Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Cette formation accessible sur titre ou sur validation des acquis professionnels et personnels (VAPP) s’adresse aux professions médicales, paramédicales, aux psychologues et aux psychothérapeutes qui souhaitent mieux connaître les pratiques complémentaires en santé et acquérir des bases de pratiques. À l’issue de la formation, les stagiaires seront notamment capables d’utiliser une méthode complémentaire auprès des patients dans un cadre sécuritaire, de pratiquer les bases d’au moins trois grandes pratiques complémentaires ou encore de porter des projets de soins innovants dans les services.
La formation de 140 heures sera dispensée par des intervenants issus du milieu académique et du terrain. Elle sera organisée autour de plusieurs modules : dimensions théoriques des pratiques complémentaires, l’application en santé, le tronc commun des pratiques en santé (socle technique et relationnel) et le suivi de mémoire.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Cette formation accessible sur titre ou sur validation des acquis professionnels et personnels (VAPP) s’adresse aux professions médicales, paramédicales, aux psychologues et aux psychothérapeutes qui souhaitent mieux connaître les pratiques complémentaires en santé et acquérir des bases de pratiques. À l’issue de la formation, les stagiaires seront notamment capables d’utiliser une méthode complémentaire auprès des patients dans un cadre sécuritaire, de pratiquer les bases d’au moins trois grandes pratiques complémentaires ou encore de porter des projets de soins innovants dans les services.
La formation de 140 heures sera dispensée par des intervenants issus du milieu académique et du terrain. Elle sera organisée autour de plusieurs modules : dimensions théoriques des pratiques complémentaires, l’application en santé, le tronc commun des pratiques en santé (socle technique et relationnel) et le suivi de mémoire.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Cette formation accessible sur titre ou sur validation des acquis professionnels et personnels (VAPP) s’adresse aux professions médicales, paramédicales, aux psychologues et aux psychothérapeutes qui souhaitent mieux connaître les pratiques complémentaires en santé et acquérir des bases de pratiques. À l’issue de la formation, les stagiaires seront notamment capables d’utiliser une méthode complémentaire auprès des patients dans un cadre sécuritaire, de pratiquer les bases d’au moins trois grandes pratiques complémentaires ou encore de porter des projets de soins innovants dans les services.
La formation de 140 heures sera dispensée par des intervenants issus du milieu académique et du terrain. Elle sera organisée autour de plusieurs modules : dimensions théoriques des pratiques complémentaires, l’application en santé, le tronc commun des pratiques en santé (socle technique et relationnel) et le suivi de mémoire.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Cette formation accessible sur titre ou sur validation des acquis professionnels et personnels (VAPP) s’adresse aux professions médicales, paramédicales, aux psychologues et aux psychothérapeutes qui souhaitent mieux connaître les pratiques complémentaires en santé et acquérir des bases de pratiques. À l’issue de la formation, les stagiaires seront notamment capables d’utiliser une méthode complémentaire auprès des patients dans un cadre sécuritaire, de pratiquer les bases d’au moins trois grandes pratiques complémentaires ou encore de porter des projets de soins innovants dans les services.
La formation de 140 heures sera dispensée par des intervenants issus du milieu académique et du terrain. Elle sera organisée autour de plusieurs modules : dimensions théoriques des pratiques complémentaires, l’application en santé, le tronc commun des pratiques en santé (socle technique et relationnel) et le suivi de mémoire.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Cette formation accessible sur titre ou sur validation des acquis professionnels et personnels (VAPP) s’adresse aux professions médicales, paramédicales, aux psychologues et aux psychothérapeutes qui souhaitent mieux connaître les pratiques complémentaires en santé et acquérir des bases de pratiques. À l’issue de la formation, les stagiaires seront notamment capables d’utiliser une méthode complémentaire auprès des patients dans un cadre sécuritaire, de pratiquer les bases d’au moins trois grandes pratiques complémentaires ou encore de porter des projets de soins innovants dans les services.
La formation de 140 heures sera dispensée par des intervenants issus du milieu académique et du terrain. Elle sera organisée autour de plusieurs modules : dimensions théoriques des pratiques complémentaires, l’application en santé, le tronc commun des pratiques en santé (socle technique et relationnel) et le suivi de mémoire.
Un nouveau Diplôme d’études supérieures universitaires (DESU) sur les pratiques complémentaires en santé va être accessible aux professionnels de santé à partir de janvier 2023. Porté par l’Université Paris 8, coordonné par Véronique Suissa, il vise à leur permettre d’acquérir des compétences dans le champ des MCA.
Sous la responsabilité scientifique du Pr Marie-Carmen Castillo (Directrice du LPN) et la sous la coordination pédagogique de Véronique SUISSA (Directrice Générale de l’A-MCA), ce DESU « pratiques complémentaires en santé, vers une médecine intégrative et des pratiques inclusives », de niveau Bac+4, a pour objectif de répondre à l’intérêt grandissant de la société pour les médecines alternatives et complémentaires (MCA), de plus en plus intégrées dans les centres de soins. Néanmoins, si certaines méthodes sont validées, d’autres n’ont pas encore fait leurs preuves d’un point de vue scientifique voire peuvent même être sectaires. L’objectif du DESU est donc de former les professionnels de santé aux caractéristiques de ce mouvement complexe et de leur proposer de nouveaux outils thérapeutiques capables d’améliorer le vécu et la qualité de vie des patients.
Cette formation accessible sur titre ou sur validation des acquis professionnels et personnels (VAPP) s’adresse aux professions médicales, paramédicales, aux psychologues et aux psychothérapeutes qui souhaitent mieux connaître les pratiques complémentaires en santé et acquérir des bases de pratiques. À l’issue de la formation, les stagiaires seront notamment capables d’utiliser une méthode complémentaire auprès des patients dans un cadre sécuritaire, de pratiquer les bases d’au moins trois grandes pratiques complémentaires ou encore de porter des projets de soins innovants dans les services.
La formation de 140 heures sera dispensée par des intervenants issus du milieu académique et du terrain. Elle sera organisée autour de plusieurs modules : dimensions théoriques des pratiques complémentaires, l’application en santé, le tronc commun des pratiques en santé (socle technique et relationnel) et le suivi de mémoire.