Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La posture professionnelle est un élément essentiel dans tout métier, en particulier dans le secteur du bien-être. Bien que les pratiques bien-être soient de plus en plus plébiscitées en France, elles restent largement non réglementées. Face à cette absence de cadre officiel, diverses organisations professionnelles ont pris l'initiative d'établir des lignes de conduite strictes pour leurs membres, garantissant le respect de normes éthiques et morales.
Cette conférence souligne l'importance d'une pratique conforme aux certifications et aux compétences acquises. Dans son intervention, ÉlisabethBreton examine également les risques de déviation de cette posture professionnelle, malgré le cadre établi, et détaille comment les praticiens du bien-être peuvent la préserver.
Cette conférence aborde le problème de l'essor incontrôlé de praticiens insuffisamment formés, souvent à l'origine de dérives multiples, volontaires ou involontaires, de nature thérapeutique ou sectaire. Elle met en avant la manière dont l'instauration de normes et de réglementations strictes et obligatoires contribue à assurer la qualité et la sécurité des interventions dans le domaine du bien-être.
Certaines disciplines (ostéopathie, sophrologie) ont déjà fait l'objet d'établissement de normes, d'autres sont en cours d'élaboration (réflexologie, naturopathie). Selon Élisabeth Breton, la norme volontaire est un outil utile pour les professionnels du bien-être. Elle offre un cadre pour standardiser ces pratiques avec l'objectif de les réglementer efficacement et de prévenir les dérives potentielles.
Accès sur inscription obligatoire (Vous munir du n° de référence de la commande de votre carte d'adhérent pour appliquer la réduction)
Réservée aux praticiens
Coût pour les "membres praticiens" du Club : 17€
Coût pour les non-membres : 38€
Lieu/date : en visioconférence (réception du lien par mail) le mardi 22 octobre de 11h30 à 12h30.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La posture professionnelle est un élément essentiel dans tout métier, en particulier dans le secteur du bien-être. Bien que les pratiques bien-être soient de plus en plus plébiscitées en France, elles restent largement non réglementées. Face à cette absence de cadre officiel, diverses organisations professionnelles ont pris l'initiative d'établir des lignes de conduite strictes pour leurs membres, garantissant le respect de normes éthiques et morales.
Cette conférence souligne l'importance d'une pratique conforme aux certifications et aux compétences acquises. Dans son intervention, ÉlisabethBreton examine également les risques de déviation de cette posture professionnelle, malgré le cadre établi, et détaille comment les praticiens du bien-être peuvent la préserver.
Cette conférence aborde le problème de l'essor incontrôlé de praticiens insuffisamment formés, souvent à l'origine de dérives multiples, volontaires ou involontaires, de nature thérapeutique ou sectaire. Elle met en avant la manière dont l'instauration de normes et de réglementations strictes et obligatoires contribue à assurer la qualité et la sécurité des interventions dans le domaine du bien-être.
Certaines disciplines (ostéopathie, sophrologie) ont déjà fait l'objet d'établissement de normes, d'autres sont en cours d'élaboration (réflexologie, naturopathie). Selon Élisabeth Breton, la norme volontaire est un outil utile pour les professionnels du bien-être. Elle offre un cadre pour standardiser ces pratiques avec l'objectif de les réglementer efficacement et de prévenir les dérives potentielles.
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Réservée aux praticiens
Coût pour les "membres praticiens" du Club : 17€
Coût pour les non-membres : 38€
Lieu/date : en visioconférence (réception du lien par mail) le mardi 22 octobre de 11h30 à 12h30.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La posture professionnelle est un élément essentiel dans tout métier, en particulier dans le secteur du bien-être. Bien que les pratiques bien-être soient de plus en plus plébiscitées en France, elles restent largement non réglementées. Face à cette absence de cadre officiel, diverses organisations professionnelles ont pris l'initiative d'établir des lignes de conduite strictes pour leurs membres, garantissant le respect de normes éthiques et morales.
Cette conférence souligne l'importance d'une pratique conforme aux certifications et aux compétences acquises. Dans son intervention, ÉlisabethBreton examine également les risques de déviation de cette posture professionnelle, malgré le cadre établi, et détaille comment les praticiens du bien-être peuvent la préserver.
Cette conférence aborde le problème de l'essor incontrôlé de praticiens insuffisamment formés, souvent à l'origine de dérives multiples, volontaires ou involontaires, de nature thérapeutique ou sectaire. Elle met en avant la manière dont l'instauration de normes et de réglementations strictes et obligatoires contribue à assurer la qualité et la sécurité des interventions dans le domaine du bien-être.
Certaines disciplines (ostéopathie, sophrologie) ont déjà fait l'objet d'établissement de normes, d'autres sont en cours d'élaboration (réflexologie, naturopathie). Selon Élisabeth Breton, la norme volontaire est un outil utile pour les professionnels du bien-être. Elle offre un cadre pour standardiser ces pratiques avec l'objectif de les réglementer efficacement et de prévenir les dérives potentielles.
Accès sur inscription obligatoire (Vous munir du n° de référence de la commande de votre carte d'adhérent pour appliquer la réduction)
Réservée aux praticiens
Coût pour les "membres praticiens" du Club : 17€
Coût pour les non-membres : 38€
Lieu/date : en visioconférence (réception du lien par mail) le mardi 22 octobre de 11h30 à 12h30.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
La posture professionnelle est un élément essentiel dans tout métier, en particulier dans le secteur du bien-être. Bien que les pratiques bien-être soient de plus en plus plébiscitées en France, elles restent largement non réglementées. Face à cette absence de cadre officiel, diverses organisations professionnelles ont pris l'initiative d'établir des lignes de conduite strictes pour leurs membres, garantissant le respect de normes éthiques et morales.
