérapies non médicamenteuses pour ses résidents, propose des actions ciblées pour soutenir ses salariés. Pour mettre en œuvre cet objectif, elle s’est tournée vers l’A-MCA, séduite par son approche transverse, ses compétences reconnues et la diversité de ses acteurs dans l’écosystème des MCA.
Comme dans de nombreuses structures, les problématiques rencontrées au sein des établissements de l’AAAS ont été aggravées par la crise de la COVID-19 : impact de l’absentéisme, travail en équipes réduites, sollicitation accrue des personnels présents, surinvestissement au-delà de leurs missions habituelles, conditions de travail dégradées. Dans ce contexte, le recours aux MCA peut constituer une réponse aux problématiques soulevées.
Aussi, ce projet affiche un triple objectif :
Les trois pratiques proposées concernent des approches de soins complémentaires reconnues, c’est-à-dire pour lesquelles les formations des praticiens sont reconnues.
Ce projet vise ainsi à concilier l’amélioration des conditions de travail pour les employés et d’adapter la vie quotidienne au travail des salariés exerçant en Ehpad afin de tendre vers une amélioration de leur qualité de vie au travail. Ce qui ne peut qu’être bénéfique également pour le groupe AAAS, ainsi qu’à l’échelle macro, pour les mutuelles et les pouvoirs publics avec une réduction des coûts de prise en charge induit par l’amélioration de la qualité de vie.
Ce projet se déploie sur l’année scolaire 2021-2022 au sein des trois Ehpad du groupe AAAS, pour l’ensemble des salariés majeurs des structures, sur la base du volontariat. Les activités proposées ont été réparties selon les besoins identifiés du personnel soignant et non-soignant. En début et en fin de projet, chaque participant a dû répondre à un questionnaire auto-rapporté élaboré par l’A-MCA, concernant la satisfaction et le retour sur chaque intervention. Un suivi régulier des intervenants a été également effectué par le coordinateur en charge du projet afin de pouvoir ajuster le projet au plus près des besoins du terrain. A l’issue du projet, le coordinateur A-MCA, en lien avec les structures bénéficiaires et les intervenants, a réalisé un bilan contenant une évaluation quantitative et qualitative des apports. Un rapport de fin de projet est également rendu à l’AAAS afin d’en exposer le bilan et de discuter des différentes perspectives possibles pour l’ensemble des acteurs impliqués.
Pour la mise en œuvre de ce projet, l’A-MCA et l’AAAS ont répondu à un appel d’offres de la Fondation de France portant sur des projets de terrain visant à améliorer le bien-être des soignants et ont, dans ce cadre, obtenu son soutien moral et financier.