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Fiches pratiques
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Fiche pratique
Pratique acceptée

Serge GUÉRIN et Véronique SUISSA organisent une rencontre inédite sur la prévention au siège de la majorité presidentielle, du candidat M. Emmanuel MACRON

Les pratiques acceptées font l'objet de normes de formation reconnues (réglementaires ou universitaires) et sont souvent intégrées dans l'écosystème de santé. Elles ne comportent pas de risques ou de dérives dès lors où elles sont proposées par des praticiens dûment formés et diplômés. Pour être "adaptées", les pratiques "acceptées" doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes étiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici)

Pratiques pour lesquelles il existe des formations reconnues
• Formation réglementaire ou Universitaire
• Pas de risques
• Pas de dérives
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée, rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport AMCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Des recommandations

À l’issue de cette réunion de réflexion, le groupe de travail est parvenu à formuler différentes propositions à l’intention de la majorité présentielle, l’enjeu principal étant de mieux articuler le cure avec le care. Tout d’abord, il recommande de faire une véritable place au niveau gouvernemental à la prévention. Pour les participants, la santé ne peut-être dissociée de la prévention. Elles sont intrinsèquement reliées. L'appropriation individuelle de modes de vie sains et plus largement de la prévention  s'expriment dans tous les contextes (à l'école, chez soi, au travail...) et dans toutes les situations (personnes en santé ou en situation de fragilités). Aussi, inscrire la prévention comme un enjeu gouvernemental constitue un point de départ et un enjeu unanime. 

Ensuite, dans le champ réglementaire, le groupe de travail encourage la création d’une structure gouvernementale d’évaluation des approches complémentaires adaptée et de contrôle des dérives thérapeutiques et des pratiques alternatives, telle que prévue dans la proposition de résolution de l’Assemblée nationale déposée en 2021.  Le groupe suggère aussi de définir des normes de formations et de renforcer l’intégration des pratiques validées, réglementées et/ou celles détenant un cadre ; il recommande d’ailleurs le développement de financements et d’appels à projets dans le domaine.

Plus largement, les acteurs du secteur proposent d’instaurer une véritable culture de la prévention depuis le plus jeune âge, en passant par les entreprises, et ce jusqu’à la fin de vie, avec une plus forte sensibilisation des publics et une plus grande valorisation des métiers du care.

Enfin, il suggère de réfléchir à un parcours du prendre soin, impliquant les territoires et de créer plus de cohésion entre les praticiens issus de disciplines différentes en lien avec les soignants.

Fiche pratique

Serge GUÉRIN et Véronique SUISSA organisent une rencontre inédite sur la prévention au siège de la majorité presidentielle, du candidat M. Emmanuel MACRON

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Des recommandations

À l’issue de cette réunion de réflexion, le groupe de travail est parvenu à formuler différentes propositions à l’intention de la majorité présentielle, l’enjeu principal étant de mieux articuler le cure avec le care. Tout d’abord, il recommande de faire une véritable place au niveau gouvernemental à la prévention. Pour les participants, la santé ne peut-être dissociée de la prévention. Elles sont intrinsèquement reliées. L'appropriation individuelle de modes de vie sains et plus largement de la prévention  s'expriment dans tous les contextes (à l'école, chez soi, au travail...) et dans toutes les situations (personnes en santé ou en situation de fragilités). Aussi, inscrire la prévention comme un enjeu gouvernemental constitue un point de départ et un enjeu unanime. 

Ensuite, dans le champ réglementaire, le groupe de travail encourage la création d’une structure gouvernementale d’évaluation des approches complémentaires adaptée et de contrôle des dérives thérapeutiques et des pratiques alternatives, telle que prévue dans la proposition de résolution de l’Assemblée nationale déposée en 2021.  Le groupe suggère aussi de définir des normes de formations et de renforcer l’intégration des pratiques validées, réglementées et/ou celles détenant un cadre ; il recommande d’ailleurs le développement de financements et d’appels à projets dans le domaine.