Cette conférence souligne l'importance d'une pratique conforme aux certifications et aux compétences acquises. Dans son intervention, ÉlisabethBreton examine également les risques de déviation de cette posture professionnelle, malgré le cadre établi, et détaille comment les praticiens du bien-être peuvent la préserver.
Cette conférence aborde le problème de l'essor incontrôlé de praticiens insuffisamment formés, souvent à l'origine de dérives multiples, volontaires ou involontaires, de nature thérapeutique ou sectaire. Elle met en avant la manière dont l'instauration de normes et de réglementations strictes et obligatoires contribue à assurer la qualité et la sécurité des interventions dans le domaine du bien-être.
Certaines disciplines (ostéopathie, sophrologie) ont déjà fait l'objet d'établissement de normes, d'autres sont en cours d'élaboration (réflexologie, naturopathie). Selon Élisabeth Breton, la norme volontaire est un outil utile pour les professionnels du bien-être. Elle offre un cadre pour standardiser ces pratiques avec l'objectif de les réglementer efficacement et de prévenir les dérives potentielles.
Accès sur inscription obligatoire (Vous munir du n° de référence de la commande de votre carte d'adhérent pour appliquer la réduction)
Réservée aux praticiens
Coût pour les "membres praticiens" du Club : 17€
Coût pour les non-membres : 38€
Lieu/date : en visioconférence (réception du lien par mail) le mardi 22 octobre de 11h30 à 12h30.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
La posture professionnelle est un élément essentiel dans tout métier, en particulier dans le secteur du bien-être. Bien que les pratiques bien-être soient de plus en plus plébiscitées en France, elles restent largement non réglementées. Face à cette absence de cadre officiel, diverses organisations professionnelles ont pris l'initiative d'établir des lignes de conduite strictes pour leurs membres, garantissant le respect de normes éthiques et morales.
Cette conférence souligne l'importance d'une pratique conforme aux certifications et aux compétences acquises. Dans son intervention, ÉlisabethBreton examine également les risques de déviation de cette posture professionnelle, malgré le cadre établi, et détaille comment les praticiens du bien-être peuvent la préserver.
Cette conférence aborde le problème de l'essor incontrôlé de praticiens insuffisamment formés, souvent à l'origine de dérives multiples, volontaires ou involontaires, de nature thérapeutique ou sectaire. Elle met en avant la manière dont l'instauration de normes et de réglementations strictes et obligatoires contribue à assurer la qualité et la sécurité des interventions dans le domaine du bien-être.
Certaines disciplines (ostéopathie, sophrologie) ont déjà fait l'objet d'établissement de normes, d'autres sont en cours d'élaboration (réflexologie, naturopathie). Selon Élisabeth Breton, la norme volontaire est un outil utile pour les professionnels du bien-être. Elle offre un cadre pour standardiser ces pratiques avec l'objectif de les réglementer efficacement et de prévenir les dérives potentielles.
Accès sur inscription obligatoire (Vous munir du n° de référence de la commande de votre carte d'adhérent pour appliquer la réduction)
Réservée aux praticiens
Coût pour les "membres praticiens" du Club : 17€
Coût pour les non-membres : 38€
Lieu/date : en visioconférence (réception du lien par mail) le mardi 22 octobre de 11h30 à 12h30.
Le Mardi 22 octobre de 11h30 à 12h30, le Club SAR-CAN organise une visioconférence dédiée à la posture professionnelle dans le bien-être. Cette session, dédiée aux praticiens est animée par Élisabeth BRETON, relaxologue, réflexologue RNCP et praticienne du réseau de l'A-MCA. Elle s’adresse à tous les praticiens et en priorité aux membres du Club SAR-CAN.
Cette conférence vise à sensibiliser les praticiens aux enjeux éthiques spécifiques au domaine du bien-être. Elisabeth BRETON met en lumière les éléments essentiels d'une intervention bien-être réussie afin de guider les participants dans la définition d'une posture professionnelle solide et adaptée à leur pratique.
La posture professionnelle est un élément essentiel dans tout métier, en particulier dans le secteur du bien-être. Bien que les pratiques bien-être soient de plus en plus plébiscitées en France, elles restent largement non réglementées. Face à cette absence de cadre officiel, diverses organisations professionnelles ont pris l'initiative d'établir des lignes de conduite strictes pour leurs membres, garantissant le respect de normes éthiques et morales.
Cette conférence souligne l'importance d'une pratique conforme aux certifications et aux compétences acquises. Dans son intervention, ÉlisabethBreton examine également les risques de déviation de cette posture professionnelle, malgré le cadre établi, et détaille comment les praticiens du bien-être peuvent la préserver.
Cette conférence aborde le problème de l'essor incontrôlé de praticiens insuffisamment formés, souvent à l'origine de dérives multiples, volontaires ou involontaires, de nature thérapeutique ou sectaire. Elle met en avant la manière dont l'instauration de normes et de réglementations strictes et obligatoires contribue à assurer la qualité et la sécurité des interventions dans le domaine du bien-être.
Certaines disciplines (ostéopathie, sophrologie) ont déjà fait l'objet d'établissement de normes, d'autres sont en cours d'élaboration (réflexologie, naturopathie). Selon Élisabeth Breton, la norme volontaire est un outil utile pour les professionnels du bien-être. Elle offre un cadre pour standardiser ces pratiques avec l'objectif de les réglementer efficacement et de prévenir les dérives potentielles.
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Coût pour les "membres praticiens" du Club : 17€
Coût pour les non-membres : 38€
Lieu/date : en visioconférence (réception du lien par mail) le mardi 22 octobre de 11h30 à 12h30.