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Fiches pratiques
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Fiche pratique
Pratique acceptée

Rapport annuel 2024-2025 : un panorama des dispositifs innovants en santé intégrative

Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)

Pratiques pour lesquelles il existe des formations reconnues
• Formation réglementaire ou Universitaire
• Pas de risques
• Pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Une structuration accélérée des approches complémentaires depuis 2020

Si  les approches complémentaires se déploient à tous les niveaux depuis le début des années 2000, depuis 2020, les initiatives structurantes dans le domaine se démultiplient. En effet, les collectifs d’experts, tout comme les organisations de praticiens, l’implication des acteurs de l’écosystème (chercheurs, soignants, élus,...) ou encore le développement de la recherche contribuent à des avancées simultanées aux niveaux sociétal, médical, scientifique et de terrain. C’est la raison pour laquelle l’A-MCA a souhaité orienter son 4ème rapport d’experts annuel sur la mise en lumière des dispositifs innovants en France. Il ne s’agit naturellement pas d’être exhaustif mais plutôt d’illustrer le propos à travers quelques-unes des grandes avancées récentes - entre 2021 et 2025 - à la fois en matière d’information, d’espace d’accès, de formation et de réglementation.

L’A-MCA, depuis sa création en 2020, contribue à la structuration du sujet des médecines complémentaires à travers la diversité de ses travaux et initiatives. Ce rapport apporte quelques exemples des actions innovantes qu’elle a porté et/ou auxquelles elle a participé.

De façon schématique l’A-MCA :

* A fait l’objet en 2021 d’une proposition de résolution inédite déposée à l’Assemblée Nationale visant à sa transformation en Agence Gouvernementale ;

* A organisé en 2022 un  débat - dans le cadre des présidentielles - au siège de Monsieur Emmanuel Macron pour porter le sujet en lien avec le bien vieillir ;

* A organisé en 2023 une rencontre à l’Assemblée Nationale autour du “bien-grandir, bien vivre et bien vieillir” en lien avec les approches complémentaires ;

* A intégré en 2023, à la demande du Ministère de la Santé, les travaux ministériels sur le sujet des approches complémentaires ;

A noué un partenariat en 2024 avec la revue scientifique “Le Journal de l’hypnose et de la Santé Intégrative (DUNOD)” ;

* A initié en 2025 en partenariat avec Quinze Mai, le Premier Congrès National de Santé Intégrative (CNSI).

Des initiatives clés pour renforcer la reconnaissance des pratiques complémentaires

En parallèle, les acteurs - nombreux - de l’écosystème ont aussi contribué à la structuration du sujet à travers une multitudes de travaux et d’initiatives entre 2021 et 2025, tels que :

* La création d’unités de soins intégratifs à l’hôpital (ex. l’IMIC au CHU de Bordeaux, Unité USRE et Hopital St Joseph, Marseille...)

* Le développement d’espaces d’accès de villes (ex. Centres ressource, Institut Rafael, Centre Vitruve, Assist’ Aidant....)

* La création de formations universitaires (ex. méditation, hypnose, art-thérapies, phytothérapie....)

* Le processus de renouvellement de formations réglementaires (ex. art-thérapies, massages,...)

* Le processus de normalisation AFNOR de plusieurs pratiques complémentaires (réflexologie, naturopathie, sophrologie)

* Les actions pour l’information professionnelle, scientifique et grand public (revue scientifique, rapports, ouvrages, conférences...)

Incontestablement, le sujet se structure de manière transversale.

Bien sûr, un travail perdure pour permettre de répondre à la variété des enjeux en suspens tels que l’homogénéité des formations, l’encadrement effectif des pratiques adaptées, la sensibilisation des soignants, l’accessibilité à l’information, l’orientation des usagers, les synergies entre les acteurs... Pour autant, doucement mais sûrement, le sujet avance...