Plus largement, les acteurs du secteur proposent d’instaurer une véritable culture de la prévention depuis le plus jeune âge, en passant par les entreprises, et ce jusqu’à la fin de vie, avec une plus forte sensibilisation des publics et une plus grande valorisation des métiers du care.

Enfin, il suggère de réfléchir à un parcours du prendre soin, impliquant les territoires et de créer plus de cohésion entre les praticiens issus de disciplines différentes en lien avec les soignants.

Fiche pratique
Pratique recommandée

Serge GUÉRIN et Véronique SUISSA organisent une rencontre inédite sur la prévention au siège de la majorité presidentielle, du candidat M. Emmanuel MACRON

Pratiques conventionnelles à visées de soins, rassemblant des méthodes validées par la Haute Autorité de Santé.

Pratiques validées par la Haute Autorité de Santé (HAS) :
• Délimitées par la HAS
• Professionnalisées
• Pleinement intégrées
• Sans risques
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Des recommandations

À l’issue de cette réunion de réflexion, le groupe de travail est parvenu à formuler différentes propositions à l’intention de la majorité présentielle, l’enjeu principal étant de mieux articuler le cure avec le care. Tout d’abord, il recommande de faire une véritable place au niveau gouvernemental à la prévention. Pour les participants, la santé ne peut-être dissociée de la prévention. Elles sont intrinsèquement reliées. L'appropriation individuelle de modes de vie sains et plus largement de la prévention  s'expriment dans tous les contextes (à l'école, chez soi, au travail...) et dans toutes les situations (personnes en santé ou en situation de fragilités). Aussi, inscrire la prévention comme un enjeu gouvernemental constitue un point de départ et un enjeu unanime. 

Ensuite, dans le champ réglementaire, le groupe de travail encourage la création d’une structure gouvernementale d’évaluation des approches complémentaires adaptée et de contrôle des dérives thérapeutiques et des pratiques alternatives, telle que prévue dans la proposition de résolution de l’Assemblée nationale déposée en 2021.  Le groupe suggère aussi de définir des normes de formations et de renforcer l’intégration des pratiques validées, réglementées et/ou celles détenant un cadre ; il recommande d’ailleurs le développement de financements et d’appels à projets dans le domaine.

Plus largement, les acteurs du secteur proposent d’instaurer une véritable culture de la prévention depuis le plus jeune âge, en passant par les entreprises, et ce jusqu’à la fin de vie, avec une plus forte sensibilisation des publics et une plus grande valorisation des métiers du care.

Enfin, il suggère de réfléchir à un parcours du prendre soin, impliquant les territoires et de créer plus de cohésion entre les praticiens issus de disciplines différentes en lien avec les soignants.

Fiche pratique
Pratique Tolérée

Serge GUÉRIN et Véronique SUISSA organisent une rencontre inédite sur la prévention au siège de la majorité presidentielle, du candidat M. Emmanuel MACRON

Les pratiques tolérées ne font l'objet d'aucune norme de formation reconnue (réglementaire ou universitaire) et sont rarement intégrées dans l'écosystème de santé, sauf exception (ex. soutien spirituel en soins palliatifs). Elles ne sont pas dangereuses dès lors où elles sont proposées en complément des soins officiels par des praticiens suffisamment formés et compétents. Cependant, elles comportent des risques potentiels et des dérives involontaires du fait de l'absence de formations officielles. Pour ne pas présenter de risques, elles doivent être doivent être dispensées dans le respect d'un ensemble de principes éthiques accessibles dans le rapport A-MCA 2022 (ici). 

