Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En l’absence de terme officiel, il existe une diversité de terminologies pour désigner les médecines complémentaires et alternatives (MCA). « Médecines douces », « médecines parallèles », « médecines non conventionnelles » ou encore « médecines alternatives » sont des appellations tout particulièrement répandues auprès du grand public. Les médecins utilisent davantage les termes de « médecines complémentaires » « thérapies complémentaires » et « médecine intégrative ».
Au niveau international, la littérature scientifique utilise majoritairement le terme de MCA. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) emploie quant à elle les termes de « médecines traditionnelles » et de « médecines complémentaires et alternatives ».
En Europe, les résolutions Européennes de 1997 et 1999 les qualifient de « médecines non conventionnelles », « médecines complémentaires » et « médecines alternatives ».
En France, il n’existe pas de terme officiel. Le ministère de la Santé utilise le terme de Pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique (PNCVT) tandis que la Haute Autorité de santé (HAS) évoque dans son rapport sur l’homéopathie le concept « d’alternatives thérapeutiques ». L’Assistance publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) les qualifie de « médecines complémentaires ». Enfin, la proposition de Résolution nationale de 2021 utilise les termes de « médecines complémentaires et alternatives » et de « médecines complémentaires adaptées ».
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En l’absence de terme officiel, il existe une diversité de terminologies pour désigner les médecines complémentaires et alternatives (MCA). « Médecines douces », « médecines parallèles », « médecines non conventionnelles » ou encore « médecines alternatives » sont des appellations tout particulièrement répandues auprès du grand public. Les médecins utilisent davantage les termes de « médecines complémentaires » « thérapies complémentaires » et « médecine intégrative ».
Au niveau international, la littérature scientifique utilise majoritairement le terme de MCA. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) emploie quant à elle les termes de « médecines traditionnelles » et de « médecines complémentaires et alternatives ».
En Europe, les résolutions Européennes de 1997 et 1999 les qualifient de « médecines non conventionnelles », « médecines complémentaires » et « médecines alternatives ».
En France, il n’existe pas de terme officiel. Le ministère de la Santé utilise le terme de Pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique (PNCVT) tandis que la Haute Autorité de santé (HAS) évoque dans son rapport sur l’homéopathie le concept « d’alternatives thérapeutiques ». L’Assistance publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) les qualifie de « médecines complémentaires ». Enfin, la proposition de Résolution nationale de 2021 utilise les termes de « médecines complémentaires et alternatives » et de « médecines complémentaires adaptées ».
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En l’absence de terme officiel, il existe une diversité de terminologies pour désigner les médecines complémentaires et alternatives (MCA). « Médecines douces », « médecines parallèles », « médecines non conventionnelles » ou encore « médecines alternatives » sont des appellations tout particulièrement répandues auprès du grand public. Les médecins utilisent davantage les termes de « médecines complémentaires » « thérapies complémentaires » et « médecine intégrative ».
Au niveau international, la littérature scientifique utilise majoritairement le terme de MCA. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) emploie quant à elle les termes de « médecines traditionnelles » et de « médecines complémentaires et alternatives ».
En Europe, les résolutions Européennes de 1997 et 1999 les qualifient de « médecines non conventionnelles », « médecines complémentaires » et « médecines alternatives ».
En France, il n’existe pas de terme officiel. Le ministère de la Santé utilise le terme de Pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique (PNCVT) tandis que la Haute Autorité de santé (HAS) évoque dans son rapport sur l’homéopathie le concept « d’alternatives thérapeutiques ». L’Assistance publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) les qualifie de « médecines complémentaires ». Enfin, la proposition de Résolution nationale de 2021 utilise les termes de « médecines complémentaires et alternatives » et de « médecines complémentaires adaptées ».
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
En l’absence de terme officiel, il existe une diversité de terminologies pour désigner les médecines complémentaires et alternatives (MCA). « Médecines douces », « médecines parallèles », « médecines non conventionnelles » ou encore « médecines alternatives » sont des appellations tout particulièrement répandues auprès du grand public. Les médecins utilisent davantage les termes de « médecines complémentaires » « thérapies complémentaires » et « médecine intégrative ».
Au niveau international, la littérature scientifique utilise majoritairement le terme de MCA. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) emploie quant à elle les termes de « médecines traditionnelles » et de « médecines complémentaires et alternatives ».
En Europe, les résolutions Européennes de 1997 et 1999 les qualifient de « médecines non conventionnelles », « médecines complémentaires » et « médecines alternatives ».
En France, il n’existe pas de terme officiel. Le ministère de la Santé utilise le terme de Pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique (PNCVT) tandis que la Haute Autorité de santé (HAS) évoque dans son rapport sur l’homéopathie le concept « d’alternatives thérapeutiques ». L’Assistance publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) les qualifie de « médecines complémentaires ». Enfin, la proposition de Résolution nationale de 2021 utilise les termes de « médecines complémentaires et alternatives » et de « médecines complémentaires adaptées ».
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
En l’absence de terme officiel, il existe une diversité de terminologies pour désigner les médecines complémentaires et alternatives (MCA). « Médecines douces », « médecines parallèles », « médecines non conventionnelles » ou encore « médecines alternatives » sont des appellations tout particulièrement répandues auprès du grand public. Les médecins utilisent davantage les termes de « médecines complémentaires » « thérapies complémentaires » et « médecine intégrative ».
Au niveau international, la littérature scientifique utilise majoritairement le terme de MCA. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) emploie quant à elle les termes de « médecines traditionnelles » et de « médecines complémentaires et alternatives ».
En Europe, les résolutions Européennes de 1997 et 1999 les qualifient de « médecines non conventionnelles », « médecines complémentaires » et « médecines alternatives ».
En France, il n’existe pas de terme officiel. Le ministère de la Santé utilise le terme de Pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique (PNCVT) tandis que la Haute Autorité de santé (HAS) évoque dans son rapport sur l’homéopathie le concept « d’alternatives thérapeutiques ». L’Assistance publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) les qualifie de « médecines complémentaires ». Enfin, la proposition de Résolution nationale de 2021 utilise les termes de « médecines complémentaires et alternatives » et de « médecines complémentaires adaptées ».
En l’absence de terme officiel, il existe une diversité de terminologies pour désigner les médecines complémentaires et alternatives (MCA). « Médecines douces », « médecines parallèles », « médecines non conventionnelles » ou encore « médecines alternatives » sont des appellations tout particulièrement répandues auprès du grand public. Les médecins utilisent davantage les termes de « médecines complémentaires » « thérapies complémentaires » et « médecine intégrative ».
Au niveau international, la littérature scientifique utilise majoritairement le terme de MCA. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) emploie quant à elle les termes de « médecines traditionnelles » et de « médecines complémentaires et alternatives ».
En Europe, les résolutions Européennes de 1997 et 1999 les qualifient de « médecines non conventionnelles », « médecines complémentaires » et « médecines alternatives ».
En France, il n’existe pas de terme officiel. Le ministère de la Santé utilise le terme de Pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique (PNCVT) tandis que la Haute Autorité de santé (HAS) évoque dans son rapport sur l’homéopathie le concept « d’alternatives thérapeutiques ». L’Assistance publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) les qualifie de « médecines complémentaires ». Enfin, la proposition de Résolution nationale de 2021 utilise les termes de « médecines complémentaires et alternatives » et de « médecines complémentaires adaptées ».