Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les formations sont donc ouvertes à tous. Mais leur qualité représente un réel enjeu. Le sophrologue est un professionnel de la relation d’aide, qui utilise la sophrologie comme méthode d’accompagnement pour ses clients afin qu’ils mobilisent leurs ressources et leurs capacités personnelles pour faire face aux difficultés qu’ils rencontrent. Cela implique : une capacité d’analyse des informations collectés, l’élaboration d’un parcours d’accompagnement, l’animation de séances et leur ajustement.
Si auparavant les formations étaient très disparates, en 2011, la première certification professionnelle de sophrologue dans le Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP), a officialisé le niveau de qualification du sophrologue et créé le premier référentiel d’activités de ce métier. Il faut rappeller que certes, l’enregistrement d’un titre au RNCP n’est pas en soit un diplôme d’État, mais il est un gage de compétences pour les tiers (clients, médecins, prescripteurs) et la garantie que le processus pédagogique suivi, confère un certain niveau de qualification. C’est d’autant plus important que de nombreux organismes privés proposent des formations « express » ne permettant pas de développer de réelles compétences en sophrologie.
D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart des structures professionnelles ou médicales exigent que les sophrologues soient titulaires d’un titre reconnu lorsqu’elles sollicitent leurs services, tout comme des mutuelles (critères de remboursement).
Par ailleurs, depuis juillet 2021, l’Agence française de la normalisation (AFNOR) a publié au Journal officiel une norme portant sur la « qualité de service du sophrologue ». Elle décrit notamment les domaines d’intervention du sophrologue, ses activités, sa déontologie, ses compétences essentielles. Elle devient ainsi la référence sur laquelle tous les acteurs de la vie publique peuvent à présent se référer pour comprendre ce métier.
Ainsi, le titre RNCP certifie les compétences du sophrologue à l’issue de sa formation et la norme assure la qualité de ses services tout au long de sa vie professionnelle. Attention toutefois car l’installation professionnelle du sophrologue n’est pas réglementée.
Source : Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les formations sont donc ouvertes à tous. Mais leur qualité représente un réel enjeu. Le sophrologue est un professionnel de la relation d’aide, qui utilise la sophrologie comme méthode d’accompagnement pour ses clients afin qu’ils mobilisent leurs ressources et leurs capacités personnelles pour faire face aux difficultés qu’ils rencontrent. Cela implique : une capacité d’analyse des informations collectés, l’élaboration d’un parcours d’accompagnement, l’animation de séances et leur ajustement.
Si auparavant les formations étaient très disparates, en 2011, la première certification professionnelle de sophrologue dans le Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP), a officialisé le niveau de qualification du sophrologue et créé le premier référentiel d’activités de ce métier. Il faut rappeller que certes, l’enregistrement d’un titre au RNCP n’est pas en soit un diplôme d’État, mais il est un gage de compétences pour les tiers (clients, médecins, prescripteurs) et la garantie que le processus pédagogique suivi, confère un certain niveau de qualification. C’est d’autant plus important que de nombreux organismes privés proposent des formations « express » ne permettant pas de développer de réelles compétences en sophrologie.
D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart des structures professionnelles ou médicales exigent que les sophrologues soient titulaires d’un titre reconnu lorsqu’elles sollicitent leurs services, tout comme des mutuelles (critères de remboursement).
Par ailleurs, depuis juillet 2021, l’Agence française de la normalisation (AFNOR) a publié au Journal officiel une norme portant sur la « qualité de service du sophrologue ». Elle décrit notamment les domaines d’intervention du sophrologue, ses activités, sa déontologie, ses compétences essentielles. Elle devient ainsi la référence sur laquelle tous les acteurs de la vie publique peuvent à présent se référer pour comprendre ce métier.
Ainsi, le titre RNCP certifie les compétences du sophrologue à l’issue de sa formation et la norme assure la qualité de ses services tout au long de sa vie professionnelle. Attention toutefois car l’installation professionnelle du sophrologue n’est pas réglementée.