Fiche pratique

Rapport annuel 2024-2025 : un panorama des dispositifs innovants en santé intégrative

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Une structuration accélérée des approches complémentaires depuis 2020

Si  les approches complémentaires se déploient à tous les niveaux depuis le début des années 2000, depuis 2020, les initiatives structurantes dans le domaine se démultiplient. En effet, les collectifs d’experts, tout comme les organisations de praticiens, l’implication des acteurs de l’écosystème (chercheurs, soignants, élus,...) ou encore le développement de la recherche contribuent à des avancées simultanées aux niveaux sociétal, médical, scientifique et de terrain. C’est la raison pour laquelle l’A-MCA a souhaité orienter son 4ème rapport d’experts annuel sur la mise en lumière des dispositifs innovants en France. Il ne s’agit naturellement pas d’être exhaustif mais plutôt d’illustrer le propos à travers quelques-unes des grandes avancées récentes - entre 2021 et 2025 - à la fois en matière d’information, d’espace d’accès, de formation et de réglementation.

L’A-MCA, depuis sa création en 2020, contribue à la structuration du sujet des médecines complémentaires à travers la diversité de ses travaux et initiatives. Ce rapport apporte quelques exemples des actions innovantes qu’elle a porté et/ou auxquelles elle a participé.

De façon schématique l’A-MCA :

* A fait l’objet en 2021 d’une proposition de résolution inédite déposée à l’Assemblée Nationale visant à sa transformation en Agence Gouvernementale ;

* A organisé en 2022 un  débat - dans le cadre des présidentielles - au siège de Monsieur Emmanuel Macron pour porter le sujet en lien avec le bien vieillir ;

* A organisé en 2023 une rencontre à l’Assemblée Nationale autour du “bien-grandir, bien vivre et bien vieillir” en lien avec les approches complémentaires ;

* A intégré en 2023, à la demande du Ministère de la Santé, les travaux ministériels sur le sujet des approches complémentaires ;

A noué un partenariat en 2024 avec la revue scientifique “Le Journal de l’hypnose et de la Santé Intégrative (DUNOD)” ;

* A initié en 2025 en partenariat avec Quinze Mai, le Premier Congrès National de Santé Intégrative (CNSI).

Des initiatives clés pour renforcer la reconnaissance des pratiques complémentaires

En parallèle, les acteurs - nombreux - de l’écosystème ont aussi contribué à la structuration du sujet à travers une multitudes de travaux et d’initiatives entre 2021 et 2025, tels que :

* La création d’unités de soins intégratifs à l’hôpital (ex. l’IMIC au CHU de Bordeaux, Unité USRE et Hopital St Joseph, Marseille...)

* Le développement d’espaces d’accès de villes (ex. Centres ressource, Institut Rafael, Centre Vitruve, Assist’ Aidant....)

* La création de formations universitaires (ex. méditation, hypnose, art-thérapies, phytothérapie....)

* Le processus de renouvellement de formations réglementaires (ex. art-thérapies, massages,...)

* Le processus de normalisation AFNOR de plusieurs pratiques complémentaires (réflexologie, naturopathie, sophrologie)

* Les actions pour l’information professionnelle, scientifique et grand public (revue scientifique, rapports, ouvrages, conférences...)

Incontestablement, le sujet se structure de manière transversale.

Bien sûr, un travail perdure pour permettre de répondre à la variété des enjeux en suspens tels que l’homogénéité des formations, l’encadrement effectif des pratiques adaptées, la sensibilisation des soignants, l’accessibilité à l’information, l’orientation des usagers, les synergies entre les acteurs... Pour autant, doucement mais sûrement, le sujet avance...

