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Fiches pratiques
Médecines complémentaires et alternatives : quelle signification en gériatrie ?
Fiche pratique
Pratique acceptée

Médecines complémentaires et alternatives : quelle signification en gériatrie ?

Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)

Pratiques pour lesquelles il existe des formations reconnues
• Formation réglementaire ou Universitaire
• Pas de risques
• Pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Focus sur un extrait du résumé

Si les Médecines complémentaires se sont dans un premier temps déployées en oncologie, à travers les soins de support, d’autres secteurs – et en particulier la gériatrie – s’ouvrent à ces pratiques dans une logique de personnalisation du soin. À ce titre, l’instauration des pôles d’activités et de soins adaptés traduit un nouveau modèle d’accompagnement spécifique au vieillissement centré sur les besoins spécifiques des personnes fragilisées par l’âge et la maladie. Ce travail répond à la nécessité de mieux comprendre ce champ dans son ensemble et de mettre en lumière les enjeux pluriels, sociétaux, médicaux ou scientifiques, en lien avec le processus de leur intégration en gériatrie.

Fiche pratique

Médecines complémentaires et alternatives : quelle signification en gériatrie ?

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Focus sur un extrait du résumé

Si les Médecines complémentaires se sont dans un premier temps déployées en oncologie, à travers les soins de support, d’autres secteurs – et en particulier la gériatrie – s’ouvrent à ces pratiques dans une logique de personnalisation du soin. À ce titre, l’instauration des pôles d’activités et de soins adaptés traduit un nouveau modèle d’accompagnement spécifique au vieillissement centré sur les besoins spécifiques des personnes fragilisées par l’âge et la maladie. Ce travail répond à la nécessité de mieux comprendre ce champ dans son ensemble et de mettre en lumière les enjeux pluriels, sociétaux, médicaux ou scientifiques, en lien avec le processus de leur intégration en gériatrie.

Fiche pratique
Pratique recommandée

Médecines complémentaires et alternatives : quelle signification en gériatrie ?

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Focus sur un extrait du résumé

Si les Médecines complémentaires se sont dans un premier temps déployées en oncologie, à travers les soins de support, d’autres secteurs – et en particulier la gériatrie – s’ouvrent à ces pratiques dans une logique de personnalisation du soin. À ce titre, l’instauration des pôles d’activités et de soins adaptés traduit un nouveau modèle d’accompagnement spécifique au vieillissement centré sur les besoins spécifiques des personnes fragilisées par l’âge et la maladie. Ce travail répond à la nécessité de mieux comprendre ce champ dans son ensemble et de mettre en lumière les enjeux pluriels, sociétaux, médicaux ou scientifiques, en lien avec le processus de leur intégration en gériatrie.

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Médecines complémentaires et alternatives : quelle signification en gériatrie ?

Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici). 

Pratiques pour lesquelles il n'existe aucune formation reconnue
• Pas de formation réglementaire ou universitaire
• Risques potentiels
• Dérives involontaires possibles
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Focus sur un extrait du résumé

Si les Médecines complémentaires se sont dans un premier temps déployées en oncologie, à travers les soins de support, d’autres secteurs – et en particulier la gériatrie – s’ouvrent à ces pratiques dans une logique de personnalisation du soin. À ce titre, l’instauration des pôles d’activités et de soins adaptés traduit un nouveau modèle d’accompagnement spécifique au vieillissement centré sur les besoins spécifiques des personnes fragilisées par l’âge et la maladie. Ce travail répond à la nécessité de mieux comprendre ce champ dans son ensemble et de mettre en lumière les enjeux pluriels, sociétaux, médicaux ou scientifiques, en lien avec le processus de leur intégration en gériatrie.

Fiche pratique
Pratique rejetée

Médecines complémentaires et alternatives : quelle signification en gériatrie ?

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Focus sur un extrait du résumé

Si les Médecines complémentaires se sont dans un premier temps déployées en oncologie, à travers les soins de support, d’autres secteurs – et en particulier la gériatrie – s’ouvrent à ces pratiques dans une logique de personnalisation du soin. À ce titre, l’instauration des pôles d’activités et de soins adaptés traduit un nouveau modèle d’accompagnement spécifique au vieillissement centré sur les besoins spécifiques des personnes fragilisées par l’âge et la maladie. Ce travail répond à la nécessité de mieux comprendre ce champ dans son ensemble et de mettre en lumière les enjeux pluriels, sociétaux, médicaux ou scientifiques, en lien avec le processus de leur intégration en gériatrie.

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

Médecines complémentaires et alternatives : quelle signification en gériatrie ?

Véronique SUISSA et Serge GUÉRIN ont publié un article scientifique portant sur l’essor des Médecines Complémentaires et Alternatives (MCA) en gériatrie

Temps de lecture :
Lieu :
Dans la Revue de Gériatrie Psychiatrie Neuropsychologie du Vieillissement (GPNV)
Date de publication / évènement :
13/12/21
Catégorie :
Publications scientifiques

Cet article interroge la signification de ses pratiques – et plus largement celle du soin relationnel et non médicamenteux – ainsi que leur application sur le terrain dans le secteur du vieillissement. En effet, la valorisation des thérapies non médicamenteuses par la Haute Autorité de santé (HAS), la place grandissante des acteurs du soin relationnel ou encore l’émergence de pratiques complémentaires attestent d’une nouvelle dynamique de soin en faveur d’une approche plus globale de l’accompagnement.

Focus sur un extrait du résumé

Si les Médecines complémentaires se sont dans un premier temps déployées en oncologie, à travers les soins de support, d’autres secteurs – et en particulier la gériatrie – s’ouvrent à ces pratiques dans une logique de personnalisation du soin. À ce titre, l’instauration des pôles d’activités et de soins adaptés traduit un nouveau modèle d’accompagnement spécifique au vieillissement centré sur les besoins spécifiques des personnes fragilisées par l’âge et la maladie. Ce travail répond à la nécessité de mieux comprendre ce champ dans son ensemble et de mettre en lumière les enjeux pluriels, sociétaux, médicaux ou scientifiques, en lien avec le processus de leur intégration en gériatrie.

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