Source : Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les formations sont donc ouvertes à tous. Mais leur qualité représente un réel enjeu. Le sophrologue est un professionnel de la relation d’aide, qui utilise la sophrologie comme méthode d’accompagnement pour ses clients afin qu’ils mobilisent leurs ressources et leurs capacités personnelles pour faire face aux difficultés qu’ils rencontrent. Cela implique : une capacité d’analyse des informations collectés, l’élaboration d’un parcours d’accompagnement, l’animation de séances et leur ajustement.
Si auparavant les formations étaient très disparates, en 2011, la première certification professionnelle de sophrologue dans le Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP), a officialisé le niveau de qualification du sophrologue et créé le premier référentiel d’activités de ce métier. Il faut rappeller que certes, l’enregistrement d’un titre au RNCP n’est pas en soit un diplôme d’État, mais il est un gage de compétences pour les tiers (clients, médecins, prescripteurs) et la garantie que le processus pédagogique suivi, confère un certain niveau de qualification. C’est d’autant plus important que de nombreux organismes privés proposent des formations « express » ne permettant pas de développer de réelles compétences en sophrologie.
D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart des structures professionnelles ou médicales exigent que les sophrologues soient titulaires d’un titre reconnu lorsqu’elles sollicitent leurs services, tout comme des mutuelles (critères de remboursement).
Par ailleurs, depuis juillet 2021, l’Agence française de la normalisation (AFNOR) a publié au Journal officiel une norme portant sur la « qualité de service du sophrologue ». Elle décrit notamment les domaines d’intervention du sophrologue, ses activités, sa déontologie, ses compétences essentielles. Elle devient ainsi la référence sur laquelle tous les acteurs de la vie publique peuvent à présent se référer pour comprendre ce métier.
Ainsi, le titre RNCP certifie les compétences du sophrologue à l’issue de sa formation et la norme assure la qualité de ses services tout au long de sa vie professionnelle. Attention toutefois car l’installation professionnelle du sophrologue n’est pas réglementée.
Source : Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Les formations sont donc ouvertes à tous. Mais leur qualité représente un réel enjeu. Le sophrologue est un professionnel de la relation d’aide, qui utilise la sophrologie comme méthode d’accompagnement pour ses clients afin qu’ils mobilisent leurs ressources et leurs capacités personnelles pour faire face aux difficultés qu’ils rencontrent. Cela implique : une capacité d’analyse des informations collectés, l’élaboration d’un parcours d’accompagnement, l’animation de séances et leur ajustement.
Si auparavant les formations étaient très disparates, en 2011, la première certification professionnelle de sophrologue dans le Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP), a officialisé le niveau de qualification du sophrologue et créé le premier référentiel d’activités de ce métier. Il faut rappeller que certes, l’enregistrement d’un titre au RNCP n’est pas en soit un diplôme d’État, mais il est un gage de compétences pour les tiers (clients, médecins, prescripteurs) et la garantie que le processus pédagogique suivi, confère un certain niveau de qualification. C’est d’autant plus important que de nombreux organismes privés proposent des formations « express » ne permettant pas de développer de réelles compétences en sophrologie.
D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart des structures professionnelles ou médicales exigent que les sophrologues soient titulaires d’un titre reconnu lorsqu’elles sollicitent leurs services, tout comme des mutuelles (critères de remboursement).
Par ailleurs, depuis juillet 2021, l’Agence française de la normalisation (AFNOR) a publié au Journal officiel une norme portant sur la « qualité de service du sophrologue ». Elle décrit notamment les domaines d’intervention du sophrologue, ses activités, sa déontologie, ses compétences essentielles. Elle devient ainsi la référence sur laquelle tous les acteurs de la vie publique peuvent à présent se référer pour comprendre ce métier.
Ainsi, le titre RNCP certifie les compétences du sophrologue à l’issue de sa formation et la norme assure la qualité de ses services tout au long de sa vie professionnelle. Attention toutefois car l’installation professionnelle du sophrologue n’est pas réglementée.
Source : Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Les formations sont donc ouvertes à tous. Mais leur qualité représente un réel enjeu. Le sophrologue est un professionnel de la relation d’aide, qui utilise la sophrologie comme méthode d’accompagnement pour ses clients afin qu’ils mobilisent leurs ressources et leurs capacités personnelles pour faire face aux difficultés qu’ils rencontrent. Cela implique : une capacité d’analyse des informations collectés, l’élaboration d’un parcours d’accompagnement, l’animation de séances et leur ajustement.