Fiche pratique
Pratique recommandée

Rapport annuel 2024-2025 : un panorama des dispositifs innovants en santé intégrative

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Une structuration accélérée des approches complémentaires depuis 2020

Si  les approches complémentaires se déploient à tous les niveaux depuis le début des années 2000, depuis 2020, les initiatives structurantes dans le domaine se démultiplient. En effet, les collectifs d’experts, tout comme les organisations de praticiens, l’implication des acteurs de l’écosystème (chercheurs, soignants, élus,...) ou encore le développement de la recherche contribuent à des avancées simultanées aux niveaux sociétal, médical, scientifique et de terrain. C’est la raison pour laquelle l’A-MCA a souhaité orienter son 4ème rapport d’experts annuel sur la mise en lumière des dispositifs innovants en France. Il ne s’agit naturellement pas d’être exhaustif mais plutôt d’illustrer le propos à travers quelques-unes des grandes avancées récentes - entre 2021 et 2025 - à la fois en matière d’information, d’espace d’accès, de formation et de réglementation.

L’A-MCA, depuis sa création en 2020, contribue à la structuration du sujet des médecines complémentaires à travers la diversité de ses travaux et initiatives. Ce rapport apporte quelques exemples des actions innovantes qu’elle a porté et/ou auxquelles elle a participé.

De façon schématique l’A-MCA :

* A fait l’objet en 2021 d’une proposition de résolution inédite déposée à l’Assemblée Nationale visant à sa transformation en Agence Gouvernementale ;

* A organisé en 2022 un  débat - dans le cadre des présidentielles - au siège de Monsieur Emmanuel Macron pour porter le sujet en lien avec le bien vieillir ;

* A organisé en 2023 une rencontre à l’Assemblée Nationale autour du “bien-grandir, bien vivre et bien vieillir” en lien avec les approches complémentaires ;

* A intégré en 2023, à la demande du Ministère de la Santé, les travaux ministériels sur le sujet des approches complémentaires ;

A noué un partenariat en 2024 avec la revue scientifique “Le Journal de l’hypnose et de la Santé Intégrative (DUNOD)” ;

* A initié en 2025 en partenariat avec Quinze Mai, le Premier Congrès National de Santé Intégrative (CNSI).

Des initiatives clés pour renforcer la reconnaissance des pratiques complémentaires

En parallèle, les acteurs - nombreux - de l’écosystème ont aussi contribué à la structuration du sujet à travers une multitudes de travaux et d’initiatives entre 2021 et 2025, tels que :

* La création d’unités de soins intégratifs à l’hôpital (ex. l’IMIC au CHU de Bordeaux, Unité USRE et Hopital St Joseph, Marseille...)

* Le développement d’espaces d’accès de villes (ex. Centres ressource, Institut Rafael, Centre Vitruve, Assist’ Aidant....)

* La création de formations universitaires (ex. méditation, hypnose, art-thérapies, phytothérapie....)

* Le processus de renouvellement de formations réglementaires (ex. art-thérapies, massages,...)

* Le processus de normalisation AFNOR de plusieurs pratiques complémentaires (réflexologie, naturopathie, sophrologie)

* Les actions pour l’information professionnelle, scientifique et grand public (revue scientifique, rapports, ouvrages, conférences...)

Incontestablement, le sujet se structure de manière transversale.

Bien sûr, un travail perdure pour permettre de répondre à la variété des enjeux en suspens tels que l’homogénéité des formations, l’encadrement effectif des pratiques adaptées, la sensibilisation des soignants, l’accessibilité à l’information, l’orientation des usagers, les synergies entre les acteurs... Pour autant, doucement mais sûrement, le sujet avance...

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Rapport annuel 2024-2025 : un panorama des dispositifs innovants en santé intégrative

Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici). 

