Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Plus de 68 % des Français croient aux bienfaits des médecines complémentaires et alternatives (MCA). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dénombre 400 MCA et encourage leur intégration pour soutenir la prévention, la qualité de vie et le bien vieillir. Mais le champ des MCA rassemble indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées ou douteuses, voire dangereuses.
Face au manque de repères, l’enjeu de santé publique est de favoriser l’essor des pratiques complémentaires adaptées tout en luttant contre les méthodes alternatives et les dérives en santé. C’est dans ce contexte que des parlementaires ont porté une proposition de résolution à l’assemblée nationale.
Cette proposition de Résolution s’appuie sur la création de l’A-MCA : « Une association, intitulée l’Agence des Médecines des Complémentaires et Alternatives (A‑MCA), a été créé en septembre 2020, par des experts issus de la société civile, pour s’inscrire dans cette double perspective. Il est temps d’aller plus loin ».
En outre, elle invite à la transformation de l’association en Agence Gouvernementale « elle gagnerait à intégrer ces missions dans une agence gouvernementale pour contribuer à structurer ce champ »; une agence qui viserait à « informer, conseiller, guider sur ces pratiques tout en développant la recherche dans le domaine.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Plus de 68 % des Français croient aux bienfaits des médecines complémentaires et alternatives (MCA). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dénombre 400 MCA et encourage leur intégration pour soutenir la prévention, la qualité de vie et le bien vieillir. Mais le champ des MCA rassemble indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées ou douteuses, voire dangereuses.
Face au manque de repères, l’enjeu de santé publique est de favoriser l’essor des pratiques complémentaires adaptées tout en luttant contre les méthodes alternatives et les dérives en santé. C’est dans ce contexte que des parlementaires ont porté une proposition de résolution à l’assemblée nationale.
Cette proposition de Résolution s’appuie sur la création de l’A-MCA : « Une association, intitulée l’Agence des Médecines des Complémentaires et Alternatives (A‑MCA), a été créé en septembre 2020, par des experts issus de la société civile, pour s’inscrire dans cette double perspective. Il est temps d’aller plus loin ».
En outre, elle invite à la transformation de l’association en Agence Gouvernementale « elle gagnerait à intégrer ces missions dans une agence gouvernementale pour contribuer à structurer ce champ »; une agence qui viserait à « informer, conseiller, guider sur ces pratiques tout en développant la recherche dans le domaine.
Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Plus de 68 % des Français croient aux bienfaits des médecines complémentaires et alternatives (MCA). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dénombre 400 MCA et encourage leur intégration pour soutenir la prévention, la qualité de vie et le bien vieillir. Mais le champ des MCA rassemble indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées ou douteuses, voire dangereuses.
Face au manque de repères, l’enjeu de santé publique est de favoriser l’essor des pratiques complémentaires adaptées tout en luttant contre les méthodes alternatives et les dérives en santé. C’est dans ce contexte que des parlementaires ont porté une proposition de résolution à l’assemblée nationale.
Cette proposition de Résolution s’appuie sur la création de l’A-MCA : « Une association, intitulée l’Agence des Médecines des Complémentaires et Alternatives (A‑MCA), a été créé en septembre 2020, par des experts issus de la société civile, pour s’inscrire dans cette double perspective. Il est temps d’aller plus loin ».
En outre, elle invite à la transformation de l’association en Agence Gouvernementale « elle gagnerait à intégrer ces missions dans une agence gouvernementale pour contribuer à structurer ce champ »; une agence qui viserait à « informer, conseiller, guider sur ces pratiques tout en développant la recherche dans le domaine.
Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici).
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.
Plus de 68 % des Français croient aux bienfaits des médecines complémentaires et alternatives (MCA). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dénombre 400 MCA et encourage leur intégration pour soutenir la prévention, la qualité de vie et le bien vieillir. Mais le champ des MCA rassemble indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées ou douteuses, voire dangereuses.
Face au manque de repères, l’enjeu de santé publique est de favoriser l’essor des pratiques complémentaires adaptées tout en luttant contre les méthodes alternatives et les dérives en santé. C’est dans ce contexte que des parlementaires ont porté une proposition de résolution à l’assemblée nationale.
Cette proposition de Résolution s’appuie sur la création de l’A-MCA : « Une association, intitulée l’Agence des Médecines des Complémentaires et Alternatives (A‑MCA), a été créé en septembre 2020, par des experts issus de la société civile, pour s’inscrire dans cette double perspective. Il est temps d’aller plus loin ».
En outre, elle invite à la transformation de l’association en Agence Gouvernementale « elle gagnerait à intégrer ces missions dans une agence gouvernementale pour contribuer à structurer ce champ »; une agence qui viserait à « informer, conseiller, guider sur ces pratiques tout en développant la recherche dans le domaine.
Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.
Plus de 68 % des Français croient aux bienfaits des médecines complémentaires et alternatives (MCA). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dénombre 400 MCA et encourage leur intégration pour soutenir la prévention, la qualité de vie et le bien vieillir. Mais le champ des MCA rassemble indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées ou douteuses, voire dangereuses.
Face au manque de repères, l’enjeu de santé publique est de favoriser l’essor des pratiques complémentaires adaptées tout en luttant contre les méthodes alternatives et les dérives en santé. C’est dans ce contexte que des parlementaires ont porté une proposition de résolution à l’assemblée nationale.
Cette proposition de Résolution s’appuie sur la création de l’A-MCA : « Une association, intitulée l’Agence des Médecines des Complémentaires et Alternatives (A‑MCA), a été créé en septembre 2020, par des experts issus de la société civile, pour s’inscrire dans cette double perspective. Il est temps d’aller plus loin ».
En outre, elle invite à la transformation de l’association en Agence Gouvernementale « elle gagnerait à intégrer ces missions dans une agence gouvernementale pour contribuer à structurer ce champ »; une agence qui viserait à « informer, conseiller, guider sur ces pratiques tout en développant la recherche dans le domaine.
Cette proposition de résolution inédite en France est portée par les députés Agnès Firmin Le Bodo, Lisa Magnier, Luc Lamirault, Olivier Falorni, Jeannine Dubié, François-Michel Lambert, Laurence Vanceunebrock, Marina Sage. Ce texte invite le Gouvernement à créer une agence gouvernementale d’évaluation des approches complémentaires adaptée et de contrôle des dérives thérapeutiques et des pratiques alternatives.
Plus de 68 % des Français croient aux bienfaits des médecines complémentaires et alternatives (MCA). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dénombre 400 MCA et encourage leur intégration pour soutenir la prévention, la qualité de vie et le bien vieillir. Mais le champ des MCA rassemble indistinctement des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées ou douteuses, voire dangereuses.
Face au manque de repères, l’enjeu de santé publique est de favoriser l’essor des pratiques complémentaires adaptées tout en luttant contre les méthodes alternatives et les dérives en santé. C’est dans ce contexte que des parlementaires ont porté une proposition de résolution à l’assemblée nationale.
Cette proposition de Résolution s’appuie sur la création de l’A-MCA : « Une association, intitulée l’Agence des Médecines des Complémentaires et Alternatives (A‑MCA), a été créé en septembre 2020, par des experts issus de la société civile, pour s’inscrire dans cette double perspective. Il est temps d’aller plus loin ».
En outre, elle invite à la transformation de l’association en Agence Gouvernementale « elle gagnerait à intégrer ces missions dans une agence gouvernementale pour contribuer à structurer ce champ »; une agence qui viserait à « informer, conseiller, guider sur ces pratiques tout en développant la recherche dans le domaine.