Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Ces techniques reposent sur les croyances des praticiens qui les appliquent. « En voulant imposer leurs croyances aux autres, ils se révèlent être dans la dérive thérapeutique », explique A. WARUSFEL, psychologue clinicienne.
C’est le cas, par exemple, de ceux qui considèrent qu’une maladie est la résultante d’un conflit émotionnel, qu’elle est née à la suite d’un choc psychologique. De fait, pour guérir, il faut avant tout agir sur le psychique. D’autres considèrent qu’elle est liée à un conflit intrafamilial. Le danger : le praticien décourage le patient à suivre un traitement curatif pour ne privilégier que l’approche psychologique. L’un des exemples le plus parlant est la « méthode du Dr Hamer », fondateur de la nouvelle médecine germanique.
Les sectes ont une autre approche reposant dans un premier temps sur l’isolement de la personne via la manipulation. « Généralement les pratiquants de ce type de dérive tiennent un discours selon lequel la famille et les amis sont toxiques, générateurs de maladies. De fait, selon eux, la meilleure façon de s’en prémunir et de se soigner, est de les quitter, souligne la psychologue. Dès lors que la personne s’isole, le praticien va pouvoir la manipuler. »
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Ces techniques reposent sur les croyances des praticiens qui les appliquent. « En voulant imposer leurs croyances aux autres, ils se révèlent être dans la dérive thérapeutique », explique A. WARUSFEL, psychologue clinicienne.
C’est le cas, par exemple, de ceux qui considèrent qu’une maladie est la résultante d’un conflit émotionnel, qu’elle est née à la suite d’un choc psychologique. De fait, pour guérir, il faut avant tout agir sur le psychique. D’autres considèrent qu’elle est liée à un conflit intrafamilial. Le danger : le praticien décourage le patient à suivre un traitement curatif pour ne privilégier que l’approche psychologique. L’un des exemples le plus parlant est la « méthode du Dr Hamer », fondateur de la nouvelle médecine germanique.
Les sectes ont une autre approche reposant dans un premier temps sur l’isolement de la personne via la manipulation. « Généralement les pratiquants de ce type de dérive tiennent un discours selon lequel la famille et les amis sont toxiques, générateurs de maladies. De fait, selon eux, la meilleure façon de s’en prémunir et de se soigner, est de les quitter, souligne la psychologue. Dès lors que la personne s’isole, le praticien va pouvoir la manipuler. »
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Ces techniques reposent sur les croyances des praticiens qui les appliquent. « En voulant imposer leurs croyances aux autres, ils se révèlent être dans la dérive thérapeutique », explique A. WARUSFEL, psychologue clinicienne.
C’est le cas, par exemple, de ceux qui considèrent qu’une maladie est la résultante d’un conflit émotionnel, qu’elle est née à la suite d’un choc psychologique. De fait, pour guérir, il faut avant tout agir sur le psychique. D’autres considèrent qu’elle est liée à un conflit intrafamilial. Le danger : le praticien décourage le patient à suivre un traitement curatif pour ne privilégier que l’approche psychologique. L’un des exemples le plus parlant est la « méthode du Dr Hamer », fondateur de la nouvelle médecine germanique.
Les sectes ont une autre approche reposant dans un premier temps sur l’isolement de la personne via la manipulation. « Généralement les pratiquants de ce type de dérive tiennent un discours selon lequel la famille et les amis sont toxiques, générateurs de maladies. De fait, selon eux, la meilleure façon de s’en prémunir et de se soigner, est de les quitter, souligne la psychologue. Dès lors que la personne s’isole, le praticien va pouvoir la manipuler. »
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Ces techniques reposent sur les croyances des praticiens qui les appliquent. « En voulant imposer leurs croyances aux autres, ils se révèlent être dans la dérive thérapeutique », explique A. WARUSFEL, psychologue clinicienne.
C’est le cas, par exemple, de ceux qui considèrent qu’une maladie est la résultante d’un conflit émotionnel, qu’elle est née à la suite d’un choc psychologique. De fait, pour guérir, il faut avant tout agir sur le psychique. D’autres considèrent qu’elle est liée à un conflit intrafamilial. Le danger : le praticien décourage le patient à suivre un traitement curatif pour ne privilégier que l’approche psychologique. L’un des exemples le plus parlant est la « méthode du Dr Hamer », fondateur de la nouvelle médecine germanique.
Les sectes ont une autre approche reposant dans un premier temps sur l’isolement de la personne via la manipulation. « Généralement les pratiquants de ce type de dérive tiennent un discours selon lequel la famille et les amis sont toxiques, générateurs de maladies. De fait, selon eux, la meilleure façon de s’en prémunir et de se soigner, est de les quitter, souligne la psychologue. Dès lors que la personne s’isole, le praticien va pouvoir la manipuler. »
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Ces techniques reposent sur les croyances des praticiens qui les appliquent. « En voulant imposer leurs croyances aux autres, ils se révèlent être dans la dérive thérapeutique », explique A. WARUSFEL, psychologue clinicienne.
C’est le cas, par exemple, de ceux qui considèrent qu’une maladie est la résultante d’un conflit émotionnel, qu’elle est née à la suite d’un choc psychologique. De fait, pour guérir, il faut avant tout agir sur le psychique. D’autres considèrent qu’elle est liée à un conflit intrafamilial. Le danger : le praticien décourage le patient à suivre un traitement curatif pour ne privilégier que l’approche psychologique. L’un des exemples le plus parlant est la « méthode du Dr Hamer », fondateur de la nouvelle médecine germanique.
Les sectes ont une autre approche reposant dans un premier temps sur l’isolement de la personne via la manipulation. « Généralement les pratiquants de ce type de dérive tiennent un discours selon lequel la famille et les amis sont toxiques, générateurs de maladies. De fait, selon eux, la meilleure façon de s’en prémunir et de se soigner, est de les quitter, souligne la psychologue. Dès lors que la personne s’isole, le praticien va pouvoir la manipuler. »
Dans le domaine des médecines complémentaires et alternatives, gare aux pratiques psychologisantes, qui sont principalement de deux ordres.
Ces techniques reposent sur les croyances des praticiens qui les appliquent. « En voulant imposer leurs croyances aux autres, ils se révèlent être dans la dérive thérapeutique », explique A. WARUSFEL, psychologue clinicienne.
C’est le cas, par exemple, de ceux qui considèrent qu’une maladie est la résultante d’un conflit émotionnel, qu’elle est née à la suite d’un choc psychologique. De fait, pour guérir, il faut avant tout agir sur le psychique. D’autres considèrent qu’elle est liée à un conflit intrafamilial. Le danger : le praticien décourage le patient à suivre un traitement curatif pour ne privilégier que l’approche psychologique. L’un des exemples le plus parlant est la « méthode du Dr Hamer », fondateur de la nouvelle médecine germanique.
Les sectes ont une autre approche reposant dans un premier temps sur l’isolement de la personne via la manipulation. « Généralement les pratiquants de ce type de dérive tiennent un discours selon lequel la famille et les amis sont toxiques, générateurs de maladies. De fait, selon eux, la meilleure façon de s’en prémunir et de se soigner, est de les quitter, souligne la psychologue. Dès lors que la personne s’isole, le praticien va pouvoir la manipuler. »