Pratiques pour lesquelles il n'existe aucune formation reconnue
• Pas de formation réglementaire ou universitaire
• Risques potentiels
• Dérives involontaires possibles
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Une structuration accélérée des approches complémentaires depuis 2020

Si  les approches complémentaires se déploient à tous les niveaux depuis le début des années 2000, depuis 2020, les initiatives structurantes dans le domaine se démultiplient. En effet, les collectifs d’experts, tout comme les organisations de praticiens, l’implication des acteurs de l’écosystème (chercheurs, soignants, élus,...) ou encore le développement de la recherche contribuent à des avancées simultanées aux niveaux sociétal, médical, scientifique et de terrain. C’est la raison pour laquelle l’A-MCA a souhaité orienter son 4ème rapport d’experts annuel sur la mise en lumière des dispositifs innovants en France. Il ne s’agit naturellement pas d’être exhaustif mais plutôt d’illustrer le propos à travers quelques-unes des grandes avancées récentes - entre 2021 et 2025 - à la fois en matière d’information, d’espace d’accès, de formation et de réglementation.

L’A-MCA, depuis sa création en 2020, contribue à la structuration du sujet des médecines complémentaires à travers la diversité de ses travaux et initiatives. Ce rapport apporte quelques exemples des actions innovantes qu’elle a porté et/ou auxquelles elle a participé.

De façon schématique l’A-MCA :

* A fait l’objet en 2021 d’une proposition de résolution inédite déposée à l’Assemblée Nationale visant à sa transformation en Agence Gouvernementale ;

* A organisé en 2022 un  débat - dans le cadre des présidentielles - au siège de Monsieur Emmanuel Macron pour porter le sujet en lien avec le bien vieillir ;

* A organisé en 2023 une rencontre à l’Assemblée Nationale autour du “bien-grandir, bien vivre et bien vieillir” en lien avec les approches complémentaires ;

* A intégré en 2023, à la demande du Ministère de la Santé, les travaux ministériels sur le sujet des approches complémentaires ;

A noué un partenariat en 2024 avec la revue scientifique “Le Journal de l’hypnose et de la Santé Intégrative (DUNOD)” ;

* A initié en 2025 en partenariat avec Quinze Mai, le Premier Congrès National de Santé Intégrative (CNSI).

Des initiatives clés pour renforcer la reconnaissance des pratiques complémentaires

En parallèle, les acteurs - nombreux - de l’écosystème ont aussi contribué à la structuration du sujet à travers une multitudes de travaux et d’initiatives entre 2021 et 2025, tels que :

* La création d’unités de soins intégratifs à l’hôpital (ex. l’IMIC au CHU de Bordeaux, Unité USRE et Hopital St Joseph, Marseille...)

* Le développement d’espaces d’accès de villes (ex. Centres ressource, Institut Rafael, Centre Vitruve, Assist’ Aidant....)

* La création de formations universitaires (ex. méditation, hypnose, art-thérapies, phytothérapie....)

* Le processus de renouvellement de formations réglementaires (ex. art-thérapies, massages,...)

* Le processus de normalisation AFNOR de plusieurs pratiques complémentaires (réflexologie, naturopathie, sophrologie)

* Les actions pour l’information professionnelle, scientifique et grand public (revue scientifique, rapports, ouvrages, conférences...)

Incontestablement, le sujet se structure de manière transversale.

Bien sûr, un travail perdure pour permettre de répondre à la variété des enjeux en suspens tels que l’homogénéité des formations, l’encadrement effectif des pratiques adaptées, la sensibilisation des soignants, l’accessibilité à l’information, l’orientation des usagers, les synergies entre les acteurs... Pour autant, doucement mais sûrement, le sujet avance...

Fiche pratique
Pratique rejetée

Rapport annuel 2024-2025 : un panorama des dispositifs innovants en santé intégrative

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Une structuration accélérée des approches complémentaires depuis 2020

Si  les approches complémentaires se déploient à tous les niveaux depuis le début des années 2000, depuis 2020, les initiatives structurantes dans le domaine se démultiplient. En effet, les collectifs d’experts, tout comme les organisations de praticiens, l’implication des acteurs de l’écosystème (chercheurs, soignants, élus,...) ou encore le développement de la recherche contribuent à des avancées simultanées aux niveaux sociétal, médical, scientifique et de terrain. C’est la raison pour laquelle l’A-MCA a souhaité orienter son 4ème rapport d’experts annuel sur la mise en lumière des dispositifs innovants en France. Il ne s’agit naturellement pas d’être exhaustif mais plutôt d’illustrer le propos à travers quelques-unes des grandes avancées récentes - entre 2021 et 2025 - à la fois en matière d’information, d’espace d’accès, de formation et de réglementation.