Pratiques pour lesquelles il n'existe aucune formation reconnue
• Pas de formation réglementaire ou universitaire
• Risques potentiels
• Dérives involontaires possibles
Cette fiche d’information n’a pas de visée thérapeutique. Les pratiques s’inscrivent dans le champ du bien-être et ne peuvent pas guérir. Tout praticien est tenu de vous orienter vers un médecin lorsque les symptômes nécessitent un diagnostic ou lorsque le motif de consultation dépasse son champ de compétences. Attention, une même pratique peut-être acceptée, tolérée ou rejetée selon un ensemble de critères définis dans le rapport A-MCA 2022. Autrement dit, quelle que soit la pratique, il est recommandé de rester vigilant devant tout comportement ou discours inadapté.

Des recommandations

À l’issue de cette réunion de réflexion, le groupe de travail est parvenu à formuler différentes propositions à l’intention de la majorité présentielle, l’enjeu principal étant de mieux articuler le cure avec le care. Tout d’abord, il recommande de faire une véritable place au niveau gouvernemental à la prévention. Pour les participants, la santé ne peut-être dissociée de la prévention. Elles sont intrinsèquement reliées. L'appropriation individuelle de modes de vie sains et plus largement de la prévention  s'expriment dans tous les contextes (à l'école, chez soi, au travail...) et dans toutes les situations (personnes en santé ou en situation de fragilités). Aussi, inscrire la prévention comme un enjeu gouvernemental constitue un point de départ et un enjeu unanime. 

Ensuite, dans le champ réglementaire, le groupe de travail encourage la création d’une structure gouvernementale d’évaluation des approches complémentaires adaptée et de contrôle des dérives thérapeutiques et des pratiques alternatives, telle que prévue dans la proposition de résolution de l’Assemblée nationale déposée en 2021.  Le groupe suggère aussi de définir des normes de formations et de renforcer l’intégration des pratiques validées, réglementées et/ou celles détenant un cadre ; il recommande d’ailleurs le développement de financements et d’appels à projets dans le domaine.

Plus largement, les acteurs du secteur proposent d’instaurer une véritable culture de la prévention depuis le plus jeune âge, en passant par les entreprises, et ce jusqu’à la fin de vie, avec une plus forte sensibilisation des publics et une plus grande valorisation des métiers du care.

Enfin, il suggère de réfléchir à un parcours du prendre soin, impliquant les territoires et de créer plus de cohésion entre les praticiens issus de disciplines différentes en lien avec les soignants.

Fiche pratique
Pratique rejetée

Serge GUÉRIN et Véronique SUISSA organisent une rencontre inédite sur la prévention au siège de la majorité presidentielle, du candidat M. Emmanuel MACRON

Pratiques ne détenant pas de cadre, rarement intégrées et dont la formation n'est pas reconnue.

Pratiques ne détenant pas de cadre et rarement intégrées.
• La formation n'est pas reconnue
• Il existe des risques
• Les dérives sont involontaires

Des recommandations

À l’issue de cette réunion de réflexion, le groupe de travail est parvenu à formuler différentes propositions à l’intention de la majorité présentielle, l’enjeu principal étant de mieux articuler le cure avec le care. Tout d’abord, il recommande de faire une véritable place au niveau gouvernemental à la prévention. Pour les participants, la santé ne peut-être dissociée de la prévention. Elles sont intrinsèquement reliées. L'appropriation individuelle de modes de vie sains et plus largement de la prévention  s'expriment dans tous les contextes (à l'école, chez soi, au travail...) et dans toutes les situations (personnes en santé ou en situation de fragilités). Aussi, inscrire la prévention comme un enjeu gouvernemental constitue un point de départ et un enjeu unanime. 

Ensuite, dans le champ réglementaire, le groupe de travail encourage la création d’une structure gouvernementale d’évaluation des approches complémentaires adaptée et de contrôle des dérives thérapeutiques et des pratiques alternatives, telle que prévue dans la proposition de résolution de l’Assemblée nationale déposée en 2021.  Le groupe suggère aussi de définir des normes de formations et de renforcer l’intégration des pratiques validées, réglementées et/ou celles détenant un cadre ; il recommande d’ailleurs le développement de financements et d’appels à projets dans le domaine.

