Accueil
S'informer sur les MCA
Articles à thématique
Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?
Accueil
S'informer sur les MCA
Interviews d'experts
Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?
Accueil
Brèves
Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?
Accueil
Nos activités
Activités de l'A-MCA et de son club
Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?
Accueil
Nos activités
Activités de l'A-MCA
Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?
Accueil
Activités de l'E-SD et de l'E-FPS
Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?
Accueil
Activités de l'E-SD et de l'E-FPS
Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?
Accueil
Nos activités
Activités du RC-MCA
Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?
Accueil
S'informer sur les MCA
Fiches pratiques
Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?
Fiche pratique
Pratique acceptée

Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?

Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)

Pratiques pour lesquelles il existe des formations reconnues
• Formation réglementaire ou Universitaire
• Pas de risques
• Pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Les résolutions respectivement adoptées par le Parlement Européen (1997) et la Commission des questions sociales, de la santé et de la famille (1999) préconisent une démarche européenne de reconnaissance de ces pratiques. Elles encouragent la réglementation, la formation et la recherche dans une logique de qualité/sécurité des usages. En France, la proposition de Résolution (2021) va dans le même sens et préconise la création d’une Agence Gouvernementale dans le domaine.  

Si la réglementation européenne peut varier d’un pays à l’autre, leurs conditions générales comportent dans leur principe de grandes similitudes. Schématiquement, deux conceptions opposées coexistent en Europe :

1-La première impliquant les pays du Sud : les pratiques, dans leurs dimensions thérapeutiques, doivent être dispensées uniquement par certains professionnels de santé. Les praticiens sont principalement médecins, parfois issus d’autres professions pour lesquelles certains actes peuvent être pratiqués sous leur propre responsabilité ou celle d’un médecin. Au-delà, il y a exercice illégal de la médecine. Ex. : France, Belgique, Luxembourg…

2- La seconde engageant principalement les pays du Nord : les pratiques peuvent être dispensées par tout praticien qui le souhaite mais certains actes sont réservés aux médecins. Les médecins détiennent l’autorité en matière de politique de santé, tandis que les praticiens ont le droit de dispenser un soin non conventionnel dès lors qu’ils ne prétendent pas au titre de Docteur en médecine. Ex. : Pays-Bas, Grande-Bretagne, Irlande ou encore les pays scandinaves.

Fiche pratique

Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Les résolutions respectivement adoptées par le Parlement Européen (1997) et la Commission des questions sociales, de la santé et de la famille (1999) préconisent une démarche européenne de reconnaissance de ces pratiques. Elles encouragent la réglementation, la formation et la recherche dans une logique de qualité/sécurité des usages. En France, la proposition de Résolution (2021) va dans le même sens et préconise la création d’une Agence Gouvernementale dans le domaine.  

Si la réglementation européenne peut varier d’un pays à l’autre, leurs conditions générales comportent dans leur principe de grandes similitudes. Schématiquement, deux conceptions opposées coexistent en Europe :

1-La première impliquant les pays du Sud : les pratiques, dans leurs dimensions thérapeutiques, doivent être dispensées uniquement par certains professionnels de santé. Les praticiens sont principalement médecins, parfois issus d’autres professions pour lesquelles certains actes peuvent être pratiqués sous leur propre responsabilité ou celle d’un médecin. Au-delà, il y a exercice illégal de la médecine. Ex. : France, Belgique, Luxembourg…

2- La seconde engageant principalement les pays du Nord : les pratiques peuvent être dispensées par tout praticien qui le souhaite mais certains actes sont réservés aux médecins. Les médecins détiennent l’autorité en matière de politique de santé, tandis que les praticiens ont le droit de dispenser un soin non conventionnel dès lors qu’ils ne prétendent pas au titre de Docteur en médecine. Ex. : Pays-Bas, Grande-Bretagne, Irlande ou encore les pays scandinaves.

Fiche pratique
Pratique recommandée

Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Les résolutions respectivement adoptées par le Parlement Européen (1997) et la Commission des questions sociales, de la santé et de la famille (1999) préconisent une démarche européenne de reconnaissance de ces pratiques. Elles encouragent la réglementation, la formation et la recherche dans une logique de qualité/sécurité des usages. En France, la proposition de Résolution (2021) va dans le même sens et préconise la création d’une Agence Gouvernementale dans le domaine.  

Si la réglementation européenne peut varier d’un pays à l’autre, leurs conditions générales comportent dans leur principe de grandes similitudes. Schématiquement, deux conceptions opposées coexistent en Europe :

1-La première impliquant les pays du Sud : les pratiques, dans leurs dimensions thérapeutiques, doivent être dispensées uniquement par certains professionnels de santé. Les praticiens sont principalement médecins, parfois issus d’autres professions pour lesquelles certains actes peuvent être pratiqués sous leur propre responsabilité ou celle d’un médecin. Au-delà, il y a exercice illégal de la médecine. Ex. : France, Belgique, Luxembourg…

2- La seconde engageant principalement les pays du Nord : les pratiques peuvent être dispensées par tout praticien qui le souhaite mais certains actes sont réservés aux médecins. Les médecins détiennent l’autorité en matière de politique de santé, tandis que les praticiens ont le droit de dispenser un soin non conventionnel dès lors qu’ils ne prétendent pas au titre de Docteur en médecine. Ex. : Pays-Bas, Grande-Bretagne, Irlande ou encore les pays scandinaves.