L’A-MCA, depuis sa création en 2020, contribue à la structuration du sujet des médecines complémentaires à travers la diversité de ses travaux et initiatives. Ce rapport apporte quelques exemples des actions innovantes qu’elle a porté et/ou auxquelles elle a participé.

De façon schématique l’A-MCA :

* A fait l’objet en 2021 d’une proposition de résolution inédite déposée à l’Assemblée Nationale visant à sa transformation en Agence Gouvernementale ;

* A organisé en 2022 un  débat - dans le cadre des présidentielles - au siège de Monsieur Emmanuel Macron pour porter le sujet en lien avec le bien vieillir ;

* A organisé en 2023 une rencontre à l’Assemblée Nationale autour du “bien-grandir, bien vivre et bien vieillir” en lien avec les approches complémentaires ;

* A intégré en 2023, à la demande du Ministère de la Santé, les travaux ministériels sur le sujet des approches complémentaires ;

A noué un partenariat en 2024 avec la revue scientifique “Le Journal de l’hypnose et de la Santé Intégrative (DUNOD)” ;

* A initié en 2025 en partenariat avec Quinze Mai, le Premier Congrès National de Santé Intégrative (CNSI).

Des initiatives clés pour renforcer la reconnaissance des pratiques complémentaires

En parallèle, les acteurs - nombreux - de l’écosystème ont aussi contribué à la structuration du sujet à travers une multitudes de travaux et d’initiatives entre 2021 et 2025, tels que :

* La création d’unités de soins intégratifs à l’hôpital (ex. l’IMIC au CHU de Bordeaux, Unité USRE et Hopital St Joseph, Marseille...)

* Le développement d’espaces d’accès de villes (ex. Centres ressource, Institut Rafael, Centre Vitruve, Assist’ Aidant....)

* La création de formations universitaires (ex. méditation, hypnose, art-thérapies, phytothérapie....)

* Le processus de renouvellement de formations réglementaires (ex. art-thérapies, massages,...)

* Le processus de normalisation AFNOR de plusieurs pratiques complémentaires (réflexologie, naturopathie, sophrologie)

* Les actions pour l’information professionnelle, scientifique et grand public (revue scientifique, rapports, ouvrages, conférences...)

Incontestablement, le sujet se structure de manière transversale.

Bien sûr, un travail perdure pour permettre de répondre à la variété des enjeux en suspens tels que l’homogénéité des formations, l’encadrement effectif des pratiques adaptées, la sensibilisation des soignants, l’accessibilité à l’information, l’orientation des usagers, les synergies entre les acteurs... Pour autant, doucement mais sûrement, le sujet avance...

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

Rapport annuel 2024-2025 : un panorama des dispositifs innovants en santé intégrative

L’Agence des Médecines Complémentaires et Adaptées (A-MCA) a publié son 4e rapport annuel, consacré aux dispositifs innovants en santé intégrative. Ce document met en lumière des initiatives exemplaires, qui contribuent à structurer l’intégration des pratiques complémentaires dans le parcours de soins et à renforcer l’encadrement des professionnels du secteur.

En s’appuyant sur 23 dispositifs pionniers, le rapport analyse l’évolution des pratiques en France et formule des recommandations stratégiques pour accompagner leur développement.