Plus largement, les acteurs du secteur proposent d’instaurer une véritable culture de la prévention depuis le plus jeune âge, en passant par les entreprises, et ce jusqu’à la fin de vie, avec une plus forte sensibilisation des publics et une plus grande valorisation des métiers du care.

Enfin, il suggère de réfléchir à un parcours du prendre soin, impliquant les territoires et de créer plus de cohésion entre les praticiens issus de disciplines différentes en lien avec les soignants.

Bientôt, plus d'information sur cette pratique.

Serge GUÉRIN et Véronique SUISSA organisent une rencontre inédite sur la prévention au siège de la majorité presidentielle, du candidat M. Emmanuel MACRON

Une rencontre inédite portant sur les MCA a été organisée le 23 février au siège de la majorité présidentielle, du candidat Monsieur Emmanuel MACRON, sous la houlette de Véronique SUISSA. Serge GUERIN, sociologue, spécialiste de la séniorisation de la société, sollicité par la majorité présidentielle pour porter la question du vieillissement dans la campagne électorale, l’a nommée relai sur cette thématique. Retour sur cette rencontre.

Temps de lecture :
Lieu :
Date de publication / évènement :
22/3/22
Catégorie :
Actions externes

L’ensemble des thématiques en lien avec le vieillissement font actuellement l’objet de réflexions dans le cadre de la campagne présidentielle. « La santé de demain va être amenée à intégrer toujours plus les pratiques de prévention, les approches de soins relationnels et les médecines complémentaires afin de soutenir le bien-être, la qualité de vie et le bien-vieillir », soutient Véronique SUISSA.

Des praticiens, des professionnels de santé, des chercheurs ou encore des formateurs ont ainsi été invités, pendant une demi-journée, à échanger sur la place des médecines complémentaires dans le domaine de la prévention et dans la prise en charge des personnes âgées. L’objectif de cette journée était d’élaborer une série de recommandations transverses dans le domaine, afin de répondre aux enjeux des MCA pour les séniors : conserver leur qualité de vie, le bien-vivre malgré la perte d’autonomie et préserver autant que possible leurs facultés physiques, mentales et cognitives.

Des recommandations

À l’issue de cette réunion de réflexion, le groupe de travail est parvenu à formuler différentes propositions à l’intention de la majorité présentielle, l’enjeu principal étant de mieux articuler le cure avec le care. Tout d’abord, il recommande de faire une véritable place au niveau gouvernemental à la prévention. Pour les participants, la santé ne peut-être dissociée de la prévention. Elles sont intrinsèquement reliées. L'appropriation individuelle de modes de vie sains et plus largement de la prévention  s'expriment dans tous les contextes (à l'école, chez soi, au travail...) et dans toutes les situations (personnes en santé ou en situation de fragilités). Aussi, inscrire la prévention comme un enjeu gouvernemental constitue un point de départ et un enjeu unanime. 

Ensuite, dans le champ réglementaire, le groupe de travail encourage la création d’une structure gouvernementale d’évaluation des approches complémentaires adaptée et de contrôle des dérives thérapeutiques et des pratiques alternatives, telle que prévue dans la proposition de résolution de l’Assemblée nationale déposée en 2021.  Le groupe suggère aussi de définir des normes de formations et de renforcer l’intégration des pratiques validées, réglementées et/ou celles détenant un cadre ; il recommande d’ailleurs le développement de financements et d’appels à projets dans le domaine.

Plus largement, les acteurs du secteur proposent d’instaurer une véritable culture de la prévention depuis le plus jeune âge, en passant par les entreprises, et ce jusqu’à la fin de vie, avec une plus forte sensibilisation des publics et une plus grande valorisation des métiers du care.

Enfin, il suggère de réfléchir à un parcours du prendre soin, impliquant les territoires et de créer plus de cohésion entre les praticiens issus de disciplines différentes en lien avec les soignants.

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