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?

Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici). 

Pratiques pour lesquelles il n'existe aucune formation reconnue
• Pas de formation réglementaire ou universitaire
• Risques potentiels
• Dérives involontaires possibles
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Les résolutions respectivement adoptées par le Parlement Européen (1997) et la Commission des questions sociales, de la santé et de la famille (1999) préconisent une démarche européenne de reconnaissance de ces pratiques. Elles encouragent la réglementation, la formation et la recherche dans une logique de qualité/sécurité des usages. En France, la proposition de Résolution (2021) va dans le même sens et préconise la création d’une Agence Gouvernementale dans le domaine.  

Si la réglementation européenne peut varier d’un pays à l’autre, leurs conditions générales comportent dans leur principe de grandes similitudes. Schématiquement, deux conceptions opposées coexistent en Europe :

1-La première impliquant les pays du Sud : les pratiques, dans leurs dimensions thérapeutiques, doivent être dispensées uniquement par certains professionnels de santé. Les praticiens sont principalement médecins, parfois issus d’autres professions pour lesquelles certains actes peuvent être pratiqués sous leur propre responsabilité ou celle d’un médecin. Au-delà, il y a exercice illégal de la médecine. Ex. : France, Belgique, Luxembourg…

2- La seconde engageant principalement les pays du Nord : les pratiques peuvent être dispensées par tout praticien qui le souhaite mais certains actes sont réservés aux médecins. Les médecins détiennent l’autorité en matière de politique de santé, tandis que les praticiens ont le droit de dispenser un soin non conventionnel dès lors qu’ils ne prétendent pas au titre de Docteur en médecine. Ex. : Pays-Bas, Grande-Bretagne, Irlande ou encore les pays scandinaves.

Fiche pratique
Pratique rejetée

Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Les résolutions respectivement adoptées par le Parlement Européen (1997) et la Commission des questions sociales, de la santé et de la famille (1999) préconisent une démarche européenne de reconnaissance de ces pratiques. Elles encouragent la réglementation, la formation et la recherche dans une logique de qualité/sécurité des usages. En France, la proposition de Résolution (2021) va dans le même sens et préconise la création d’une Agence Gouvernementale dans le domaine.  

Si la réglementation européenne peut varier d’un pays à l’autre, leurs conditions générales comportent dans leur principe de grandes similitudes. Schématiquement, deux conceptions opposées coexistent en Europe :

1-La première impliquant les pays du Sud : les pratiques, dans leurs dimensions thérapeutiques, doivent être dispensées uniquement par certains professionnels de santé. Les praticiens sont principalement médecins, parfois issus d’autres professions pour lesquelles certains actes peuvent être pratiqués sous leur propre responsabilité ou celle d’un médecin. Au-delà, il y a exercice illégal de la médecine. Ex. : France, Belgique, Luxembourg…

2- La seconde engageant principalement les pays du Nord : les pratiques peuvent être dispensées par tout praticien qui le souhaite mais certains actes sont réservés aux médecins. Les médecins détiennent l’autorité en matière de politique de santé, tandis que les praticiens ont le droit de dispenser un soin non conventionnel dès lors qu’ils ne prétendent pas au titre de Docteur en médecine. Ex. : Pays-Bas, Grande-Bretagne, Irlande ou encore les pays scandinaves.

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

Quelle est la position de l’Union européenne sur les médecines complémentaires et alternatives ?

Temps de lecture :
Lieu :
Date de publication / évènement :
12/5/23
Catégorie :

Les résolutions respectivement adoptées par le Parlement Européen (1997) et la Commission des questions sociales, de la santé et de la famille (1999) préconisent une démarche européenne de reconnaissance de ces pratiques. Elles encouragent la réglementation, la formation et la recherche dans une logique de qualité/sécurité des usages. En France, la proposition de Résolution (2021) va dans le même sens et préconise la création d’une Agence Gouvernementale dans le domaine.  

Si la réglementation européenne peut varier d’un pays à l’autre, leurs conditions générales comportent dans leur principe de grandes similitudes. Schématiquement, deux conceptions opposées coexistent en Europe :

1-La première impliquant les pays du Sud : les pratiques, dans leurs dimensions thérapeutiques, doivent être dispensées uniquement par certains professionnels de santé. Les praticiens sont principalement médecins, parfois issus d’autres professions pour lesquelles certains actes peuvent être pratiqués sous leur propre responsabilité ou celle d’un médecin. Au-delà, il y a exercice illégal de la médecine. Ex. : France, Belgique, Luxembourg…

2- La seconde engageant principalement les pays du Nord : les pratiques peuvent être dispensées par tout praticien qui le souhaite mais certains actes sont réservés aux médecins. Les médecins détiennent l’autorité en matière de politique de santé, tandis que les praticiens ont le droit de dispenser un soin non conventionnel dès lors qu’ils ne prétendent pas au titre de Docteur en médecine. Ex. : Pays-Bas, Grande-Bretagne, Irlande ou encore les pays scandinaves.

No items found.

Photos

No items found.

Vidéos

Partenaires

No items found.

Medias

No items found.

La bibliothèque de l'A-MCA

No items found.

Pour aller plus loin

Pour aller plus loin

No items found.