Temps de lecture :
Lieu :
Date de publication / évènement :
25/2/25
Catégorie :
Publications professionnelles

Les pratiques complémentaires se déploient au cœur d’une santé intégrative en plein essor. La création d’une revue scientifique dédiée et la mise en place du premier congrès national en santé intégrative tout comme l’émergence d’unités de soins intégratifs en milieu hospitalier, l’organisation d’espaces d’accès de ville, le développement des formations universitaires et réglementaires ou encore les initiatives en faveur d’un encadrement des pratiques en font le symbole.
Comme le souligne Véronique SUISSA, Directrice Générale de l'A-MCA : “un Français sur deux utilise les pratiques complémentaires. Ce constat suffit pour dire qu’il devient indispensable d’en structurer l’accès”.

Une structuration accélérée des approches complémentaires depuis 2020

Si  les approches complémentaires se déploient à tous les niveaux depuis le début des années 2000, depuis 2020, les initiatives structurantes dans le domaine se démultiplient. En effet, les collectifs d’experts, tout comme les organisations de praticiens, l’implication des acteurs de l’écosystème (chercheurs, soignants, élus,...) ou encore le développement de la recherche contribuent à des avancées simultanées aux niveaux sociétal, médical, scientifique et de terrain. C’est la raison pour laquelle l’A-MCA a souhaité orienter son 4ème rapport d’experts annuel sur la mise en lumière des dispositifs innovants en France. Il ne s’agit naturellement pas d’être exhaustif mais plutôt d’illustrer le propos à travers quelques-unes des grandes avancées récentes - entre 2021 et 2025 - à la fois en matière d’information, d’espace d’accès, de formation et de réglementation.

L’A-MCA, depuis sa création en 2020, contribue à la structuration du sujet des médecines complémentaires à travers la diversité de ses travaux et initiatives. Ce rapport apporte quelques exemples des actions innovantes qu’elle a porté et/ou auxquelles elle a participé.

De façon schématique l’A-MCA :

* A fait l’objet en 2021 d’une proposition de résolution inédite déposée à l’Assemblée Nationale visant à sa transformation en Agence Gouvernementale ;

* A organisé en 2022 un  débat - dans le cadre des présidentielles - au siège de Monsieur Emmanuel Macron pour porter le sujet en lien avec le bien vieillir ;

* A organisé en 2023 une rencontre à l’Assemblée Nationale autour du “bien-grandir, bien vivre et bien vieillir” en lien avec les approches complémentaires ;

* A intégré en 2023, à la demande du Ministère de la Santé, les travaux ministériels sur le sujet des approches complémentaires ;

A noué un partenariat en 2024 avec la revue scientifique “Le Journal de l’hypnose et de la Santé Intégrative (DUNOD)” ;

* A initié en 2025 en partenariat avec Quinze Mai, le Premier Congrès National de Santé Intégrative (CNSI).

Des initiatives clés pour renforcer la reconnaissance des pratiques complémentaires

En parallèle, les acteurs - nombreux - de l’écosystème ont aussi contribué à la structuration du sujet à travers une multitudes de travaux et d’initiatives entre 2021 et 2025, tels que :

* La création d’unités de soins intégratifs à l’hôpital (ex. l’IMIC au CHU de Bordeaux, Unité USRE et Hopital St Joseph, Marseille...)

* Le développement d’espaces d’accès de villes (ex. Centres ressource, Institut Rafael, Centre Vitruve, Assist’ Aidant....)

* La création de formations universitaires (ex. méditation, hypnose, art-thérapies, phytothérapie....)

* Le processus de renouvellement de formations réglementaires (ex. art-thérapies, massages,...)

* Le processus de normalisation AFNOR de plusieurs pratiques complémentaires (réflexologie, naturopathie, sophrologie)

* Les actions pour l’information professionnelle, scientifique et grand public (revue scientifique, rapports, ouvrages, conférences...)

Incontestablement, le sujet se structure de manière transversale.

Bien sûr, un travail perdure pour permettre de répondre à la variété des enjeux en suspens tels que l’homogénéité des formations, l’encadrement effectif des pratiques adaptées, la sensibilisation des soignants, l’accessibilité à l’information, l’orientation des usagers, les synergies entre les acteurs... Pour autant, doucement mais sûrement, le sujet avance...

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