Si auparavant les formations étaient très disparates, en 2011, la première certification professionnelle de sophrologue dans le Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP), a officialisé le niveau de qualification du sophrologue et créé le premier référentiel d’activités de ce métier. Il faut rappeller que certes, l’enregistrement d’un titre au RNCP n’est pas en soit un diplôme d’État, mais il est un gage de compétences pour les tiers (clients, médecins, prescripteurs) et la garantie que le processus pédagogique suivi, confère un certain niveau de qualification. C’est d’autant plus important que de nombreux organismes privés proposent des formations « express » ne permettant pas de développer de réelles compétences en sophrologie.
D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart des structures professionnelles ou médicales exigent que les sophrologues soient titulaires d’un titre reconnu lorsqu’elles sollicitent leurs services, tout comme des mutuelles (critères de remboursement).
Par ailleurs, depuis juillet 2021, l’Agence française de la normalisation (AFNOR) a publié au Journal officiel une norme portant sur la « qualité de service du sophrologue ». Elle décrit notamment les domaines d’intervention du sophrologue, ses activités, sa déontologie, ses compétences essentielles. Elle devient ainsi la référence sur laquelle tous les acteurs de la vie publique peuvent à présent se référer pour comprendre ce métier.
Ainsi, le titre RNCP certifie les compétences du sophrologue à l’issue de sa formation et la norme assure la qualité de ses services tout au long de sa vie professionnelle. Attention toutefois car l’installation professionnelle du sophrologue n’est pas réglementée.
Source : Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie
L’exercice du métier de sophrologue implique de suivre une formation adaptée. Depuis quelques années des niveaux de qualification garantissent les compétences des sophrologues. Le point.
Comme l’explique l’ouvrage Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie, l’accès au métier de sophrologue est ouvert à tous, et non réservé aux seules professions médicales. Pourquoi ? Car sa pratique n’oblige pas de poser un diagnostic médical, ni de faire des prescriptions.
Les formations sont donc ouvertes à tous. Mais leur qualité représente un réel enjeu. Le sophrologue est un professionnel de la relation d’aide, qui utilise la sophrologie comme méthode d’accompagnement pour ses clients afin qu’ils mobilisent leurs ressources et leurs capacités personnelles pour faire face aux difficultés qu’ils rencontrent. Cela implique : une capacité d’analyse des informations collectés, l’élaboration d’un parcours d’accompagnement, l’animation de séances et leur ajustement.
Si auparavant les formations étaient très disparates, en 2011, la première certification professionnelle de sophrologue dans le Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP), a officialisé le niveau de qualification du sophrologue et créé le premier référentiel d’activités de ce métier. Il faut rappeller que certes, l’enregistrement d’un titre au RNCP n’est pas en soit un diplôme d’État, mais il est un gage de compétences pour les tiers (clients, médecins, prescripteurs) et la garantie que le processus pédagogique suivi, confère un certain niveau de qualification. C’est d’autant plus important que de nombreux organismes privés proposent des formations « express » ne permettant pas de développer de réelles compétences en sophrologie.
D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart des structures professionnelles ou médicales exigent que les sophrologues soient titulaires d’un titre reconnu lorsqu’elles sollicitent leurs services, tout comme des mutuelles (critères de remboursement).
Par ailleurs, depuis juillet 2021, l’Agence française de la normalisation (AFNOR) a publié au Journal officiel une norme portant sur la « qualité de service du sophrologue ». Elle décrit notamment les domaines d’intervention du sophrologue, ses activités, sa déontologie, ses compétences essentielles. Elle devient ainsi la référence sur laquelle tous les acteurs de la vie publique peuvent à présent se référer pour comprendre ce métier.
Ainsi, le titre RNCP certifie les compétences du sophrologue à l’issue de sa formation et la norme assure la qualité de ses services tout au long de sa vie professionnelle. Attention toutefois car l’installation professionnelle du sophrologue n’est pas réglementée.
Source : Médecines complémentaires et alternatives, Les 20 grandes questions pour comprendre La sophrologie